La famille, cet écosystème improbable
- Initiateur de la discussion AncienneMembre_5
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J'ai une famille... comment la qualifier ? On va dire... large. Très large.
Pour tous vous dire, ma mère a des cousines et cousins que l'on voit régulièrement (soit au minimum 4 ou 5 fois par an).Et mon père pareil. Et bien sûr, on voit aussi souvent les frères et soeurs de mes parents, et mes grands-mères, et mes "vrais cousins" (même si je m'entends aussi super-bien avec mes cousins et cousines au 2e degré). Joyeux bordel heureusement pas trop de divorces et remariages au sein de la compagnie sinon j'ose même pas imaginer.
Enfin bref. Mes parents sont des parents normaux, en fait. Ma soeur on se dispute souvent mais bon, pas plus que deux soeurs normales. C'est quand on entre dans la famille plus large que ça se complique.
Au 2e niveau du cercle, RAS. Mes oncles et tantes sont parfaits, on est très proches. J'en vois certains moins que d'autres (rapport à l'éloignement géographique). Ma grand-mère maternelle est géniale aussi. Mon père et elle on une longue tradition de blagues sur les belles-deuches (il a dû lui dire environ 375 fois qu'il allait la pousser dans un ravin mais elle lui fait de la côte de boeuf patates quand on va chez elle. Je vis chez elle actuellement (pour mes études, c'est quand même plus confort l'étage chez mamie qu'un appart étudiant pourri).
Mes grands-pères sont décédés tous les deux mais je préfère pas en parler, je les aimais tous les deux beaucoup et c'est encore dur pour moi.
Ma grand-mère paternelle est un peu... spéciale. Elle n'est pas méchante mais elle a beaucoup de chats et c'est un peu une passion chez elle, au point qu'elle en oublie un peu les humains parfois... Par exemple, à Noël elle a oublié les cadeaux de Noël (bon elle est aussi très très très très distraite, elle les avait achetés quand même mais oublié). Par contre, elle avait amené un jouet pour mon chat... LOL quoi. Du coup on la voit pas souvent, et en vrai la dernière fois qu'on y est allés, on s'est un peu fait chier.
La famille plus étendue est plus... chaotique on va dire. Je vous rassure, on ne voit pas TOUS les cousins et cousines de ma mère et de mon père (yen a trop). Ma mère a deux cousines (qui sont soeurs) et un oncle (le frère de ma mamie, vous suivez toujours) qu'on voit très souvent parce qu'elles ont grandi ensemble et qu'elles ont des enfants de l'âge de ma soeur et moi. Bon, l'une d'entre elles a épousé un psychopathe misogyne (ce qui l'empêche pas de rien foutre pendant que sa femme ramène des sous), violent, qui monopolise la parole à table, et avec lequel je me suis régulièrement engueulée au sujet des femmes et des LGBT (coucou à toi, tonton pour qui la bisexuelle que je suis est un monstre de la nature
). Tous les autres sont cool.
Du côté de mon père, c'est... un peu... la famille de cinglés, coucou c'est nous !
nan ils sont pas tous comme ça. Mais le mariage récent d'un cousin de mon père (d'ailleurs, par une conjoncture un peu étrange, si le nom de famille avait continué à être uniquement transmis par le père et que la femme devait systématiquement prendre le nom du conjoint, ledit cousin aurait, s'il avait eu un garçon, le seul à transmettre notre nom de famille... Enfin, de toute façon je me marierais avec une meuf, alors le problème est réglé) donc ce mariage était assez folklo. Entre le quart de finale Brésil/France (en gros, tout le monde suivait le match en scred), la cousine qui vient avec ses 4000 enfants intenables, le marié qui n'arrive pas à dire "oui" après trois demandes successives du maire (on a eu peur. Très peur.), les incrustes bourrés avec des tatouages de croix gammées (véridique) et bien entendu les parents incapables de gérer leur môme qui fait une crise d'asthme, parce que "vous comprenez ya le match et on veut pas rater non plus la fin de la soirée". =='
Sinon dans le lot, j'ai un oncle (cousin de maman) hyper-religieux (le seul mariage où j'ai fait la prière avant de manger) qui a donné des T-shirts à ma tante (sa soeur, cousine de maman qu'on voit beaucoup) avec la famille du mariage pour tous, qui est monté à Paris juste pour la manif pour la "famille", mais qui quand sa soeur et son cousin descendent exprès d'Alsace et d'IDF pour son anniversaire, ne daigne pas leur adresser la parole pendant la fête... re-LOL.
