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Topic des Childfree-No Kid : pas de débat relatif au choix d'avoir des enfants ici
- Initiateur de la discussion Membre supprimé 331973
- Date de début
-
- Mots-clés
- childfree
@Malinauka Malheureusement, c'est ton frère et pas ta soeur.
Et c'est sa copine qui aura le dernier mot sur ce choix de continuer cette grossesse à terme ou non.
Tu pourras exposer toutes les difficultés possibles, si elle ne veut pas avorter, elle n'avortera pas
Et je comprends que cette situation t'inquiète, mais ce n'est pas à toi de décider si elle doit continuer cette grossesse ou non. (même si je comprends l'envie de glisser du cytotec dans son verre
)
(parce que si elle avorte à contre coeur, y'a de fortes chances que ça laisse des traces ou qu'elle retombe enceinte 2mois après )
Tout ce que tu peux faire, c'est les pousser au cul pour qu'elle fasse suivre très correctement son diabète (en soi un diabète bien suivi et bien équilibré ne posera pas de soucis pour elle et son enfant), qu'ils se fassent aider par des assistantes sociales tout ça, pour voir quels aides ils ont le droit.
J'ai eu un peu le même cas dans ma famille.
Ma soeur, diabètique aussi, situation financière très peu stable, maison en cours de travaux depuis X temps parce que pas les moyens de la finir correctement. Fumeuse de cannabis en plus d'être une grosse fumeuse de tabac de base.
Et qui arrivait pas à tomber enceinte
vu son âge, je savais qu'elle aurait pas le droit à une prise en charge pour une procréation médicalement assistée. Donc j'étais bien soulagée
...
ET PAF la grossesse miraculeuse !
J'ai soupiré, fulminé... Elle a fait des sorties de l'hopital contre avis médical..
Genre l'enfant est né par césarienne programmée, elle avait pas de vêtement pour la naissance
Mais malheureusement, je peux rien y faire à part me tenir prête quand cet enfant aura 18ans, parce qu'elle s'en occupe bien, mais une fois les 18ans passé, c'est "roulez jeunesse démerde toi". je serais au moins là pour soutenir ce gamin.
Et c'est sa copine qui aura le dernier mot sur ce choix de continuer cette grossesse à terme ou non.
Tu pourras exposer toutes les difficultés possibles, si elle ne veut pas avorter, elle n'avortera pas
Et je comprends que cette situation t'inquiète, mais ce n'est pas à toi de décider si elle doit continuer cette grossesse ou non. (même si je comprends l'envie de glisser du cytotec dans son verre
)(parce que si elle avorte à contre coeur, y'a de fortes chances que ça laisse des traces ou qu'elle retombe enceinte 2mois après )
Tout ce que tu peux faire, c'est les pousser au cul pour qu'elle fasse suivre très correctement son diabète (en soi un diabète bien suivi et bien équilibré ne posera pas de soucis pour elle et son enfant), qu'ils se fassent aider par des assistantes sociales tout ça, pour voir quels aides ils ont le droit.
J'ai eu un peu le même cas dans ma famille.
Ma soeur, diabètique aussi, situation financière très peu stable, maison en cours de travaux depuis X temps parce que pas les moyens de la finir correctement. Fumeuse de cannabis en plus d'être une grosse fumeuse de tabac de base.
Et qui arrivait pas à tomber enceinte
vu son âge, je savais qu'elle aurait pas le droit à une prise en charge pour une procréation médicalement assistée. Donc j'étais bien soulagée ...
ET PAF la grossesse miraculeuse !
J'ai soupiré, fulminé... Elle a fait des sorties de l'hopital contre avis médical..
Genre l'enfant est né par césarienne programmée, elle avait pas de vêtement pour la naissance
Mais malheureusement, je peux rien y faire à part me tenir prête quand cet enfant aura 18ans, parce qu'elle s'en occupe bien, mais une fois les 18ans passé, c'est "roulez jeunesse démerde toi". je serais au moins là pour soutenir ce gamin.
Est-ce que tu peux poster le lien ? Je trouve un peu choquant de les juger irresponsable entre autre parce qu'elle est diabétique (Je ne parle pas des autres aspects), et j'ai du mal à croire qu'un site médical raconte ça.
Je connais bien le diabète et il n'y a rien à faire AVANT, juste continuer à surveiller la glycémie PENDANT (Mais ça c'est tout le temps de toute facon). Donc je ne vois pas ce que ça change que le bébé soit surprise ou non.
