@TheLittleUnicorn : comment ça ? Tu as des exemples ? Moi je trouvais qu'ils faisaient du bon boulot au Everyday Sexism Project.
@PousseMoussue : j'ai adoré ce jeu, un seul reproche il est un peu court ! Mais ils vont rajouter des arcs donc ça va. Je serai même en faveur d'un mode de jeu où on peut doser le "niveau de pornographie" on va dire, avec une version plus salée que celle qui est déjà disponible (mais je me rends bien compte de la dose de boulot que ça représente).
@MorganeGirly : arf
J'ai horreur des gens qui refusent de se remettre en question et préfèrent se moquer ouvertement de ceux qui leur font des reproches. Du coup je regrette de l'avoir défendu sur la base de son clip on va buter ton CD (qui est safe et marrant) et d'une vague connaissance des paroles de quelques-unes de ses chansons.
Ceci dit je suis assez d'accord avec @Laars : le problème c'est pas qu'on attaque Orelsan, c'est même une bonne chose, le problème c'est qu'on n'attaque QUE lui. Effet buzz quoi. Parce qu'en effet, Madame Pavoshko de Black M fait l'apologie des fusillades dans les écoles et PERSONNE ne lui dit rien ou si peu ?!? Je vous conseille la vidéo de LinksTheSun sur cette chanson, il en analyse les paroles c'est édifiant. Et toutes ses vidéos d'ailleurs, vu qu'il est féministe, intéressant et drôle.
@kwoptyx : cette infographie me donne envie de retourner sur le topic des insultes safe pour en ajouter quelques-unes de mon cru. Raclure de trou du cul, par exemple (mon "tronche de diarrhée" avait aussi reçu un petit succès).
@Ghost wind : "je te pisse à la raie" ne me semble pas plus sexiste que "je te crache à la gueule" qui a le même sens. Tout le monde pisse et a une raie, la référence sexuelle n'implique pas forcément du sexisme.
D'ailleurs moi je soutiens la vulgarité (pas forcément pour insulter hein). On vit dans une société pudibonde, où tout est lisse et aseptisé dans le langage, où le moindre gros mot choque. Attention, je ne cautionne pas le vocabulaire oppressif hein, juste la bonne vieille vulgarité ! Je veux qu'on puisse dire bite, chatte, gueule, merde sans que ça déclenche un scandale.
@PousseMoussue : j'ai adoré ce jeu, un seul reproche il est un peu court ! Mais ils vont rajouter des arcs donc ça va. Je serai même en faveur d'un mode de jeu où on peut doser le "niveau de pornographie" on va dire, avec une version plus salée que celle qui est déjà disponible (mais je me rends bien compte de la dose de boulot que ça représente).
@MorganeGirly : arf
J'ai horreur des gens qui refusent de se remettre en question et préfèrent se moquer ouvertement de ceux qui leur font des reproches. Du coup je regrette de l'avoir défendu sur la base de son clip on va buter ton CD (qui est safe et marrant) et d'une vague connaissance des paroles de quelques-unes de ses chansons.Ceci dit je suis assez d'accord avec @Laars : le problème c'est pas qu'on attaque Orelsan, c'est même une bonne chose, le problème c'est qu'on n'attaque QUE lui. Effet buzz quoi. Parce qu'en effet, Madame Pavoshko de Black M fait l'apologie des fusillades dans les écoles et PERSONNE ne lui dit rien ou si peu ?!? Je vous conseille la vidéo de LinksTheSun sur cette chanson, il en analyse les paroles c'est édifiant. Et toutes ses vidéos d'ailleurs, vu qu'il est féministe, intéressant et drôle.
@kwoptyx : cette infographie me donne envie de retourner sur le topic des insultes safe pour en ajouter quelques-unes de mon cru. Raclure de trou du cul, par exemple (mon "tronche de diarrhée" avait aussi reçu un petit succès).
@Ghost wind : "je te pisse à la raie" ne me semble pas plus sexiste que "je te crache à la gueule" qui a le même sens. Tout le monde pisse et a une raie, la référence sexuelle n'implique pas forcément du sexisme.
D'ailleurs moi je soutiens la vulgarité (pas forcément pour insulter hein). On vit dans une société pudibonde, où tout est lisse et aseptisé dans le langage, où le moindre gros mot choque. Attention, je ne cautionne pas le vocabulaire oppressif hein, juste la bonne vieille vulgarité ! Je veux qu'on puisse dire bite, chatte, gueule, merde sans que ça déclenche un scandale.
).
), qui partait d'un bon sentiment (parler de la condition masculine et des injonctions à la masculinité), mais que j'ai trouvé totalement déplacé, d'abord parce que parler des hommes le jour de la journée internationale des droits des femmes, c'est quand même sacrément osé, et aussi parce que la bibliographie qui l'accompagne est présentée de manière très maladroite, je cite: "Et si, à l'occasion de la Journée Internationale de la femme, on parlait des hommes (« êtres humains de sexe non féminin », pour paraphraser Pierre Desproges) et de la condition masculine ?", "ils doivent faire face, à l'instar des femmes, à des préjugés et à des clichés tenaces, subir des injustices sociales et la