Mais sinon, j'ai une famille brillante. Juré. Je vous raconterais les bons souvenirs une prochaine fois sinon ça va faire trop long. La suite au 2e épisode !
Pour tous vous dire, ma mère a des cousines et cousins que l'on voit régulièrement (soit au minimum 4 ou 5 fois par an).Et mon père pareil. Et bien sûr, on voit aussi souvent les frères et soeurs de mes parents, et mes grands-mères, et mes "vrais cousins" (même si je m'entends aussi super-bien avec mes cousins et cousines au 2e degré). Joyeux bordel heureusement pas trop de divorces et remariages au sein de la compagnie sinon j'ose même pas imaginer.
Enfin bref. Mes parents sont des parents normaux, en fait. Ma soeur on se dispute souvent mais bon, pas plus que deux soeurs normales. C'est quand on entre dans la famille plus large que ça se complique.
Au 2e niveau du cercle, RAS. Mes oncles et tantes sont parfaits, on est très proches. J'en vois certains moins que d'autres (rapport à l'éloignement géographique). Ma grand-mère maternelle est géniale aussi. Mon père et elle on une longue tradition de blagues sur les belles-deuches (il a dû lui dire environ 375 fois qu'il allait la pousser dans un ravin mais elle lui fait de la côte de boeuf patates quand on va chez elle. Je vis chez elle actuellement (pour mes études, c'est quand même plus confort l'étage chez mamie qu'un appart étudiant pourri).
Mes grands-pères sont décédés tous les deux mais je préfère pas en parler, je les aimais tous les deux beaucoup et c'est encore dur pour moi.
Ma grand-mère paternelle est un peu... spéciale. Elle n'est pas méchante mais elle a beaucoup de chats et c'est un peu une passion chez elle, au point qu'elle en oublie un peu les humains parfois... Par exemple, à Noël elle a oublié les cadeaux de Noël (bon elle est aussi très très très très distraite, elle les avait achetés quand même mais oublié). Par contre, elle avait amené un jouet pour mon chat... LOL quoi. Du coup on la voit pas souvent, et en vrai la dernière fois qu'on y est allés, on s'est un peu fait chier.
La famille plus étendue est plus... chaotique on va dire. Je vous rassure, on ne voit pas TOUS les cousins et cousines de ma mère et de mon père (yen a trop). Ma mère a deux cousines (qui sont soeurs) et un oncle (le frère de ma mamie, vous suivez toujours) qu'on voit très souvent parce qu'elles ont grandi ensemble et qu'elles ont des enfants de l'âge de ma soeur et moi. Bon, l'une d'entre elles a épousé un psychopathe misogyne (ce qui l'empêche pas de rien foutre pendant que sa femme ramène des sous), violent, qui monopolise la parole à table, et avec lequel je me suis régulièrement engueulée au sujet des femmes et des LGBT (coucou à toi, tonton pour qui la bisexuelle que je suis est un monstre de la nature
). Tous les autres sont cool.Du côté de mon père, c'est... un peu... la famille de cinglés, coucou c'est nous !
