Why I Don't F**k With Feminism - Even If It's Intersectional, posté sur le site For Harriet.
J'avoue avoir vraiment tiqué sur le titre quand je suis tombé sur l'article, mais au final il fait écho à beaucoup de questions que je me suis posées ces derniers temps, concernant le mouvement féministe en lui-même et aussi concernant la gestion du militantisme sur madmoizelle. J'ai cité quelques passages qui me semblent importants mais il est bien entendu que l'ensemble de l'article est essentiel.
Du coup j'ai été voir la définition de l'Africana Womanism et je ne vois pas trop la différence entre l'Africana Womanism, le Womanism et l'Afro-féminisme
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Si je me base sur les définitions de wikipédia, j'ai surtout l'impression que l'Africana Womanism et le Womanism se concentrent sur les inégalités raciales et de classes, en partant d'un postulat hétérocentré et cisgenre, tandis que l'Afro-féminisme (ou Black feminism?) agrandit le spectre en incluant les "minorités" sexuelles et de genre (pour reprendre le manifeste des Mwasi). Mais je pense que je m'embrouille beaucoup.
Est-ce que l'un-e d'entre vous aurait des définitions en béton?
J'avoue avoir vraiment tiqué sur le titre quand je suis tombé sur l'article, mais au final il fait écho à beaucoup de questions que je me suis posées ces derniers temps, concernant le mouvement féministe en lui-même et aussi concernant la gestion du militantisme sur madmoizelle. J'ai cité quelques passages qui me semblent importants mais il est bien entendu que l'ensemble de l'article est essentiel.
However, when I mention race, racism, Black cis-women, Black trans-women, Black women in the LGBTQ community, or Black women in the Diaspora and how we have been pervasively segregated, discriminated and physically, emotionally and verbally abused inside and outside of the feminist movement, many white feminists and intersectional white feminists seem to fall silent on these issues. However, they will rally behind the notion that women, all women, must come together to “lift every voice and sing,” “kumbuyah, my Lord” and “we shall overcome” for (certain) women’s rights.
While I want equality for all women, all men, and all people of all races, as a Black woman I cannot align myself with a women-centered movement that refuses to be inclusive of racial inequities and gender disparities. I am weary and will no longer advocate for inclusion in a white-female oriented space where I, and countless other Black women, have been constantly rejected.Just like Sojourner Truth stated in her 1851 speech, “Ain’t I A Woman,” I refuse to be a part of an ideology that historically and contemporarily dehumanizes and marginalizes the Black woman yet will culturally appropriate style and successes in order to advance their self-centered agenda.
S'il y en a qui voudraient une traduction de l'article, n'hésitez pas à me mentionner.Now, more than ever, it is time that Black women define ourselves by our own terms and join spaces that are created for us and by us. Just as Clenora Hudson-Weems, author of Africana Womanism: Reclaiming Ourselves, advocates, by defining ourselves on our terms, Black women can exclusively share safe spaces where the cultural, mental, emotional, physical and even spiritual statuses of Black womanhood are revered, nurtured and uplifted.
Du coup j'ai été voir la définition de l'Africana Womanism et je ne vois pas trop la différence entre l'Africana Womanism, le Womanism et l'Afro-féminisme
.Si je me base sur les définitions de wikipédia, j'ai surtout l'impression que l'Africana Womanism et le Womanism se concentrent sur les inégalités raciales et de classes, en partant d'un postulat hétérocentré et cisgenre, tandis que l'Afro-féminisme (ou Black feminism?) agrandit le spectre en incluant les "minorités" sexuelles et de genre (pour reprendre le manifeste des Mwasi). Mais je pense que je m'embrouille beaucoup.
Est-ce que l'un-e d'entre vous aurait des définitions en béton?
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, mais j'immerge juste pour vous parler de l'émission de ce soir ou jamais du 30 octobre, où je crois que c'est la première que j'ai entendu à la télé que le racisme anti-blanc n'existait pas.