spider-dijon;3942570 a dit :@lhooq: ça me fait rêver ton travail
l_morgendorffer;3943069 a dit :Un peu HS, mais ça me fait penser que je sais pas comment le qualifier non plus. "Copain" je trouve que c'est plus trop de notre âge (mémé inside) mais "compagnon", ou "ami" je me vois pas le dire non plus... Enfin voilà, c'est chiant
Oui mais concubin a une connotation juridique avec un statut bien particulier différent de l'union libre (si il n'y a pas de PACS ou mariage)trigger;3943189 a dit :l_morgendorffer;3943069 a dit :pantoufle;3942383 a dit :le mot "copain" est trop loin de la réalité, je sais pas (mais je me vois mal dire "ah ouais l'amour de ma vie aussi tiens !" )
Un peu HS, mais ça me fait penser que je sais pas comment le qualifier non plus. "Copain" je trouve que c'est plus trop de notre âge (mémé inside) mais "compagnon", ou "ami" je me vois pas le dire non plus... Enfin voilà, c'est chiant
Mon concubin
Je propose "le cohabitant de mon studio avec qui je suis impliquée dans une relation émotionnelle et sexuelle"trigger;3943189 a dit :Mon concubin
C'est tellement vrai . Mais cette population se concentre beaucoup en 1ère et 2ème année, après il y a beaucoup d'écrémage et il n'en reste plus beaucoup (bon y en aura toujours, mais beaucoup moins).chouette-culotte;3943990 a dit :Je ne supporte pas de voir certains étudiants se transformer en étudiants "clichés" de leur filière. Par exemple ceux qui étudient en droit / commerce / management et débarquent en costard avec l'attaché-case (contenant souvent un ordi mais pas toujours) et voient des infractions partout où ils vont "ouah le mec du macdo il t'as pas donné ton ticket de caisse c'est pas légal". Ceux qui sont en filière culturelle et arrêtent de regarder la télé ou de faire certaines activités qu'ils considèrent comme pas assez intellectuelles et passent leur temps à mépriser ce que les autres aiment. Sans oublier les étudiants qui se découvrent une âme militante et s'engagent dans un syndicat ; syndicat qu'ils finiront par quitter en milieu d'année après avoir foiré leurs partiels et s'être rendu compte que leur syndicat n'a rien pu pour eux. Souvent le changement s'opère de façon rapide entre les jours qui précèdent la rentrée et ceux qui la suivent.
Après je me rappelle avoir vu ce comportement au lycée aussi. Je me souviens d'une fille qui avait décidé d'aller en L et avant la rentrée elle avait un style très basique et bizarrement le jour de la rentrée elle est venue habillée en baba cool. Elle a gardé ce look pendant toute l’année puis s'est réorientée en ES et a retrouvé son look d'avant. Ça me fait aussi penser aux gens, qui parce qu'ils avaient prévu d'aller en prépa ou sciences po, s'étaient mis à lire des tas de livres, de journaux et trouvaient tout le reste inutile "parce que je vais à sciences po l'an prochain".
D'ailleurs j'ai du mal avec les propos du genre "l'an prochain je vais en master truc", "l'an prochain je fais telle licence pro". Ce "je vais / je fais", avec le ton très affirmé qui l'accompagne, qui considère que la chose est acquise me gêne un peu car il n'est pas du tout sûr que la personne soit accepté. J'ai toujours envie de rajouter un "peut-être" ou un "ou pas" taquin.
Je suis d'accord avec ton post.chouette-culotte;3943990 a dit :Je ne supporte pas de voir certains étudiants se transformer en étudiants "clichés" de leur filière. Par exemple ceux qui étudient en droit / commerce / management et débarquent en costard avec l'attaché-case (contenant souvent un ordi mais pas toujours) et voient des infractions partout où ils vont "ouah le mec du macdo il t'as pas donné ton ticket de caisse c'est pas légal". Ceux qui sont en filière culturelle et arrêtent de regarder la télé ou de faire certaines activités qu'ils considèrent comme pas assez intellectuelles et passent leur temps à mépriser ce que les autres aiment. Sans oublier les étudiants qui se découvrent une âme militante et s'engagent dans un syndicat ; syndicat qu'ils finiront par quitter en milieu d'année après avoir foiré leurs partiels et s'être rendu compte que leur syndicat n'a rien pu pour eux. Souvent le changement s'opère de façon rapide entre les jours qui précèdent la rentrée et ceux qui la suivent.