nan ils sont pas tous comme ça. Mais le mariage récent d'un cousin de mon père (d'ailleurs, par une conjoncture un peu étrange, si le nom de famille avait continué à être uniquement transmis par le père et que la femme devait systématiquement prendre le nom du conjoint, ledit cousin aurait, s'il avait eu un garçon, le seul à transmettre notre nom de famille... Enfin, de toute façon je me marierais avec une meuf, alors le problème est réglé) donc ce mariage était assez folklo. Entre le quart de finale Brésil/France (en gros, tout le monde suivait le match en scred), la cousine qui vient avec ses 4000 enfants intenables, le marié qui n'arrive pas à dire "oui" après trois demandes successives du maire (on a eu peur. Très peur.), les incrustes bourrés avec des tatouages de croix gammées (véridique) et bien entendu les parents incapables de gérer leur môme qui fait une crise d'asthme, parce que "vous comprenez ya le match et on veut pas rater non plus la fin de la soirée". =='Sinon dans le lot, j'ai un oncle (cousin de maman) hyper-religieux (le seul mariage où j'ai fait la prière avant de manger) qui a donné des T-shirts à ma tante (sa soeur, cousine de maman qu'on voit beaucoup) avec la famille du mariage pour tous, qui est monté à Paris juste pour la manif pour la "famille", mais qui quand sa soeur et son cousin descendent exprès d'Alsace et d'IDF pour son anniversaire, ne daigne pas leur adresser la parole pendant la fête... re-LOL.
Mais sinon, j'ai une famille brillante. Juré. Je vous raconterais les bons souvenirs une prochaine fois sinon ça va faire trop long. La suite au 2e épisode !
La famille c'est compliqué, pour moi, j'en étais même venue à croire, que c'était anormale.
Ma famille, je crois que je pourrais faire n'importe quoi pour l'un d'entre eux, j'ai un père, une mère, un frère et une soeur. Je donnerai un rein s'il le faut. J'aime bien les avoirs au téléphone, mais je n'aime pas les voir, parce qu'en fait on communique pas vraiment on se dit des banalités. Ils sont toujours les derniers informés de mes décisions, que je suis en couple, que je fais un changement professionnel, ou quand j'achète une machine à laver.
Et puis, je voyais mes ami(e)s, avec leur repas de famille le dimanche, leur traditions. J'ai même un ex, c'est en partie la cause de la rupture, c'était dur d'accorder un week-end sur trois à le passer avec sa famille, à passer des heures à tables, et à entendre parler des gamins, des projets de vacances, du baptème du cousin... Moi, je voulais voyager, partir, ou ne rien faire, mais pouvoir décider de ce que je fais, et non pas être en famille.
Enfin, je me suis rendue compte, de deux choses, d'abord la famille, cela permet d'être moins seule, alors c'est aussi pour ça, que malgré tout, on la supporte, et on l'aime quand même. Et puis, chez certains, c'est une tradition, vivre ensemble, partager ses doutes, ses questions, c'est plus facile que de tout porter soi-même.
Alors, quelque soit sa famille, et bien faut faire avec. Même si on l'apprécie pas, c'est la notre.
Ma famille, je crois que je pourrais faire n'importe quoi pour l'un d'entre eux, j'ai un père, une mère, un frère et une soeur. Je donnerai un rein s'il le faut. J'aime bien les avoirs au téléphone, mais je n'aime pas les voir, parce qu'en fait on communique pas vraiment on se dit des banalités. Ils sont toujours les derniers informés de mes décisions, que je suis en couple, que je fais un changement professionnel, ou quand j'achète une machine à laver.
Et puis, je voyais mes ami(e)s, avec leur repas de famille le dimanche, leur traditions. J'ai même un ex, c'est en partie la cause de la rupture, c'était dur d'accorder un week-end sur trois à le passer avec sa famille, à passer des heures à tables, et à entendre parler des gamins, des projets de vacances, du baptème du cousin... Moi, je voulais voyager, partir, ou ne rien faire, mais pouvoir décider de ce que je fais, et non pas être en famille.
Enfin, je me suis rendue compte, de deux choses, d'abord la famille, cela permet d'être moins seule, alors c'est aussi pour ça, que malgré tout, on la supporte, et on l'aime quand même. Et puis, chez certains, c'est une tradition, vivre ensemble, partager ses doutes, ses questions, c'est plus facile que de tout porter soi-même.
