@Lifaë si tu cherches toujours un article sympa sur les poufsouffles, y'avait ça sur tumblr qu'une madmoizelle avait d'ailleurs traduit et publié sur le site:
Poufsouffle, c’est du thé et un pull-over.
Poufsouffle, c’est mettre une claque à quelqu’un pour le faire taire, le calmer ou lui faire prendre conscience de quelque chose.
Poufsouffle, c’est le printemps, c’est voir la neige de l’hiver fondre et se prélasser au soleil.
Poufsouffle, c’est chanter fort sur du Journey et du Queen.
Poufsouffle, c’est avoir une chambre en bordel mais savoir exactement où se trouve chaque chose.
Poufsouffle, c’est « il n’y a rien que mieux que trop de chocolat ».
Poufsouffle, c’est un verre de champagne de trop, pour que le monde semble merveilleux.
Poufsouffle, c’est n’en avoir franchement rien à faire de ce que pensent les autres.
Poufsouffle, c’est une guerre des farces qui part dans tous les sens.
Poufsouffle, c’est régler les problèmes pendant que les autres se disputent.
Poufsouffle, c’est refuser de rentrer dans le moule, et ça donne des Hufflepunks (Punksouffle, ou Poufpunks, mais ça rend moins bien).
Poufsouffle, c’est rester debout jusqu’à 3h du mat’ pour sortir quelqu’un de la dépression, des idées de suicide, l’empêcher de faire quelque chose de stupide, lui montrer à quel point il est génial et aimé.
Poufsouffle, c’est la loyauté, l’amitié vraie, pas le truc en plastoc de Mon Petit Poney.
Poufsouffle, c’est les premiers à réussir à importer Netflix à Poudlard, malgré les interférences magiques.
Poufsouffle, c’est la solitude, le désir intense d’amitié.
Poufsouffle, c’est devoir gérer la dérision et le mépris.
Poufsouffle, c’est la loyauté envers le mauvais idéal, c’est aimer la mauvaise personne. Poufsouffle, c’est se noyer dans ses émotions, jusqu’à la crise de panique.
Et je mets d'ailleurs le reste pour les autres maisons parce que j'aime tellement ce texte que j'aimerais pouvoir l'agrandir et l'afficher sur les murs de ma chambre !
Serdaigle, c’est le calme de l’hiver et les blizzards.
Serdaigle, c’est la beauté de la blancheur de la neige sur les sapins et un ciel bleu pâle.
Serdaigle, c’est la vivacité et le tranchant d’un vent froid, l’éclat d’une lame de métal.
Serdaigle, c’est le silence d’une bibliothèque, être plongé dans un monde d’encre, de papier et de mots.
Serdaigle, c’est un verre de vin et un vieil ami.
Serdaigle, c’est les arts martiaux et la débrouillardise.
Serdaigle, c’est toujours demander « pourquoi ».
Serdaigle, ce sont des pages remplies d’écrits, de gribouillages et de diagrammes.
Serdaigle, c’est raconter des histoires salaces en code, comme ça personne ne sait pourquoi vous riez à en perdre le souffle, et le prof ne peut pas lire les petits mots que vous faites passer en classe.
Serdaigle, c’est échouer dans une matière parce que vous ne vouliez pas vous embêter avec vos devoirs, c’est ennuyeux et vous avez mieux à faire.
Serdaigle, c’est bousculer le statut quo et dire « il y a toujours une autre option ».
Serdaigle, ce sont des agrumes et une cachette remplie de junk food sur laquelle se précipiter juste après.
Serdaigle, c’est apprendre une nouvelle langue juste parce que vous en avez envie.
Serdaigle, c’est un visage innocent qui peut dissimuler le plus pervers/coquin des esprits.
Serdaigle, c’est une pile de livre qu’un jour (c’est promis) vous lirez.
Serdaigle, c’est lever les yeux et se rendre compte que « quoi, il est déjà 3h du mat’ ! », alors que vous avez cours dans cinq heures, puis finalement se dire que rester éveiller une demi-heure de plus ne fera pas de mal.
Serdaigle, c’est l’amour qui arrive doucement, comme du lierre grimpant, jusqu’au jour où on se réveille et qu’on se rend compte qu’il nous a pris au piège et qu’il nous tient fermement, mais qu’on ne voudrait pas qu’il en soit autrement.
Serdaigle, c’est l’addiction, au café, à la drogue, aux bonbons, à n’importe quoi qui peut apporter un sentiment de clarté et de vertige.
