Je suis TRES envieuse. Dès qu'une personne a un statut, une chose, une relation enfin bref quoique ce soit que je convoite, je vais la détester intérieurement et balancer des crasses dès que je trouve quelqu'un de prêt(e) à s'allier à ma cause.
Du coup, le malheur des autres me rend effectivement heureuse moi aussi.
Je suis la pro du mensonge improvisé et en général je me force à croire à ce que je raconte. Du coup je suis aussi la pro du séchage de cours avec les excuses les plus diverses possibles.
Je suis hyper cynique, rien n'est sacré et je peux rire de tout. Du coup la niaiserie, la "bien-pensance", le manichéisme me donnent l'urticaire et je passe des fois pour une personne sans coeur. (Mais c'est pas vraiment le cas)
J'invente aussi des occupations pour faire croire que j'ai un empêchement.
Inconsciemment, je me rends compte que j'ai conseillé/je conseille de "casser" à toutes mes amies en couple, et ce, au moindre petit truc qui va pas.
Je me sers littéralement de certaines personnes. Du collège au lycée, il y a toujours des gens que j'ai en quelque sorte fait bosser à ma place ou dont j'ai plus ou moins tiré profit.
J'aime relativiser les exploits des autres mais je valorise les miens.
J'aime ridiculiser les autres dans les débats en leur renvoyant leur ignorance à la figure et au pire, même quand je vois que je trouverai pas de porte de sortie pour faire abdiquer l'autre, ma mauvaise foi entre en action.
Je suis rancunière.
Quand j'en ai marre de quelqu'un, je coupe les ponts pour reprendre contact ensuite ... ou pas. Du coup, j'ai très souvent changé d'entourage, d'amis jusqu'à présent même si c'est plus trop le cas maintenant. Mais le fait est que je pourrais tout quitter sans que personne me manque.
Comme Tristana, je ris quand faut pas. D'ailleurs si je raconte un truc sensé être triste je préviens l'autre "c'est pas drôle" et je me mets à rigoler en le racontant ... Du coup, mon interlocuteur ne comprend pas bien pourquoi je me conforme pas à l'avertissement que donne.
Le pire, c'est que je le vis bien et que je camoufle assez bien tout ça et que je me considère même comme quelqu'un de plutôt gentille.
Du coup, le malheur des autres me rend effectivement heureuse moi aussi.
Je suis la pro du mensonge improvisé et en général je me force à croire à ce que je raconte. Du coup je suis aussi la pro du séchage de cours avec les excuses les plus diverses possibles.
Je suis hyper cynique, rien n'est sacré et je peux rire de tout. Du coup la niaiserie, la "bien-pensance", le manichéisme me donnent l'urticaire et je passe des fois pour une personne sans coeur. (Mais c'est pas vraiment le cas)
J'invente aussi des occupations pour faire croire que j'ai un empêchement.
Inconsciemment, je me rends compte que j'ai conseillé/je conseille de "casser" à toutes mes amies en couple, et ce, au moindre petit truc qui va pas.
Je me sers littéralement de certaines personnes. Du collège au lycée, il y a toujours des gens que j'ai en quelque sorte fait bosser à ma place ou dont j'ai plus ou moins tiré profit.
J'aime relativiser les exploits des autres mais je valorise les miens.
J'aime ridiculiser les autres dans les débats en leur renvoyant leur ignorance à la figure et au pire, même quand je vois que je trouverai pas de porte de sortie pour faire abdiquer l'autre, ma mauvaise foi entre en action.
Je suis rancunière.
Quand j'en ai marre de quelqu'un, je coupe les ponts pour reprendre contact ensuite ... ou pas. Du coup, j'ai très souvent changé d'entourage, d'amis jusqu'à présent même si c'est plus trop le cas maintenant. Mais le fait est que je pourrais tout quitter sans que personne me manque.
Comme Tristana, je ris quand faut pas. D'ailleurs si je raconte un truc sensé être triste je préviens l'autre "c'est pas drôle" et je me mets à rigoler en le racontant ... Du coup, mon interlocuteur ne comprend pas bien pourquoi je me conforme pas à l'avertissement que donne.
Le pire, c'est que je le vis bien et que je camoufle assez bien tout ça et que je me considère même comme quelqu'un de plutôt gentille.