Topic des amoureuses et des "en couple"
- Initiateur de la discussion Hawley
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Je me permets de te citer, si ça te dérange, tu me dis et j'efface ça !
Non, je te rassure, on est plusieurs (si ce n'est beaucoup) dans ce cas. Je sais que moi c'est pareil, et j'ai eu beau râler et râler, j'ai pas constaté d'améliorations sur la duréeDéjà avant quand je pouvais lui envoyer des sms, c'était la galère pour que Môsieur réponde, ou m'écrive en premier, mais alors maintenant que je n'ai plus les sms (être au Canada, ça aide pas pour ça
), je suis toujours la première à envoyer un message pour qu'on discute. Là, ça fait trois jours que j'écris des petits mots par-ci, par là, et il me répondra quand bon lui semblera, à tous mes messages d'un seul coup... Et quand je décide que j'en ai marre et que je serai pas celle qui écrira en première, bah ça peut bien lui prendre une semaine avant que ça fasse tilt dans sa tête
En tout cas, rassures-toi, t'es pas la seule dans cette situation, et tu ne seras pas la première a craquer et à envoyer le premier message si jamais tu le fais !
Pas de souci pour la citation, de même n'hésite pas si tu veux que j'efface
C'est exactement ce que tu dis! Si je décide de ne pas écrire en première, ça traine, ça traine, et je ne sais même pas s'il se demande si c'est volontaire ou si c'est juste que je suis tellement occupée que je ne lui réponds pas. Alors que non, mon cher, je ne fais rien de mes journées puisque je suis en vacances cette semaine et que j'avais espoir de les passer avec toi!
Lundi, je reprends stage à 1h30 de chez lui et si ça se trouve il ne va pas me capter d'ici là. Ou alors il va le faire mais genre ce soir à 18h30 pour me proposer de sortir une heure après. Le truc, c'est que j'ai déjà vécu ça avec mon ex, je l'ai enduré pendant deux ans, l'absence de communication. J'en ai tellement souffert, je m'étais dit "plus jamais ça". Là, la situation est différente mais je retrouve mes vieux réflexes de stress permanent, ça va pas être possible.
J'ai craqué, je lui ai juste envoyé "c'est con, on s'est quasiment pas vus des vacances finalement." Réponse directe: "...ben ouais c'est vrai" ET????? c'est tout???
@Twinsen : Je ne pense pas lui avoir dit de quitter son copain (!) j'ai parlé d'ultimatum.
Pour le reste, tu as choisi de totalement déformer mes propos.
Et j'avais prévenu pour la dureté de mes propos. Je trouve ce que j'ai écrit violent, mais j'ai la prétention de croire que que c'est tout aussi important à entendre que du soutien type "je suis là" "parle-nous" dans ce genre de situation. Dans la détresse, on peut en venir à accepter à peu près n'importe quoi dans l'espoir de ne pas perdre l'autre.
Mais quand on agit comme ça, quel message envoie-t-on à l'autre ? Et à soi-même ? Qu'on ne vaut pas mieux que ça, qu'on ne mérite pas plus d'égards. Et personne ne mérite de s'infliger ça. L'estime de soi, c'est difficile à (re)construire.
Si je me suis permis ces propos, c'est aussi parce que quand je regarde ma relation amoureuse, je vois deux temps. Celui du début, où mon mari ne me traitait pas toujours comme il l'aurait du (il n'a jamais été si loin, mais me donnait la dernière place dans sa vie) et que j'acceptais tout ça, de peur de le perdre, parce que j'en étais bleue et persuadée que si je l'ouvrais, il s'en irait. Et s'il était entièrement responsable de son égoïsme, moi, qui n'exigeais rien, persuadée de ne pas faire le poids, je lui renvoyais comme message : "mais vas-y, continue, t'as raison, je ne vaux pas mieux, je ne demande rien, pas même le respect le plus élémentaire."
