@-June- Je suis beaucoup moins perméable au comportement/jugement des autres sur mon apparence, mais il fut un temps où ça conditionnait mon humeur, ma confiance en moi, mon comportement. Et le pire, c'est que 9 fois sur 10, le problème venait de la manière dont j'interprétais tout ça. L'avantage, c'est qu'on a une réelle marge de manoeuvre là-dessus. Mais il faut aller suffisamment bien pour trouver le recul nécessaire. Mais sinon oui, j'ai la meilleure des mamans .
L'été on a souvent moins faim, c'est pas forcément facile de s'écouter mais si ces 6 derniers mois m'ont appris quelque chose, c'est bien qu'en fait, on a pas de pouvoir sur l'évolution de notre poids. Perso, je n'ai toujours pas vraiment trouvé de corrélation entre ma manière de manger et mon poids à court terme . Donc bon, mieux vaut éviter de trop se prendre la tête.
@abricotte Non mais je vais le lire hein, c'est juste que contrairement à d'habitude, je l'ai pas lu intégralement en 72 heures . Je le commencerai ce WE je pense ! Non mais je suis tellement d'accord avec toi quand tu dis que c'est la culpabilité qui crée la compulsion (ainsi que tout ce qu'on fait peser sur cette envie de manger). Pour moi, cette culpabilité ne vient plus que dans un cas : quand je suis seule, que je mange en dehors des repas en faisant autre chose et que je mange tout ce que je trouve, du chocolat à de la mayonnaise sur des biscottes. Ce n'est pas tant la quantité, la qualité de la nourriture, simplement me retrouver dans une situation que j'ai trop bien connue et qui me fait paniquer.
Mais voilà, je ne suis plus la même et donc ça n'a rien à voir, mais ça reste vraiment déclencheur chez moi, cette peur de redevenir celle que j'étais.
Perso tenir un carnet alimentaire m'avait beaucoup aidé au début, je les ai toujours ! En période difficile, ça m'aidait à mettre tout ça à distance et à retrouver mon souffle. Qu'est ce que tu entends par "Je critique ce que je mange" ? Tu juges ta manière de manger c'est ça ? S'en rendre compte est déjà un grand pas, le jour où je me suis rendue compte que je passais mon temps à m'insulter ()(à chaque fois que j'étais maladroite, sois à peu près 90% du temps , je me traitais d'idiote, de boulet, de conne, etc), ça a tout changé, et maintenant même si ça m'arrive encore, ce n'est plus un automatisme, et le savoir casse l'autocritique.
L'été on a souvent moins faim, c'est pas forcément facile de s'écouter mais si ces 6 derniers mois m'ont appris quelque chose, c'est bien qu'en fait, on a pas de pouvoir sur l'évolution de notre poids. Perso, je n'ai toujours pas vraiment trouvé de corrélation entre ma manière de manger et mon poids à court terme . Donc bon, mieux vaut éviter de trop se prendre la tête.
@abricotte Non mais je vais le lire hein, c'est juste que contrairement à d'habitude, je l'ai pas lu intégralement en 72 heures . Je le commencerai ce WE je pense ! Non mais je suis tellement d'accord avec toi quand tu dis que c'est la culpabilité qui crée la compulsion (ainsi que tout ce qu'on fait peser sur cette envie de manger). Pour moi, cette culpabilité ne vient plus que dans un cas : quand je suis seule, que je mange en dehors des repas en faisant autre chose et que je mange tout ce que je trouve, du chocolat à de la mayonnaise sur des biscottes. Ce n'est pas tant la quantité, la qualité de la nourriture, simplement me retrouver dans une situation que j'ai trop bien connue et qui me fait paniquer.
Mais voilà, je ne suis plus la même et donc ça n'a rien à voir, mais ça reste vraiment déclencheur chez moi, cette peur de redevenir celle que j'étais.
Perso tenir un carnet alimentaire m'avait beaucoup aidé au début, je les ai toujours ! En période difficile, ça m'aidait à mettre tout ça à distance et à retrouver mon souffle. Qu'est ce que tu entends par "Je critique ce que je mange" ? Tu juges ta manière de manger c'est ça ? S'en rendre compte est déjà un grand pas, le jour où je me suis rendue compte que je passais mon temps à m'insulter ()(à chaque fois que j'étais maladroite, sois à peu près 90% du temps , je me traitais d'idiote, de boulet, de conne, etc), ça a tout changé, et maintenant même si ça m'arrive encore, ce n'est plus un automatisme, et le savoir casse l'autocritique.