Dernière édition :
@maijuinjuillet est ce que c'est peut être déconseillé dans le cas où de base avant la grossesse la personne a des gros soucis pour se réguler et que dans ce cas la grossesse ne va rien arrangé 
maintenant si elle a toujours une glycémie stable et qu'elle ne fait pas des sauts d'hyper avec des méga hypo derrière comme tu dis, il faut juste suivre.
Je serais assez dubitative par contre si elle a des problèmes de compliance avec son traitement dans le sens où, j'ai connu une meuf qui au moins une fois par semaine oubliait son stylo à insuline à la maison, donc si elle a de la peine à s'occuper d'elle même c'est compliqué de s'occuper de qqun d'autre
maintenant si elle a toujours une glycémie stable et qu'elle ne fait pas des sauts d'hyper avec des méga hypo derrière comme tu dis, il faut juste suivre.Je serais assez dubitative par contre si elle a des problèmes de compliance avec son traitement dans le sens où, j'ai connu une meuf qui au moins une fois par semaine oubliait son stylo à insuline à la maison, donc si elle a de la peine à s'occuper d'elle même c'est compliqué de s'occuper de qqun d'autre
@Astipalaya
Je pense qu'on déconseille surtout d'essayer de tomber enceinte en cas de diabète déséquilibré, parceque ça augmente les risques de fausse couche. C'est bien possible qu'un diabète ultra mal régulé fasse porter des risques au futur bébé. Mais ça n'a pas de lien avec le fait que la grossesse soit surprise ou non.
J'ai vraiment des doutes sur la véracité de ce que dit @Malinauka, je ne crois pas qu'un site vaguement médical conseillerait l'avortement en cas de grossesse non prévue chez une femme diabétique.
J'ai l'impression que tu extrapoles complètement pour aller dans ton sens et ça me met en colère en tant que personne malade parcequ'on a suffisamment d'obstacles dans nos vies pour ne pas nous en rajouter en les pseudo-sourcant scientifiquement. Ça peut faire peur à des femmes qui tomberaient sur ce message.
Je pense qu'on déconseille surtout d'essayer de tomber enceinte en cas de diabète déséquilibré, parceque ça augmente les risques de fausse couche. C'est bien possible qu'un diabète ultra mal régulé fasse porter des risques au futur bébé. Mais ça n'a pas de lien avec le fait que la grossesse soit surprise ou non.
J'ai vraiment des doutes sur la véracité de ce que dit @Malinauka, je ne crois pas qu'un site vaguement médical conseillerait l'avortement en cas de grossesse non prévue chez une femme diabétique.
J'ai l'impression que tu extrapoles complètement pour aller dans ton sens et ça me met en colère en tant que personne malade parcequ'on a suffisamment d'obstacles dans nos vies pour ne pas nous en rajouter en les pseudo-sourcant scientifiquement. Ça peut faire peur à des femmes qui tomberaient sur ce message.
@maijuinjuillet peux-tu me déciter stp ?
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Trémazane
C'est l'automne !!!
Je ne suis plus CF depuis que le désir d'enfant m'est tombé dessus il y a six mois (si si, ça a été très subite et je me débats avec ça depuis, mais c'est pas la question ici) mais si mes collègues continuent avec leurs petites phrases merdiques, il y a de bonnes chances pour que je le redevienne.
Du coup, j'ai besoin de vider mon sac parce que ces remarques qu'on se bouffe H24 continuent, aujourd'hui encore, à me mettre hors de moi. (Et je commence à me dire que c'est peut-être ça qui a étouffé mon désir d'enfant pendant si longtemps : le fait qu'on décide à ma place de ce que je vais faire de mon utérus, mais c'est toujours pas le sujet.)
Collègue n°1 :
"Je trouve ça triste une vie sans enfant." en me parlant d'un couple d'ami.e.s à lui qui n'ont pas d'enfants à tout près de 50 ans. -> Nuance, tu trouverais TA vie triste sans TES enfants. Ok. Mais ne projette pas sur autrui ta vision de la vie.