C'est quand j'ai changé de comportement, et d'image de moi, qu'il a totalement changé de comportement. Le jour et la nuit.
En ouvrant ma gueule, en exigeant qu'il revoie ses priorités (c'était ça, notre problème à nous), j'ai fait attention à moi. Et lui aussi, a réalisé que d'une, j'étais pas acquise, et que de deux, je valais bien une fameuse remise en question.
Bref, c'était il y a a au moins dix ans, et je suis encore reconnaissante à ceux qui ont été durs avec moi ("quitte le" "l'amour ne suffit pas" "tu mérites autre chose" "respecte toi") parce qu'ils avaient raison de me pousser dans mes retranchements.
Pour la petite histoire : ça fait douze ans qu'on est ensemble, deux qu'on est mariés, on a une petite fille, une vie de couple heureuse, une vie de famille très chouette. Et s'il est encore arrivé qu'il me blesse, il m'a toujours traitée comme une égale, comme sa priorité, bla bla.
S'il y a une chose dont je suis sûre, c'est que si je l'avais laissé continuer à me traiter comme il le faisait alors, j'aurais fini par le quitter (ou lui, qui sait) et notre histoire merveilleuse (ouais, carrément) se serait terminée.
Chaque relation est différente. Je le sais, et mon message était peut-être déplacé (mais c'est à @Svenska de s'en formaliser !) mais je ne le regrette pas. Parce que bordel, elle ne mérite pas d'être traitée de la sorte, personne ne le mérite.
Pour le reste, tu as choisi de totalement déformer mes propos.
Et j'avais prévenu pour la dureté de mes propos. Je trouve ce que j'ai écrit violent, mais j'ai la prétention de croire que que c'est tout aussi important à entendre que du soutien type "je suis là" "parle-nous" dans ce genre de situation. Dans la détresse, on peut en venir à accepter à peu près n'importe quoi dans l'espoir de ne pas perdre l'autre.
Mais quand on agit comme ça, quel message envoie-t-on à l'autre ? Et à soi-même ? Qu'on ne vaut pas mieux que ça, qu'on ne mérite pas plus d'égards. Et personne ne mérite de s'infliger ça. L'estime de soi, c'est difficile à (re)construire.
Si je me suis permis ces propos, c'est aussi parce que quand je regarde ma relation amoureuse, je vois deux temps. Celui du début, où mon mari ne me traitait pas toujours comme il l'aurait du (il n'a jamais été si loin, mais me donnait la dernière place dans sa vie) et que j'acceptais tout ça, de peur de le perdre, parce que j'en étais bleue et persuadée que si je l'ouvrais, il s'en irait. Et s'il était entièrement responsable de son égoïsme, moi, qui n'exigeais rien, persuadée de ne pas faire le poids, je lui renvoyais comme message : "mais vas-y, continue, t'as raison, je ne vaux pas mieux, je ne demande rien, pas même le respect le plus élémentaire."
C'est quand j'ai changé de comportement, et d'image de moi, qu'il a totalement changé de comportement. Le jour et la nuit.
En ouvrant ma gueule, en exigeant qu'il revoie ses priorités (c'était ça, notre problème à nous), j'ai fait attention à moi. Et lui aussi, a réalisé que d'une, j'étais pas acquise, et que de deux, je valais bien une fameuse remise en question.
Bref, c'était il y a a au moins dix ans, et je suis encore reconnaissante à ceux qui ont été durs avec moi ("quitte le" "l'amour ne suffit pas" "tu mérites autre chose" "respecte toi") parce qu'ils avaient raison de me pousser dans mes retranchements.
Pour la petite histoire : ça fait douze ans qu'on est ensemble, deux qu'on est mariés, on a une petite fille, une vie de couple heureuse, une vie de famille très chouette. Et s'il est encore arrivé qu'il me blesse, il m'a toujours traitée comme une égale, comme sa priorité, bla bla.