Alors, quelque soit sa famille, et bien faut faire avec. Même si on l'apprécie pas, c'est la notre.
salut à toutes,
Quand j'ai vu le sujet je me suis dit chouette, un sujet où j'ai plein de trucs à raconter!
Contrairement à beaucoup de Madz' je n'ai (presque) que des bons souvenirs avec ma tribu!
Commençons les présentation: Papa, Maman, Moi-même et petit-frère (A. de son blaz'!) banal me direz-vous! Eh ben c'était une feinte j'ai grandi en tribu, ai-je dis, donc alors continuons : il y a aussi Mamie (la mama!!!!
Big up Mamie t'es au top!), Papy (pas le même sang mais papy quand-même sa fait 27 ans qu'il est là!), Tata Krikri et Tonton Mitch, et les cousins J. et S. Nous sommes donc 10 et nous évoluons tous ensemble dans 2 maisons séparées mais presque côte à côte. Pour les gens que je connais que rapidement pour faire au plus simple je dis souvent que j'ai 3 petits frères parce que pour moi (et pour eux aussi) c'est bien le cas!
Chez nous, c'est toujours animé, souvent désordonné (rapport au va et vient perpetuelle!) mais la règle d'or c'est "vis ta vie, on t'accompagne"!
Je ne vais parler que de mes frères parce que ben c'est ce que je préfère faire! Non pas que le reste soit chiant mais mes frères ben comme ils sont géniaux j'aime bien leur faire de la pub:
Dans l'ordre d'arrivée:
- Y a Moi (prem's!!)
- Derrière de 4 ans J. il est probablement le plus fêtard, le plus soirée en boîte & co, le plus relation public comme on dit à la maison. Mais il est aussi peu sûr de lui quand on le connait bien, hyper drôle, hyper cultivé (derrière ses airs de kéké!!). Il me ressemble sur beaucoup de points mais en même il y a des ponts sur lesquels nous sommes tellement différents...
- juste derrière A. 1 ans après J. vu le peu de temps qui les séparents, ces 2 là sont inséparables justement! A. il est calme, zen voire mou du genou! Il est quasiment mon exact opposé et donc mon meilleur ami aussi! Il a les qualités de mes défauts et vice-versa! Il est plein d'humour et prend la vie comme une grande scène de théâtre!
Tout comme J. ils se sont longtemps cherchés dans leurs études ils ont commencés chacun 2 diplômes qu'ils n'ont jamais emmené au bout (vraiment à l'opposé de moi et du petit dernier pour le coup!) mais là, les 2 semblent avoir trouvé ce qu'ils voulaient, comme on dit y a plus qu'à.
- The last but not the least: S. arrive 3 ans après A. donc 4 après J. et par conséquent, 8 après Moi. C'est le petit dernier c'est le plus méritant de nous tous sûrement. S. il est dislexique (eh c'est vraiment pas facile à écrire en plus!) il a ramé à l'école et pour courroner l'ensemble on lui rabachait sans cesse "Prend exemple sur les grands! Eux ils ont des bonnes notes!" Ouais ben si les vieux avaient su 15 ans plus tard qu'il serait le seul a avoir eu son bac sans avoir redoublé une seule fois ils auraient rit ( ou avec un "s" je sais pas en faite!) Petit bonhomme va rentrer en BTS et sa c'est NOTRE plus grande fierté! S. il est plus indépendant , plus à la roots, il est comme moi au même âge en faite (rapport au dreads locks, au festoch, la musique ska enfin à la roots quoi!)
Comment on fait pour ne jamais (s'être) entretuer?! On ne sait pas, ça à toujours été facile entre nous!
Même si ils nous arrivent de passer du temps séparé on est lié (au delà que par le lien familiale) par la même passion le foot! Chez nous c'est vrai culture de père en fils et de mère en fille depuis déjà 3 générations. On se retrouve toujours autour (ou sur/ ou devant) un stade le week-end avec toute la smala!
Notre famille elle envoit tellement le pâté qu'on a même adopté des gens qui ont pas eu autant de bol que nous! Mais sa je reviendrai pour en parler.