Collègue n°2 :
Qui m'engueule presque parce que je tiens quasi le même discours que sa fille de 18 ans (elle m'a l'air bien la gamine!). Je disais qu'aujourd'hui on ne peut pas faire un enfant sans se poser la question du bien fondé d'une telle décision : on est nombreux ; nous les Occidentaux on pollue pas mal à l'échelle de l'individu ; est-ce qu'on a le droit de faire un enfant dans un monde qui meurt ? ; etc. J'étais pas en train de leur dire qu'elle et les autres collègues autour de la table avaient eu tort de faire des enfants ; juste que ce sont des questions que ma génération a l'air de se poser et que je trouve ça sain.
Groupe de collègues du midi :
Je me rends compte que ce qui m'agace avec elles c'est leur classisme. On dirait qu'avoir des enfants c'est la norme. IL FAUT. Mais attention, si tu en fais avec pas assez d'argent pour leur payer des études, t'es un mauvais parent qu'on va juger pendant tout le repas de midi (et le suivant si on n'a pas fini de déblatérer). Donc y a fallu que je hausse le ton la dernière fois pour dire que ma belle-mère avait eu 3 gamin.e.s avec des revenus pas terribles. Et que mon compagnon (son fils donc) a aujourd'hui un double master grâce aux bourses. Et ça faisait des mous dédaigneuses : je sais pas ce qu'elles reprochaient aux bourses mais j'en pouvais plus de leur "moi mes enfants je pourrai les inscrire dans telle école prestigieuse ou dans telle autre alors que ma voisine gnagnagna".
Les collègues en général :
"Quand tu auras des enfants..."
Rah mais non, t'en sais rien si j'aurai des enfants. (En l'occurrence j'en veux 1, mais iels le savent pas : je l'ai jamais dit!). Marre que ce soit une évidence, que ça aille de soi. Et en plus c'est souvent accompagné d'un "tu ne pourras plus faire *activité quelconque* quand tu auras des enfants". Je sens ici une forme de jalousie : elles voient mon bujo => "tu n'auras plus le temps de faire ça quand tu auras des enfants" ; je dis que je lis énormément ces derniers temps, que je couds/tricotte/etc. => toujours la même réponse.
Mais les cocottes, personne ne vous a forcé à faire des mioches! Si vous vouliez faire tout ça (les activités susmentionnées) fallait pas avoir de gamin.e.s. Et effectivement, j'aurai moins de temps pour ça quand j'aurai un enfant mais... je le sais en fait! Mais comme ACTUELLEMENT j'en ai pas (de mioche), j'ai bien le droit de profiter de mon temps libre. Non mais!
----
Comme je ne suis plus CF, dites-moi si vous acceptez que j'intervienne ici. Je ne veux pas envahir un espace qui ne me concerne pas à 100%.
Du coup, j'ai besoin de vider mon sac parce que ces remarques qu'on se bouffe H24 continuent, aujourd'hui encore, à me mettre hors de moi. (Et je commence à me dire que c'est peut-être ça qui a étouffé mon désir d'enfant pendant si longtemps : le fait qu'on décide à ma place de ce que je vais faire de mon utérus, mais c'est toujours pas le sujet.)
Collègue n°1 :
"Je trouve ça triste une vie sans enfant." en me parlant d'un couple d'ami.e.s à lui qui n'ont pas d'enfants à tout près de 50 ans. -> Nuance, tu trouverais TA vie triste sans TES enfants. Ok. Mais ne projette pas sur autrui ta vision de la vie.
Collègue n°2 :
Qui m'engueule presque parce que je tiens quasi le même discours que sa fille de 18 ans (elle m'a l'air bien la gamine!). Je disais qu'aujourd'hui on ne peut pas faire un enfant sans se poser la question du bien fondé d'une telle décision : on est nombreux ; nous les Occidentaux on pollue pas mal à l'échelle de l'individu ; est-ce qu'on a le droit de faire un enfant dans un monde qui meurt ? ; etc. J'étais pas en train de leur dire qu'elle et les autres collègues autour de la table avaient eu tort de faire des enfants ; juste que ce sont des questions que ma génération a l'air de se poser et que je trouve ça sain.