S'il y a une chose dont je suis sûre, c'est que si je l'avais laissé continuer à me traiter comme il le faisait alors, j'aurais fini par le quitter (ou lui, qui sait) et notre histoire merveilleuse (ouais, carrément) se serait terminée.
Chaque relation est différente. Je le sais, et mon message était peut-être déplacé (mais c'est à @Svenska de s'en formaliser !) mais je ne le regrette pas. Parce que bordel, elle ne mérite pas d'être traitée de la sorte, personne ne le mérite.
@Svenska : Comme @Bree_ J'ai eu une histoire du genre quand j'étais plus jeune. Quand mon ex-copain me manquait ouvertement de respect, je redoublais d'amour et de gentillesse pour ne pas le perdre. Je passais des week-end horribles, sachant qu'il voyait des autres filles et me morfondais en disant que si j'exigeais ce serai terminé. Puis il rentrait, l'air de rien, me mentait et recommençait. Au plus j'étais aimante et compréhensive, au plus il en profitait et je me suis retrouvée au milieu de deux histoires différentes, traitée comme un paillasson. C'était pas normal qu'il couche avec une autre fille alors que j'étais aux urgences psy.
Donc je souhaite ça à personne et très honnêtement, je suis bien mieux maintenant que je suis en couple avec quelqu'un d'autre.
Donc je souhaite ça à personne et très honnêtement, je suis bien mieux maintenant que je suis en couple avec quelqu'un d'autre.
@Gargouillette : J'ai commencé par dire ce que je pensais (mon mari, déjà à l'époque - de bonne volonté donc ^^ - essayait de me comprendre), comme et quand je le pensais. Par exemple : "ça me fait du mal que tu préfères partir en vacances avec tes amis, plutôt qu'avec moi" "là, ton comportement me blesse", etc. Puis, je lui disais ce dont j'avais besoin (" que tu me donnes des nouvelles plusieurs fois par jour quand on ne se voit pas" "que tu sois plus présent" "qu'on se voie au moins x fois sur la semaine" "qu'on parte en vacances en amoureux" "qu'on vive ensemble", etc)
Ca a été une bonne part du travail (reconnaître mes besoins, les voir comme légitimes, et les lui communiquer).
Les rares fois où (j'estime qu') il a merdé/dépassé mes limites, j'ai été franche. Par exemple, la dernière fois qu'il est parti en vacances avec ses amis (bon, on avait 20 ans aussi, on vivait pas encore ensemble..) je lui ai dit que pour moi, c'était la dernière. Que s'il repartait aussi longtemps, sans tenir compte de moi, bah, j'arrêtais les frais. Il m'a promis que c'était la dernière fois, et il n'est plus reparti.
Et quand aujourd'hui quelque chose me dérange, je le dis. Simplement.
En fait, on en revient à la bas : s'écouter, s'autoriser à ressentir des choses, communiquer.
Et ça va dans les deux sens, bien sûr.
Ca a été une bonne part du travail (reconnaître mes besoins, les voir comme légitimes, et les lui communiquer).
Les rares fois où (j'estime qu') il a merdé/dépassé mes limites, j'ai été franche. Par exemple, la dernière fois qu'il est parti en vacances avec ses amis (bon, on avait 20 ans aussi, on vivait pas encore ensemble..) je lui ai dit que pour moi, c'était la dernière. Que s'il repartait aussi longtemps, sans tenir compte de moi, bah, j'arrêtais les frais. Il m'a promis que c'était la dernière fois, et il n'est plus reparti.
Et quand aujourd'hui quelque chose me dérange, je le dis. Simplement.
En fait, on en revient à la bas : s'écouter, s'autoriser à ressentir des choses, communiquer.
Et ça va dans les deux sens, bien sûr.
C'est intéressant ce que vous dites au sujet du respect qui est à "exiger".