En conclusion je dirais juste mes plus souvenirs c'est eux, c'est avec eux, c'est grâce eux!
Voilà voilà la vie d'une famille de bisounours!
Quand j'ai vu le sujet je me suis dit chouette, un sujet où j'ai plein de trucs à raconter!
Contrairement à beaucoup de Madz' je n'ai (presque) que des bons souvenirs avec ma tribu!
Commençons les présentation: Papa, Maman, Moi-même et petit-frère (A. de son blaz'!) banal me direz-vous! Eh ben c'était une feinte j'ai grandi en tribu, ai-je dis, donc alors continuons : il y a aussi Mamie (la mama!!!!
Big up Mamie t'es au top!), Papy (pas le même sang mais papy quand-même sa fait 27 ans qu'il est là!), Tata Krikri et Tonton Mitch, et les cousins J. et S. Nous sommes donc 10 et nous évoluons tous ensemble dans 2 maisons séparées mais presque côte à côte. Pour les gens que je connais que rapidement pour faire au plus simple je dis souvent que j'ai 3 petits frères parce que pour moi (et pour eux aussi) c'est bien le cas!Chez nous, c'est toujours animé, souvent désordonné (rapport au va et vient perpetuelle!) mais la règle d'or c'est "vis ta vie, on t'accompagne"!
Je ne vais parler que de mes frères parce que ben c'est ce que je préfère faire! Non pas que le reste soit chiant mais mes frères ben comme ils sont géniaux j'aime bien leur faire de la pub:
Dans l'ordre d'arrivée:
- Y a Moi (prem's!!)
- Derrière de 4 ans J. il est probablement le plus fêtard, le plus soirée en boîte & co, le plus relation public comme on dit à la maison. Mais il est aussi peu sûr de lui quand on le connait bien, hyper drôle, hyper cultivé (derrière ses airs de kéké!!). Il me ressemble sur beaucoup de points mais en même il y a des ponts sur lesquels nous sommes tellement différents...
- juste derrière A. 1 ans après J. vu le peu de temps qui les séparents, ces 2 là sont inséparables justement! A. il est calme, zen voire mou du genou! Il est quasiment mon exact opposé et donc mon meilleur ami aussi! Il a les qualités de mes défauts et vice-versa! Il est plein d'humour et prend la vie comme une grande scène de théâtre!
Tout comme J. ils se sont longtemps cherchés dans leurs études ils ont commencés chacun 2 diplômes qu'ils n'ont jamais emmené au bout (vraiment à l'opposé de moi et du petit dernier pour le coup!) mais là, les 2 semblent avoir trouvé ce qu'ils voulaient, comme on dit y a plus qu'à.
- The last but not the least: S. arrive 3 ans après A. donc 4 après J. et par conséquent, 8 après Moi. C'est le petit dernier c'est le plus méritant de nous tous sûrement. S. il est dislexique (eh c'est vraiment pas facile à écrire en plus!) il a ramé à l'école et pour courroner l'ensemble on lui rabachait sans cesse "Prend exemple sur les grands! Eux ils ont des bonnes notes!" Ouais ben si les vieux avaient su 15 ans plus tard qu'il serait le seul a avoir eu son bac sans avoir redoublé une seule fois ils auraient rit ( ou avec un "s" je sais pas en faite!) Petit bonhomme va rentrer en BTS et sa c'est NOTRE plus grande fierté! S. il est plus indépendant , plus à la roots, il est comme moi au même âge en faite (rapport au dreads locks, au festoch, la musique ska enfin à la roots quoi!)
Comment on fait pour ne jamais (s'être) entretuer?! On ne sait pas, ça à toujours été facile entre nous!
Même si ils nous arrivent de passer du temps séparé on est lié (au delà que par le lien familiale) par la même passion le foot! Chez nous c'est vrai culture de père en fils et de mère en fille depuis déjà 3 générations. On se retrouve toujours autour (ou sur/ ou devant) un stade le week-end avec toute la smala!