Après je me rappelle avoir vu ce comportement au lycée aussi. Je me souviens d'une fille qui avait décidé d'aller en L et avant la rentrée elle avait un style très basique et bizarrement le jour de la rentrée elle est venue habillée en baba cool. Elle a gardé ce look pendant toute l’année puis s'est réorientée en ES et a retrouvé son look d'avant. Ça me fait aussi penser aux gens, qui parce qu'ils avaient prévu d'aller en prépa ou sciences po, s'étaient mis à lire des tas de livres, de journaux et trouvaient tout le reste inutile "parce que je vais à sciences po l'an prochain".
D'ailleurs j'ai du mal avec les propos du genre "l'an prochain je vais en master truc", "l'an prochain je fais telle licence pro". Ce "je vais / je fais", avec le ton très affirmé qui l'accompagne, qui considère que la chose est acquise me gêne un peu car il n'est pas du tout sûr que la personne soit accepté. J'ai toujours envie de rajouter un "peut-être" ou un "ou pas" taquin.
Je rêve. Tu as donné à ton copain le surnom affectif de sushi?!!! Mais... mais... je pensais être la seule à avoir eu cette originalité...shield;3943256 a dit :J'aime bien "compagnon", étymologiquement ça veut dire "celui avec qui on partage le pain" (ben comme copain en fait).
Bon après pour plus de vraisemblance en ce qui concerne ma relation, on devrait dire "cosushi" (ou alors "compâté"!).
Mais "ami" c'est mignon aussi, et ça vient du verbe aimer. On peut toujours dire "mon ami particulier "
crepuscule;3944268 a dit :shield;3943256 a dit :J'aime bien "compagnon", étymologiquement ça veut dire "celui avec qui on partage le pain" (ben comme copain en fait).
Bon après pour plus de vraisemblance en ce qui concerne ma relation, on devrait dire "cosushi" (ou alors "compâté"!).
Mais "ami" c'est mignon aussi, et ça vient du verbe aimer. On peut toujours dire "mon ami particulier "
Je rêve. Tu as donné à ton copain le surnom affectif de sushi?!!! Mais... mais... je pensais être la seule à avoir eu cette originalité...
Non mais la vie quotidienne est un bon cas pratique en général : tu vas acheter ton pain à la boulangerie (ou au MacDo), tu fais un contrat tacite de vente, tu traverses à un passage piéton, tu es soumis au code code de la Route... Et comme en droit, on a des épreuves de cas pratiques, donc c'est un bon entrainement pour avoir le réflexe d'utiliser telle ou telle loi.chouette-culotte;3943990 a dit :Je ne supporte pas de voir certains étudiants se transformer en étudiants "clichés" de leur filière. Par exemple ceux qui étudient en droit / commerce / management et débarquent en costard avec l'attaché-case (contenant souvent un ordi mais pas toujours) et voient des infractions partout où ils vont "ouah le mec du macdo il t'as pas donné ton ticket de caisse c'est pas légal". Ceux qui sont en filière culturelle et arrêtent de regarder la télé ou de faire certaines activités qu'ils considèrent comme pas assez intellectuelles et passent leur temps à mépriser ce que les autres aiment. Sans oublier les étudiants qui se découvrent une âme militante et s'engagent dans un syndicat ; syndicat qu'ils finiront par quitter en milieu d'année après avoir foiré leurs partiels et s'être rendu compte que leur syndicat n'a rien pu pour eux. Souvent le changement s'opère de façon rapide entre les jours qui précèdent la rentrée et ceux qui la suivent.
Après je me rappelle avoir vu ce comportement au lycée aussi. Je me souviens d'une fille qui avait décidé d'aller en L et avant la rentrée elle avait un style très basique et bizarrement le jour de la rentrée elle est venue habillée en baba cool. Elle a gardé ce look pendant toute l’année puis s'est réorientée en ES et a retrouvé son look d'avant. Ça me fait aussi penser aux gens, qui parce qu'ils avaient prévu d'aller en prépa ou sciences po, s'étaient mis à lire des tas de livres, de journaux et trouvaient tout le reste inutile "parce que je vais à sciences po l'an prochain".
D'ailleurs j'ai du mal avec les propos du genre "l'an prochain je vais en master truc", "l'an prochain je fais telle licence pro". Ce "je vais / je fais", avec le ton très affirmé qui l'accompagne, qui considère que la chose est acquise me gêne un peu car il n'est pas du tout sûr que la personne soit accepté. J'ai toujours envie de rajouter un "peut-être" ou un "ou pas" taquin.