Serdaigle, c’est la froideur, c’est garder sa rancœur jusqu’à ce qu’elle s’envenime, c’est « la vengeance est un plat qui se mange froid ».
Serdaigle, c’est se taire, et ne jamais, jamais demander de l’aide, parce que l’on est suffisamment intelligent et parfaitement capable de se débrouiller seul. Parce qu’il le faut.
Gryffondor, c’est l’été, un ciel bleu sans nuages et d’immenses champs verdoyants.
Gryffondor, c’est des montées d’adrénaline et une partie de “action ou vérité”.
Gryffondor, c’est un rouge à lèvres rouge vif et de l’eau de Cologne qui fait tourner la tête.
Gryffondor, c’est des fêtes qui durent jusqu’au bout de la nuit.
Gryffondor, ce sont des feux d’artifices qui explosent dans le ciel.
Gryffondor, c’est faire face à n’importe qui, ami, ennemi ou étranger, pour leur dire qu’ils ont tort.
Gryffondor, c’est jeter une bière à ses amis et sauter sur leurs genoux pour faire une sieste.
Gryffondor, c’est l’amour des jeux d’horreur.
Gryffondor, c’est des steaks, des hamburgers, du curry épicé.
Gryffondor, c’est prendre le risque, c’est sauter le pas, peu importe les chances.
Gryffondor, c’est lever la main en classe.
Gryffondor, c’est l’amour passion, qu’il soit romantique, platonique ou autre, qui ne voit pas la différence entre une fleur des champs et un collier de diamants, tant que ça rend son destinataire heureux.
Gryffondor, c’est défendre, même si cela veut dire défendre quelqu’un que l’on déteste contre quelqu’un que l’on aime, parce qu’un Gryffondor se bat pour ce qui est juste.
Gryffondor, c’est l’imprudence, l’émotion incontrôlable, le non-respect des lois et des règles.
Gryffondor, c’est choisir l’option “moralement correcte”, même si cela veut dire blesser plus de gens.
Gryffondor, c’est régler les choses effrontément, physiquement, pour seulement les rendre pire.
Serpentard, c’est les soirées d’automne, l’air frais, mais pas froid, le coucher de soleil qui révèle la beauté de l’automne, avant qu’elle s’assombrisse pour voir apparaître des milliards d’étoiles dans un ciel d’encre.
Serpentard, c’est quand il y a dans l’air une odeur de clou de girofle, de cannelle, et de fumée qui vient d’un bon feu de bois.
Serpentard, c’est une tarte aux pommes avec de la glace à la vanille.
Serpentard, c’est un verre de whisky doré.
Serpentard, c’est se sentir bien dans une paire de jeans et une veste en cuir, c’est teindre ses cheveux, et des tatouages qui ressemblent à des œuvres d’art.
Serpentard, c’est être fier de son héritage, de ce qu’il a fallu pour en arrive là.
Serpentard, c’est un doux sentiment d’accomplissement au creux de la poitrine.
Serpentard, c’est des bottes hautes et de longues écharpes.
Serpentard, c’est une personne en qui tu as une confiance aveugle, celle que tu aimes par dessus tout, celle pour qui tu pourrais tuer.
Serpentard, c’est ne pas avoir peur du noir, mais se rappeler que la nuit guérit.
Serpentard, c’est des forêts musquées et le bruit apaisant de la pluie qui tombe.
Serpentard, c’est du sarcasme et de l’esprit.
Serpentard, c’est la détermination face à la peur.
Serpentard, c’est baratiner pour protéger ceux que l’on aime.
Serpentard, c’est l’amour qui pointe le bout de son nez doucement, jour après jour, par des effleurages discrets et des non-dits, mais qui se cabre de colère pour se défendre si nécessaire.
Serpentard, c’est le côté obscur, la moralité ambiguë, une course jusqu’à la ligne d’arrivée pour obtenir ce que l’on désire, quitte à pousser les autres s’il le faut.
Serpentard, c’est se recroqueviller dans un coin sombre, parce que c’est trop… c’est trop… et ravaler ses larmes, se relever quand même et marcher la tête haute parce qu’on ne peut pas s’arrêter maintenant, et qu’on ne peut pas faire preuve de faiblesse.
Les Poufsouffles ne sont pas faibles.
Les Serdaigles ne sont pas sans-cœur.
Les Gryffondor ne sont pas arrogants.
Les Serpentards ne sont pas mauvais.
Brisons les stéréotypes.
Soyons ouverts d’esprit.