Honnetement, je definie pas la saferie d'une insulte en fonction de sa cible. Si je veux insulter qqun (vraiment, pas lors d'un jeu entre amis), c'est que la personne m'a fait du mal ou m'as mis en colere. Mais je trouve approprié d'eviter d'y méler d'autres catégories de population qui sont deja oppréssés.
A mon sens, c'est humain de réagir et l'insulte orale est probablement un des meilleurs moyens: contenue dans des limites raisonnable (J'insiste la dessus. Je parle de coups de colere, de sentiments d'injustice profonde, etc... Je ne legitime pas la violence psychologique), elle permet d'exterioriser les choses avec des conséquences limitées.
Le language non violent est tres bien et tout, mais pour moi, on a est des etres parfois violents et il est plus sain d'exterioriser tout ca en beuglant un bon coup que de garder tout en soi.
A mon sens, c'est humain de réagir et l'insulte orale est probablement un des meilleurs moyens: contenue dans des limites raisonnable (J'insiste la dessus. Je parle de coups de colere, de sentiments d'injustice profonde, etc... Je ne legitime pas la violence psychologique), elle permet d'exterioriser les choses avec des conséquences limitées.
Le language non violent est tres bien et tout, mais pour moi, on a est des etres parfois violents et il est plus sain d'exterioriser tout ca en beuglant un bon coup que de garder tout en soi.

J'ai horreur des gens qui refusent de se remettre en question et préfèrent se moquer ouvertement de ceux qui leur font des reproches. Du coup je regrette de l'avoir défendu sur la base de son clip on va buter ton CD (qui est safe et marrant) et d'une vague connaissance des paroles de quelques-unes de ses chansons.
).
), qui partait d'un bon sentiment (parler de la condition masculine et des injonctions à la masculinité), mais que j'ai trouvé totalement déplacé, d'abord parce que parler des hommes le jour de la journée internationale des droits des femmes, c'est quand même sacrément osé, et aussi parce que la bibliographie qui l'accompagne est présentée de manière très maladroite, je cite: "Et si, à l'occasion de la Journée Internationale de la femme, on parlait des hommes (« êtres humains de sexe non féminin », pour paraphraser Pierre Desproges) et de la condition masculine ?", "ils doivent faire face, à l'instar des femmes, à des préjugés et à des clichés tenaces, subir des injustices sociales et la