Notre famille elle envoit tellement le pâté qu'on a même adopté des gens qui ont pas eu autant de bol que nous! Mais sa je reviendrai pour en parler.
En conclusion je dirais juste mes plus souvenirs c'est eux, c'est avec eux, c'est grâce eux!
Voilà voilà la vie d'une famille de bisounours!
Dernière édition :
Grand père paternel : prof de français communiste macho, peu bavard et aimable qui a toujours rabaissé mon père puis mort d'alzheimer.
Grand mère paternelle : épouse soumise qui a perdu son père héros de la résistance lorsqu'elle avait 16 ans. Elle n'a jamais défendu mon père. Assez silencieuse
Mon père : enfant surdoué, ancien communiste, séducteur de ses dames, glandeur, fêtard dans sa jeunesse. Toujours prêt à défendre ses droits et ceux de sa famille quitte à gueuler très très fort. Cultivée, drôle, fou d'histoire et d'automobile, amateur de blagues salaces et beauf. Toujours à vouloir se mettre en avant, faire ses preuve, à parler fort et une fâcheuse tendance à ne pas écouter son interlocuteur, provocateur de l'extrême. Tendance à diriger les autres et à les manipuler ou ne rien faire dans la maison, ma mère devrait être sa bonne comme l'était sa mère.
Mon idole pendant longtemps avant de découvrir ses infidélités envers ma mère.
Puis dépressif/agressif depuis la mort de sa petite soeur devenu dépressif/patachon/jem'enfoutiste/levée complète d'inhibition lorsque ma mère a voulu divorcer et qu'il a commencé un traitement, avec un penchant pour le whisky et pour les armes.
Peut-être borderline. Il me fait trop de confidences sur sa vie de couple, critique très très facile envers ma mère. Il redevient tyrannique depuis l'arrêt de son traitement.
Se dit ouvert d'esprit mais commence à devenir xénophobe et sexiste, enfin bref, le tonton raciste de chaque famille.
Grand père maternel : bricoleur, on l'appelle Papy Manouche, un soixante-huitard fou amoureux de ma grand mère au moment du mariage et de la naissance de ma mère, son premier enfant. Il est devenu père à 19 ans. Père absent et peu responsable qui a divorcé quand ma mère avait 6 ans.
Divorcé et remarié deux fois, avec enfants et petits-enfants issus du deuxième mariage.
Grand mère maternelle : très belle parisienne d'origine italienne dont le père n'a jamais voulu la voir. Remarié avec un ami de mon grand père dont elle a eu un enfant qu'elle a toujours largement favorisé à ma mère puisqu'il était voulu.
Relations conflictuelles avec ma mère qui est, selon elle "une erreur" pour qui "elle a sacrifié sa jeunesse". Elles n'ont plus de relations depuis près de 10 ans et ma grand-mère a réussi à monter toute sa famille contre ma mère.
Ma mère : ancienne punkette à la silhouette mannequin, magnifique. Drôle, tendre, intelligente, sportive, dynamique, artiste, bonne danseuse, curieuse, sur une autre planète, mère adorable et présente qui a abandonné sa carrière pour ses 4 enfants.
A cherché à recréer la famille soudée qu'elle n'a jamais eu.
Elle a supporté pendant des années mon père alors qu'il était tyrannique puis a demandé le divorce puis s'est ravisée parce qu'il était redevenu tellement "gentil et doux avec son traitement".
Elle s'est coupée du monde pour se consacrer à ses enfants, lorsqu'elle allait mal à cause de mon père, je suis devenue sa confidente. Très malsaine situation.
Une "tentative de suicide" à son actif mais elle prétend qu'elle voulait simplement dormir.
Frère n°1 : A mal vécu l'arrivée des autres membres de la fratrie mais s'est montré un digne chef de clan pendant notre enfance (les jours les plus heureux de mon existence) puis vers l'âge de 11 ans, s'est détaché de la tribu au point de devenir l'être le plus secret de la famille.
Enfant surdoué, beau jeune homme ténébreux, dingue d'automobiles, fêtard.