J'avoue je n'étais pas d'accord non plus avec ton message initial @Bree_ (pour le côté "comment attendre de quelqu'un qu'il te respecte si tu ne te respecte pas toi-même"), même si avec ton explication je comprends totalement que cette phrase fasse sens pour toi et je suis heureuse que tu ais appris à exprimer tes besoins au sein de ton couple
.
Mais en fait cette phrase me ramène moi aussi à une histoire passée où la fin était pas glorieuse et où je me suis oubliée car je n'avais plus la force psychologique pour mettre mon bien être à la première place. J'ai passé beaucoup de choses pendant assez longtemps en espérant qu'il revienne vers moi et ça a fini très mal (notamment viols)
. Et d'un côté je maîtrisais ma vulnérabilité car je voulais voir jusqu'où il oserait aller (très bizarre d'écrire ça, je ne sais pas pourquoi j'ai agi ainsi aujourd'hui, j'imagine que la part de détresse était quand même beaucoup plus à l'oeuvre que la part de "non il n'osera pas"). J'ai fini aux urgences après avoir pris plusieurs somnifères (plus dans l'optique de dormir longtemps que de faire une tentative de suicide, et ma mère m'a emmenée aux urgences parce que psychologiquement j'étais vraiment en crise) : et là une infirmière m'a dit cette phrase sur le respect de soi-même. Et j'ai réalisé peut être un an plus tard à quel point cette phrase avait été pour moi culpabilisante (genre "tu as été violée car tu ne t'es pas respectée car tu ne t'es pas débattue"). Bref je sais pas ça m'a pas aidée. Parce que je n'étais pas prête à ce comportement de sa part, parce que parfois on n'arrive pas "à se respecter" et parce que enfin ce n'est pas ma conception du couple (j'attends qu'on me respecte même si je n'arrive plus à me respecter moi-même). (Sinon je vois trop ça comme du victim-blaming ?)
(Je ne raconte pas tout ça pour faire un point comme quoi il ne faut jamais sortir ce genre de phrase sur le respect à soi-même. Je raconte juste ma vie car ça me soulage de la raconter sur ce forum, même si c'est un peu super intime, désolée
. Bref c'est plutôt "dans mon histoire personnelle c'était pas une remarque bienvenue", pas une réflexion moralisatrice sur ce que doit être un couple ou quoi que ce soi 
).
J'avoue je n'étais pas d'accord non plus avec ton message initial @Bree_ (pour le côté "comment attendre de quelqu'un qu'il te respecte si tu ne te respecte pas toi-même"), même si avec ton explication je comprends totalement que cette phrase fasse sens pour toi et je suis heureuse que tu ais appris à exprimer tes besoins au sein de ton couple
.Mais en fait cette phrase me ramène moi aussi à une histoire passée où la fin était pas glorieuse et où je me suis oubliée car je n'avais plus la force psychologique pour mettre mon bien être à la première place. J'ai passé beaucoup de choses pendant assez longtemps en espérant qu'il revienne vers moi et ça a fini très mal (notamment viols)
. Et d'un côté je maîtrisais ma vulnérabilité car je voulais voir jusqu'où il oserait aller (très bizarre d'écrire ça, je ne sais pas pourquoi j'ai agi ainsi aujourd'hui, j'imagine que la part de détresse était quand même beaucoup plus à l'oeuvre que la part de "non il n'osera pas"). J'ai fini aux urgences après avoir pris plusieurs somnifères (plus dans l'optique de dormir longtemps que de faire une tentative de suicide, et ma mère m'a emmenée aux urgences parce que psychologiquement j'étais vraiment en crise) : et là une infirmière m'a dit cette phrase sur le respect de soi-même. Et j'ai réalisé peut être un an plus tard à quel point cette phrase avait été pour moi culpabilisante (genre "tu as été violée car tu ne t'es pas respectée car tu ne t'es pas débattue"). Bref je sais pas ça m'a pas aidée. Parce que je n'étais pas prête à ce comportement de sa part, parce que parfois on n'arrive pas "à se respecter" et parce que enfin ce n'est pas ma conception du couple (j'attends qu'on me respecte même si je n'arrive plus à me respecter moi-même). (Sinon je vois trop ça comme du victim-blaming ?)(Je ne raconte pas tout ça pour faire un point comme quoi il ne faut jamais sortir ce genre de phrase sur le respect à soi-même. Je raconte juste ma vie car ça me soulage de la raconter sur ce forum, même si c'est un peu super intime, désolée
. Bref c'est plutôt "dans mon histoire personnelle c'était pas une remarque bienvenue", pas une réflexion moralisatrice sur ce que doit être un couple ou quoi que ce soi ).
