@hakugei_ : effectivement, je suis végane et j'achète l'essentiel de mes produits en supermarché parce que mon budget est vraiment ridicule et il n'y a pas de Naturalia ou équivalent près de chez moi. Tant qu'on ne prend que très peu de produits transformés et qu'on fait l'effort de cuisiner des produits bruts, de préférence de saison ou sinon en conserve, on s'en sort très bien.
@Heather. :je pense que tout dépend de ce qu'on met derrière l'expression "développement personnel". Comme le souligne @meechiante , si on la définit au sens large de "ce qui fait du bien/permet de se sentir mieux/plus heureux", le végéta*isme y a sa place, en effet pour mettre fin à la dissonance cognitive en premier lieu. Ou tout simplement parce que contribuer à sauver autrui, ça permet de se sentir bien, utile. En revanche, le développement personnel au sens business du terme, je n'y vois également quasiment que du mauvais. Les bouquins sur ce thème, même certains qui sont écrits par des psy, sont la plupart du temps décevants. Et, bien sûr, je te rejoins sur le fait qu'insister sur le côté personnel, individuel du mal-être a l'effet pervers d'occulter son éventuel aspect collectif, systémique. Exemple tout bête, si tant de gens sont mal au travail, c'est en grande partie parce que la conjoncture actuelle le rend précaire et donne toute latitude aux employeurs pour abuser. Pour en revenir au végéta*isme, moi j'ai du mal avec cette tendance à le relier à un mode de vie "sain". Je regrette mais ça n'a rien à voir. On peut être omni et friser l'orthorexie tout comme on peut être végane et carburer aux burgers-frites dégoulinants de gras.
@Heather. :je pense que tout dépend de ce qu'on met derrière l'expression "développement personnel". Comme le souligne @meechiante , si on la définit au sens large de "ce qui fait du bien/permet de se sentir mieux/plus heureux", le végéta*isme y a sa place, en effet pour mettre fin à la dissonance cognitive en premier lieu. Ou tout simplement parce que contribuer à sauver autrui, ça permet de se sentir bien, utile. En revanche, le développement personnel au sens business du terme, je n'y vois également quasiment que du mauvais. Les bouquins sur ce thème, même certains qui sont écrits par des psy, sont la plupart du temps décevants. Et, bien sûr, je te rejoins sur le fait qu'insister sur le côté personnel, individuel du mal-être a l'effet pervers d'occulter son éventuel aspect collectif, systémique. Exemple tout bête, si tant de gens sont mal au travail, c'est en grande partie parce que la conjoncture actuelle le rend précaire et donne toute latitude aux employeurs pour abuser. Pour en revenir au végéta*isme, moi j'ai du mal avec cette tendance à le relier à un mode de vie "sain". Je regrette mais ça n'a rien à voir. On peut être omni et friser l'orthorexie tout comme on peut être végane et carburer aux burgers-frites dégoulinants de gras.