Surnom : the Thing ou le Colocataire (preuve de la proximité que nous entretenons)
Je ne sais strictement rien de sa vie et ne connais pas ses amis.
3 ans de plus que moi
Soeur : elle était la personne la plus proche de mon grand frère dans sa petite enfance. Abandon très mal vécu.
Enfant surdouée également, rebelle rock'n'roll, garçon manqué, grande gueule, bastonneuse mais malheureusement complexée.
J'ai des relations compliquées avec elle entre jalousie, rivalité et admiration la plus complète. Elle m'a souvent rabaissé avant de devenir depuis cette année ce qui s'approche d'une amie je crois.
Elle aurait affronté n'importe qui pour protéger son petit frère ou sa petite soeur.
2 ans de plus que moi
Frère n°2 : mon petit frère, un artiste dans l'âme, drôle, surdoué, anticonformiste malgré lui, talentueux, beau. Nous étions toujours collés l'un à l'autre jusqu'à l'âge de 15 ou 16 ans. Nous avons pris un peu de distance mais restons très proches. Je lui dis tout sans crainte, il est génial. Je le défends quoiqu'il arrive.
Depuis son coming out, il est soulagé de ne plus rien cacher. Je l'ai toujours deviné et je n'en ai jamais eu rien à faire, seules les souffrances que cela pouvait engendrer m'importent.
1 an de moins que moi
Moi : confiance en moi avoisinant le zéro, la seule naine dans un famille de grands (situation très mal vécue), je souffre de troubles alimentaires et de dépression depuis que mes parents ont voulu divorcer et j'ai une tendance à la scarification.
J'étais avant l'élève modèle et joyeuse puis je suis devenue la glandeuse heureuse de vivre avant de basculer dans la dépression
Franchement, heureusement que mon petit frère et ma soeur sont là, je ne supporte plus mon père. Je le hais pour tout le mal qu'il a fait dans cette famille et pour les mensonges qu'il a proféré.
Le descendre de son piédestal a provoqué mon mal-être profond. Le fait de devenir le confident et le conseiller conjugal de mes parents également. Je m'engueule régulièrement avec mon père depuis 2 ans alors qu'avant, je faisais tout pour lui plaire et avoir son estime.
Mon père ne comprend pas mes troubles alimentaires. Il n'est pas content si je ne mange pas mais si je fais une crise, il peut m'engueuler et me dire "tu pourrais penser aux autres au lieu de tout manger". Comme si je le faisais volontairement.
Voilà, je l'aime ma famille mais mes parents ont une relation malsaine qui me pourrit la vie.
Grand mère paternelle : épouse soumise qui a perdu son père héros de la résistance lorsqu'elle avait 16 ans. Elle n'a jamais défendu mon père. Assez silencieuse
Mon père : enfant surdoué, ancien communiste, séducteur de ses dames, glandeur, fêtard dans sa jeunesse. Toujours prêt à défendre ses droits et ceux de sa famille quitte à gueuler très très fort. Cultivée, drôle, fou d'histoire et d'automobile, amateur de blagues salaces et beauf. Toujours à vouloir se mettre en avant, faire ses preuve, à parler fort et une fâcheuse tendance à ne pas écouter son interlocuteur, provocateur de l'extrême. Tendance à diriger les autres et à les manipuler ou ne rien faire dans la maison, ma mère devrait être sa bonne comme l'était sa mère.
Mon idole pendant longtemps avant de découvrir ses infidélités envers ma mère.
Puis dépressif/agressif depuis la mort de sa petite soeur devenu dépressif/patachon/jem'enfoutiste/levée complète d'inhibition lorsque ma mère a voulu divorcer et qu'il a commencé un traitement, avec un penchant pour le whisky et pour les armes.
Peut-être borderline. Il me fait trop de confidences sur sa vie de couple, critique très très facile envers ma mère. Il redevient tyrannique depuis l'arrêt de son traitement.
Se dit ouvert d'esprit mais commence à devenir xénophobe et sexiste, enfin bref, le tonton raciste de chaque famille.