@Bree_
D'où l'importance pour moi d'expliciter son message. Juste lancer "tu ne te respectes pas alors c'est pour ça qu'il ne te respecte pas" à quelqu'un c'est inutilement violent. Je suis contre ce genre de message supposé "électrochoc". C'est la rendre responsable de cette situation merdique qui n'est en rien sa faute. Je vois mieux ce que tu voulais dire avec ce deuxième message plus fourni et même ton troisième, et je suis d'accord. Mais ça n'empêche que le premier était dur et déplacé en effet, et j'ajouterais même culpabilisant. Quant au fait que c'est à elle de s'en formaliser, si par là tu veux dire que je n'aurais pas dû réagir sur la violence de tes propos (prévenir que tu vas l'être ne justifie rien du tout) la prochaine fois alors envoie-lui un MP
D'autres filles lui ont dit grosso modo ce que tu expliques ici mais avec respect. La longévité de ta merveilleuse histoire ne te confère pas le droit de culpabiliser les autres parce qu'ils n'ont pas la force ou l'envie de faire comme toi. Si ton premier message avait ressemblé au deuxième je n'aurais pas trouvé ça méchant.
Pour ma part je ne suis absolument pas partisane des ultimatums et @Svenska a expliqué qu'elle non plus. (Dans mon cas c'est parce que si on me disait "Ou bien tu ne fais pas ça, ou bien je te quitte" => je réagis vivement : eh bah quitte-moi alors, mais ne me dis pas ce que je peux faire ou non). Tu peux relire les échanges précédents pour le point de vue de la concernée à ce sujet. Pas besoin de lui dire qu'elle ne se respecte pas parce qu'elle décide de ne pas lui en mettre... Lui dire qu'elle ne doit pas se laisser faire, qu'elle ne doit pas se taire par peur de le perdre, qu'elle doit verbaliser ses demandes et besoins est une chose, et une bonne chose même. Lui balancer que du coup c'est normal qu'il ne la respecte pas vu qu'en ne lui mettant pas d'ultimatum elle ne se respecte pas en est une autre.
Edit - en fait je le prends vraiment comme @Ada or ardor , ce genre de propos est pour moi pointer la personne qui souffre du doigt. Et que @Svenska s'en formalise ou non, pour moi c'était important de le souligner.
D'où l'importance pour moi d'expliciter son message. Juste lancer "tu ne te respectes pas alors c'est pour ça qu'il ne te respecte pas" à quelqu'un c'est inutilement violent. Je suis contre ce genre de message supposé "électrochoc". C'est la rendre responsable de cette situation merdique qui n'est en rien sa faute. Je vois mieux ce que tu voulais dire avec ce deuxième message plus fourni et même ton troisième, et je suis d'accord. Mais ça n'empêche que le premier était dur et déplacé en effet, et j'ajouterais même culpabilisant. Quant au fait que c'est à elle de s'en formaliser, si par là tu veux dire que je n'aurais pas dû réagir sur la violence de tes propos (prévenir que tu vas l'être ne justifie rien du tout) la prochaine fois alors envoie-lui un MP
D'autres filles lui ont dit grosso modo ce que tu expliques ici mais avec respect. La longévité de ta merveilleuse histoire ne te confère pas le droit de culpabiliser les autres parce qu'ils n'ont pas la force ou l'envie de faire comme toi. Si ton premier message avait ressemblé au deuxième je n'aurais pas trouvé ça méchant.