Groupe de collègues du midi :
Je me rends compte que ce qui m'agace avec elles c'est leur classisme. On dirait qu'avoir des enfants c'est la norme. IL FAUT. Mais attention, si tu en fais avec pas assez d'argent pour leur payer des études, t'es un mauvais parent qu'on va juger pendant tout le repas de midi (et le suivant si on n'a pas fini de déblatérer). Donc y a fallu que je hausse le ton la dernière fois pour dire que ma belle-mère avait eu 3 gamin.e.s avec des revenus pas terribles. Et que mon compagnon (son fils donc) a aujourd'hui un double master grâce aux bourses. Et ça faisait des mous dédaigneuses : je sais pas ce qu'elles reprochaient aux bourses mais j'en pouvais plus de leur "moi mes enfants je pourrai les inscrire dans telle école prestigieuse ou dans telle autre alors que ma voisine gnagnagna".
Les collègues en général :
"Quand tu auras des enfants..."
Rah mais non, t'en sais rien si j'aurai des enfants. (En l'occurrence j'en veux 1, mais iels le savent pas : je l'ai jamais dit!). Marre que ce soit une évidence, que ça aille de soi. Et en plus c'est souvent accompagné d'un "tu ne pourras plus faire *activité quelconque* quand tu auras des enfants". Je sens ici une forme de jalousie : elles voient mon bujo => "tu n'auras plus le temps de faire ça quand tu auras des enfants" ; je dis que je lis énormément ces derniers temps, que je couds/tricotte/etc. => toujours la même réponse.
Mais les cocottes, personne ne vous a forcé à faire des mioches! Si vous vouliez faire tout ça (les activités susmentionnées) fallait pas avoir de gamin.e.s. Et effectivement, j'aurai moins de temps pour ça quand j'aurai un enfant mais... je le sais en fait! Mais comme ACTUELLEMENT j'en ai pas (de mioche), j'ai bien le droit de profiter de mon temps libre. Non mais!
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Comme je ne suis plus CF, dites-moi si vous acceptez que j'intervienne ici. Je ne veux pas envahir un espace qui ne me concerne pas à 100%.
@Trémazane Bah moi si ça ne te dérange pas (et si ça ne dérange pas les autres !), j'aimerais bien savoir "comment" et pourquoi (si tu arrives à l'intellectualiser) ce désir t'est tombé dessus subitement... Ça m'intrigue 
Ah et pour ce truc de "profite-en maintenant que tu as le temps", "ah mais tu verras quand t'auras des mioches tu ne pourras plus lire/dormir/voyager/jouer à la pétanque/n'importe quoi", qu'est-ce que ça peut m'agacer
Comme tu le dis c'est clair que ces remarques sont motivées par la jalousie, et je pense que ça émane surtout des gens qui n'avaient pas prévu à quel point la parentalité était source de contraintes et qui sont deg de ne plus être aussi libres qu'avant. Sauf que... fallait réfléchir avant de procréer
C'est pas une obligation d'avoir DES enfants (au pire on n'en fait qu'un, ça limite les dégâts haha), donc si tes activités, ton temps libre et ta liberté te tenaient tant à cœur que ça, ce qui est tout à fait compréhensible... Peut-être que fonder une famille n'était pas fait pour toi ! Mais bon, comme la majorité des gens se bornent à suivre aveuglément la norme sociale au lieu de questionner leurs désirs profonds... c'est sûr qu'après il y a des déceptions.
Ah et pour ce truc de "profite-en maintenant que tu as le temps", "ah mais tu verras quand t'auras des mioches tu ne pourras plus lire/dormir/voyager/jouer à la pétanque/n'importe quoi", qu'est-ce que ça peut m'agacer
Comme tu le dis c'est clair que ces remarques sont motivées par la jalousie, et je pense que ça émane surtout des gens qui n'avaient pas prévu à quel point la parentalité était source de contraintes et qui sont deg de ne plus être aussi libres qu'avant. Sauf que... fallait réfléchir avant de procréer
C'est pas une obligation d'avoir DES enfants (au pire on n'en fait qu'un, ça limite les dégâts haha), donc si tes activités, ton temps libre et ta liberté te tenaient tant à cœur que ça, ce qui est tout à fait compréhensible... Peut-être que fonder une famille n'était pas fait pour toi ! Mais bon, comme la majorité des gens se bornent à suivre aveuglément la norme sociale au lieu de questionner leurs désirs profonds... c'est sûr qu'après il y a des déceptions.
Trémazane
C'est l'automne !!!
@Chat-au-Chocolat Je pourrai répondre sous spoiler à ton interrogation (ou peut-être que ça aurait plus sa place sur le topic de discussion parents-CF et dans ce cas je posterai là-bas et je te pokerai 
). Bon, pas tout de suite (je n'ai pas le temps, je ne faisais que passer en coup de vent sur le forum).
