@Alpha je rebondis par rapport à l'un de tes derniers messages où tu dis que c'est un dilemme quand on vient pour soutenir victime et/ou accusé. D'après ce que j'ai lu sur le cas décrit ici, c'était précisément le cas de la femme qui a été exclue de la séance : elle était venue soutenir une des victimes (je crois que c'était un procès pour violences sexuelles sur mineur).
Franchement, si un jour l'une des mes soeurs/amies proches est victime d'agression sexuelle et qu'elle a besoin de soutien au procès, je ne réfléchis pas deux minutes et j'y vais, avec ou sans enfants. Maintenant, ils sont grands, donc ce serait coloriages et livres (et boules Quiès), mais à l'époque où ils étaient bébés, j'y serais allée avec moins d'hésitation encore, car ils étaient beaucoup plus simples à gérer. Les enfants, en journée, je trouve ça plus galère quand ils commencent à vraiment bouger. Quand ils sont bébés, tu peux les calmer, avec en plus le bonus allaitement, justement (magique quand je prenais le train).
Pour l'hôpital, je suis plutôt d'accord avec toi, à l'exception des enfants très petits allaités, justement.
Franchement, si un jour l'une des mes soeurs/amies proches est victime d'agression sexuelle et qu'elle a besoin de soutien au procès, je ne réfléchis pas deux minutes et j'y vais, avec ou sans enfants. Maintenant, ils sont grands, donc ce serait coloriages et livres (et boules Quiès), mais à l'époque où ils étaient bébés, j'y serais allée avec moins d'hésitation encore, car ils étaient beaucoup plus simples à gérer. Les enfants, en journée, je trouve ça plus galère quand ils commencent à vraiment bouger. Quand ils sont bébés, tu peux les calmer, avec en plus le bonus allaitement, justement (magique quand je prenais le train).
Pour l'hôpital, je suis plutôt d'accord avec toi, à l'exception des enfants très petits allaités, justement.
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