@Leinea merci de prendre des nouvelles
Semaine un peu mode tourbillon, emportée dans le rythme, la fatigue, le stress et je viens de réaliser aussi que c'était peut être aussi mon syndrome pré menstruel (redoutable du côté fatigue et alimentation généralement). Du coup effectivement pas trop présente car trop HS le soir, sans compter que mes "matinées déconnectées" ont bien réduit le temps passé (parfois perdu) à naviguer ce qui n'est pas plus mal :-) Bref, niveau objectifs bilan hebdo plutôt mauvais à la fois par rapport à mon affaiblissement moral (stress et fatigue) et au manque d'organisation que ça génère (n'ayant pas préparé des repas à l'avance mercredi j'étais un peu en freestyle les jours suivants par ex). C'est bien là qu'on voit que les nouveaux comportements ne sont pas encore des habitudes qui résistent à la tempête. Pour l'instant ce n'est pas suffisamment problématique pour que je change mon "système" de changements à faire sur le long terme, mais on verra si ça se poursuit. Sinon le bon point c'est que je constate à nouveau à quel point une alimentation trop riche pendant quelques jours suscite des envies alimentaires très différentes (là je rêve de carottes râpées à tous les repas!), c'est pour moi un signe important de voir à quel point le corps dicte bien des envies précises pour équilibrer naturellement les apports et que ça se fait au delà d'une journée. J'ai un peu de mal à retrouver/discriminer mes sensations de faim aussi, notamment après le sport et le matin. Je pense que je retombe dans le panneau du manque de confiance où je veux être sûre-sûre que la faim est bien là et du coup j'attends beaucoup, jusqu'au moment où elle est un peu trop forte pour que le repas soit paisible et bien ralenti (un de mes objectifs). Je vois bien qu'avant ça j'ai des changements subtils de la phase où je ne pense même pas à m'alimenter, à celle où je commence à y penser, puis celle où je deviens carrément impatiente et un peu obsédée mais où les signaux concrets ne me semblent pas encore suffisants pour être "sûre-sûre". En tout cas je me pose la question maintenant de manger au réveil là où c'était redevenu un automatisme nécessaire.
Je file, ma matinée déconnectée s'est vue écourtée aujourd'hui alors je vais de ce pas faire les choses que j'ai à faire loin du pc!
Semaine un peu mode tourbillon, emportée dans le rythme, la fatigue, le stress et je viens de réaliser aussi que c'était peut être aussi mon syndrome pré menstruel (redoutable du côté fatigue et alimentation généralement). Du coup effectivement pas trop présente car trop HS le soir, sans compter que mes "matinées déconnectées" ont bien réduit le temps passé (parfois perdu) à naviguer ce qui n'est pas plus mal :-) Bref, niveau objectifs bilan hebdo plutôt mauvais à la fois par rapport à mon affaiblissement moral (stress et fatigue) et au manque d'organisation que ça génère (n'ayant pas préparé des repas à l'avance mercredi j'étais un peu en freestyle les jours suivants par ex). C'est bien là qu'on voit que les nouveaux comportements ne sont pas encore des habitudes qui résistent à la tempête. Pour l'instant ce n'est pas suffisamment problématique pour que je change mon "système" de changements à faire sur le long terme, mais on verra si ça se poursuit. Sinon le bon point c'est que je constate à nouveau à quel point une alimentation trop riche pendant quelques jours suscite des envies alimentaires très différentes (là je rêve de carottes râpées à tous les repas!), c'est pour moi un signe important de voir à quel point le corps dicte bien des envies précises pour équilibrer naturellement les apports et que ça se fait au delà d'une journée. J'ai un peu de mal à retrouver/discriminer mes sensations de faim aussi, notamment après le sport et le matin. Je pense que je retombe dans le panneau du manque de confiance où je veux être sûre-sûre que la faim est bien là et du coup j'attends beaucoup, jusqu'au moment où elle est un peu trop forte pour que le repas soit paisible et bien ralenti (un de mes objectifs). Je vois bien qu'avant ça j'ai des changements subtils de la phase où je ne pense même pas à m'alimenter, à celle où je commence à y penser, puis celle où je deviens carrément impatiente et un peu obsédée mais où les signaux concrets ne me semblent pas encore suffisants pour être "sûre-sûre". En tout cas je me pose la question maintenant de manger au réveil là où c'était redevenu un automatisme nécessaire.
Je file, ma matinée déconnectée s'est vue écourtée aujourd'hui alors je vais de ce pas faire les choses que j'ai à faire loin du pc!