@seapunk
Ouais sur Rockie, histoire de me faire mecxpliquer le sujet! 
En fait je voulais dire "pas le sujet dans ce post en particulier" : je venais surtout pour râler sur les dernières conneries entendues chez mes collègues et qui m'horripilent. Mais je peux développer si ça intéresse des genTes. (J'étais pas sûre que ce topic soit le lieu pour ça puisqu'il est spécifié "pas de débat sur le choix d'avoir des enfants". Bon en même temps c'est pas un débat sur ça Hum... Je me perds moi-même 
)
). Bon, pas tout de suite (je n'ai pas le temps, je ne faisais que passer en coup de vent sur le forum).@seapunk
Ouais sur Rockie, histoire de me faire mecxpliquer le sujet! En fait je voulais dire "pas le sujet dans ce post en particulier" : je venais surtout pour râler sur les dernières conneries entendues chez mes collègues et qui m'horripilent. Mais je peux développer si ça intéresse des genTes. (J'étais pas sûre que ce topic soit le lieu pour ça puisqu'il est spécifié "pas de débat sur le choix d'avoir des enfants". Bon en même temps c'est pas un débat sur ça
Hum... Je me perds moi-même )Mouais. Je suis pas convaincue. Je donnais plus haut l'exemple de mon bujo. J'ai récolté cette remarque alors que je le montrais à une collègue qui me complimentait sur le soin que j'y ai apporté. Une autre est intervenue avec son "tu ne pourras plus quand tu auras des enfants" : ça puait la jalousie.
@Trémazane : Parfois mon mec me fait des remarques grinçantes aussi sur le fait que j'ai bien plus de temps libre que lui (parce que lui est papa 
). A chaque fois je me retiens de l'envoyer bouler et de lui dire qu'après tout, personne ne l'a forcé à faire de gosses. Je m'abstiens pour la paix des ménages, je lui dit juste d'assumer la vie qu'il a choisi, avec ses avantages et ses inconvénients, tout comme j'assume la mienne. Surtout que sa situation parentale se répercute énormément sur notre couple aussi et me fait souffrir, donc je n'apprécie pas trop qu'il vienne me chatouiller là dessus.
Mais je t'avoue que face à d'autres personnes, je n'ai pas cette patience. Sans être impolie, je me permet de me moquer d'eux en retour, en leur faisant comprendre subtilement (et à grands renfort d'hypocrisie) qu'effectivement je n'échangerai pour rien au monde ma vie contre la leur, qui a l'air si pénible et peu épanouissante. Ca reste poli, et ça "douche" un peu la personne, pour lui passer l'envie de me taquiner trop souvent là dessus !
En plus je trouve ça tellement pénible les gens qui se plaignent H24 de leurs enfants, d'à quel point c'est horriblement dur de devoir s'en occuper... Je trouve ça vraiment triste pour leurs gosses, ça me fait beaucoup de peine de me dire qu'ils sont plus vus comme des boulets qu'autre chose par leurs parents
!
). A chaque fois je me retiens de l'envoyer bouler et de lui dire qu'après tout, personne ne l'a forcé à faire de gosses. Je m'abstiens pour la paix des ménages, je lui dit juste d'assumer la vie qu'il a choisi, avec ses avantages et ses inconvénients, tout comme j'assume la mienne. Surtout que sa situation parentale se répercute énormément sur notre couple aussi et me fait souffrir, donc je n'apprécie pas trop qu'il vienne me chatouiller là dessus. Mais je t'avoue que face à d'autres personnes, je n'ai pas cette patience. Sans être impolie, je me permet de me moquer d'eux en retour, en leur faisant comprendre subtilement (et à grands renfort d'hypocrisie) qu'effectivement je n'échangerai pour rien au monde ma vie contre la leur, qui a l'air si pénible et peu épanouissante
. Ca reste poli, et ça "douche" un peu la personne, pour lui passer l'envie de me taquiner trop souvent là dessus ! En plus je trouve ça tellement pénible les gens qui se plaignent H24 de leurs enfants, d'à quel point c'est horriblement dur de devoir s'en occuper... Je trouve ça vraiment triste pour leurs gosses, ça me fait beaucoup de peine de me dire qu'ils sont plus vus comme des boulets qu'autre chose par leurs parents
!