Pour ma part je ne suis absolument pas partisane des ultimatums et @Svenska a expliqué qu'elle non plus. (Dans mon cas c'est parce que si on me disait "Ou bien tu ne fais pas ça, ou bien je te quitte" => je réagis vivement : eh bah quitte-moi alors, mais ne me dis pas ce que je peux faire ou non). Tu peux relire les échanges précédents pour le point de vue de la concernée à ce sujet. Pas besoin de lui dire qu'elle ne se respecte pas parce qu'elle décide de ne pas lui en mettre... Lui dire qu'elle ne doit pas se laisser faire, qu'elle ne doit pas se taire par peur de le perdre, qu'elle doit verbaliser ses demandes et besoins est une chose, et une bonne chose même. Lui balancer que du coup c'est normal qu'il ne la respecte pas vu qu'en ne lui mettant pas d'ultimatum elle ne se respecte pas en est une autre.
Edit - en fait je le prends vraiment comme @Ada or ardor , ce genre de propos est pour moi pointer la personne qui souffre du doigt. Et que @Svenska s'en formalise ou non, pour moi c'était important de le souligner.
Dernière édition :
Pour ce qui est de se respecter et de se faire respecter, je pense qu'on a tous nos limites et notre vision de ce qui est acceptable ou non. D'ailleurs souvent ces limites évoluent avec le temps. L'important c'est d'être en accord avec et que l'autre le soit aussi. C'est ça se respecter et se faire respecter. Même si vupar des personnes extérieures ces limites sont trop loin ou pas assez ou pas posées sur les bons concepts, chacun est différent et n'a pas à juger.
Je sais que vu de l'extérieur je suis une vraie canette (ça se dit canard pour une fille?), mais c'est parceque mes limites perso sont assez larges à ce niveau là. Par contre ce que les autres ne voient pas toujours c'est à quel point je peux être intransigeante et difficile sur d'autres points. Certains vont me juger trop gentille, d'autres vont trouver que j'abuse. Bref chacun sait jusqu'où il accepte que l'autre aille, l'important c'est qu'il le sache et le respecte.
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Je sais que vu de l'extérieur je suis une vraie canette (ça se dit canard pour une fille?), mais c'est parceque mes limites perso sont assez larges à ce niveau là. Par contre ce que les autres ne voient pas toujours c'est à quel point je peux être intransigeante et difficile sur d'autres points. Certains vont me juger trop gentille, d'autres vont trouver que j'abuse. Bref chacun sait jusqu'où il accepte que l'autre aille, l'important c'est qu'il le sache et le respecte.
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@Twinsen : je trouve ta réaction disproportionnée, t'en fais un combat ou quoi ? Surtout que de base ça ne te concerne même pas. Et pour le reste, tu as ton point de vue, ce n'est pas le mien et je ne pense pas que tu sois habilitée à dire ce qui est acceptable ou non. Sans compter que tu me fais dire ce que je n'ai pas écrit, et encore moins pensé. Le soutien c'est pas uniquement des câlins et des mots doux, parfois !
@Svenska
Je vais aller un peu à l'inverse des commentaires pour le coup. J'vais raconter un peu de mon histoire.
Je suis avec mon copain actuel depuis 4 ans. Il y a deux ans, peu après qu'on ait eu 2 ans, on s'est séparés. La raison pour laquelle il m'a quittée, c'était qu'il s'était oublié dans la relation, il y avait des choses qui lui convenait plus, et il s'est rapproché d'une autre personne. Il m'a quittée "salement" dans le sens ou rien n'était clair, il était pas sur de lui, il changeait d'avis et avait un comportement toujours très ambigu avec moi, on passait du bon temps ensembles après la rupture.
Si je raconte ça, c'est parce que j'ai l'impression de ce que tu écris que ça semble être le cas de ton copain. Il s'est rapproché de quelqu'un, il semble avoir besoin de "prendre l'air" (c'est une mauvaise formulation, j'arrive pas à trouver mieux) et malgré le fait de vous être retrouvés lorsque tu lui as donné la lettre, il semble déterminé à prendre un peu de distance par le biais de ce week end.
Quand ça m'était arrivé, je n'avais pas compris, et comme toi, je lui envoyais plein plein de déclarations d'amour, j'avais une sorte de comportement bizarre ou j'oscillais entre le menacer de couper les ponts et le supplier de revenir.
Je n'essaie pas de prendre sa défense, parce que son comportement n'est pas correct, j'essaie uniquement de t'aider à comprendre.Je me souviens que ça m'avait fait du bien d'entendre le point de vue inverse, ça m'a permit de prendre un peu de recul.
Lorsqu'on s'est retrouvés, plein d'amis m'ont dit que j'étais un canard, que je me respectais pas, mais j'étais amoureuse, et j'estimais etre capable de choisir par moi même. En plus, l'issue a été très positive, parce que ce temps (nous ça a été long, la rupture a duré 6 mois) lui a été très profitable, et lui a permit de savoir très clairement ce qu'il voulait.
Quoi qu'il arrive, pour toi c'est le moment de penser à toi uniquement
(Désolée du post un peu décousu, j'ai du mal à exprimer ce que je voulais te dire)
Je vais aller un peu à l'inverse des commentaires pour le coup. J'vais raconter un peu de mon histoire.
Je suis avec mon copain actuel depuis 4 ans. Il y a deux ans, peu après qu'on ait eu 2 ans, on s'est séparés. La raison pour laquelle il m'a quittée, c'était qu'il s'était oublié dans la relation, il y avait des choses qui lui convenait plus, et il s'est rapproché d'une autre personne. Il m'a quittée "salement" dans le sens ou rien n'était clair, il était pas sur de lui, il changeait d'avis et avait un comportement toujours très ambigu avec moi, on passait du bon temps ensembles après la rupture.
Si je raconte ça, c'est parce que j'ai l'impression de ce que tu écris que ça semble être le cas de ton copain. Il s'est rapproché de quelqu'un, il semble avoir besoin de "prendre l'air" (c'est une mauvaise formulation, j'arrive pas à trouver mieux) et malgré le fait de vous être retrouvés lorsque tu lui as donné la lettre, il semble déterminé à prendre un peu de distance par le biais de ce week end.
Quand ça m'était arrivé, je n'avais pas compris, et comme toi, je lui envoyais plein plein de déclarations d'amour, j'avais une sorte de comportement bizarre ou j'oscillais entre le menacer de couper les ponts et le supplier de revenir.
Je n'essaie pas de prendre sa défense, parce que son comportement n'est pas correct, j'essaie uniquement de t'aider à comprendre.Je me souviens que ça m'avait fait du bien d'entendre le point de vue inverse, ça m'a permit de prendre un peu de recul.
Lorsqu'on s'est retrouvés, plein d'amis m'ont dit que j'étais un canard, que je me respectais pas, mais j'étais amoureuse, et j'estimais etre capable de choisir par moi même. En plus, l'issue a été très positive, parce que ce temps (nous ça a été long, la rupture a duré 6 mois) lui a été très profitable, et lui a permit de savoir très clairement ce qu'il voulait.
Quoi qu'il arrive, pour toi c'est le moment de penser à toi uniquement
(Désolée du post un peu décousu, j'ai du mal à exprimer ce que je voulais te dire)
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@Bree_ Je n'en fais pas un combat, tu as explicité ton avis, moi le mien !
Débat clos pour ma part.
Débat clos pour ma part.
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