Grand père maternel : bricoleur, on l'appelle Papy Manouche, un soixante-huitard fou amoureux de ma grand mère au moment du mariage et de la naissance de ma mère, son premier enfant. Il est devenu père à 19 ans. Père absent et peu responsable qui a divorcé quand ma mère avait 6 ans.
Divorcé et remarié deux fois, avec enfants et petits-enfants issus du deuxième mariage.
Grand mère maternelle : très belle parisienne d'origine italienne dont le père n'a jamais voulu la voir. Remarié avec un ami de mon grand père dont elle a eu un enfant qu'elle a toujours largement favorisé à ma mère puisqu'il était voulu.
Relations conflictuelles avec ma mère qui est, selon elle "une erreur" pour qui "elle a sacrifié sa jeunesse". Elles n'ont plus de relations depuis près de 10 ans et ma grand-mère a réussi à monter toute sa famille contre ma mère.
Ma mère : ancienne punkette à la silhouette mannequin, magnifique. Drôle, tendre, intelligente, sportive, dynamique, artiste, bonne danseuse, curieuse, sur une autre planète, mère adorable et présente qui a abandonné sa carrière pour ses 4 enfants.
A cherché à recréer la famille soudée qu'elle n'a jamais eu.
Elle a supporté pendant des années mon père alors qu'il était tyrannique puis a demandé le divorce puis s'est ravisée parce qu'il était redevenu tellement "gentil et doux avec son traitement".
Elle s'est coupée du monde pour se consacrer à ses enfants, lorsqu'elle allait mal à cause de mon père, je suis devenue sa confidente. Très malsaine situation.
Une "tentative de suicide" à son actif mais elle prétend qu'elle voulait simplement dormir.
Frère n°1 : A mal vécu l'arrivée des autres membres de la fratrie mais s'est montré un digne chef de clan pendant notre enfance (les jours les plus heureux de mon existence) puis vers l'âge de 11 ans, s'est détaché de la tribu au point de devenir l'être le plus secret de la famille.
Enfant surdoué, beau jeune homme ténébreux, dingue d'automobiles, fêtard.
Surnom : the Thing ou le Colocataire (preuve de la proximité que nous entretenons)
Je ne sais strictement rien de sa vie et ne connais pas ses amis.
3 ans de plus que moi
Soeur : elle était la personne la plus proche de mon grand frère dans sa petite enfance. Abandon très mal vécu.
Enfant surdouée également, rebelle rock'n'roll, garçon manqué, grande gueule, bastonneuse mais malheureusement complexée.
J'ai des relations compliquées avec elle entre jalousie, rivalité et admiration la plus complète. Elle m'a souvent rabaissé avant de devenir depuis cette année ce qui s'approche d'une amie je crois.
Elle aurait affronté n'importe qui pour protéger son petit frère ou sa petite soeur.
2 ans de plus que moi
Frère n°2 : mon petit frère, un artiste dans l'âme, drôle, surdoué, anticonformiste malgré lui, talentueux, beau. Nous étions toujours collés l'un à l'autre jusqu'à l'âge de 15 ou 16 ans. Nous avons pris un peu de distance mais restons très proches. Je lui dis tout sans crainte, il est génial. Je le défends quoiqu'il arrive.
Depuis son coming out, il est soulagé de ne plus rien cacher. Je l'ai toujours deviné et je n'en ai jamais eu rien à faire, seules les souffrances que cela pouvait engendrer m'importent.
1 an de moins que moi
Moi : confiance en moi avoisinant le zéro, la seule naine dans un famille de grands (situation très mal vécue), je souffre de troubles alimentaires et de dépression depuis que mes parents ont voulu divorcer et j'ai une tendance à la scarification.
J'étais avant l'élève modèle et joyeuse puis je suis devenue la glandeuse heureuse de vivre avant de basculer dans la dépression
Franchement, heureusement que mon petit frère et ma soeur sont là, je ne supporte plus mon père. Je le hais pour tout le mal qu'il a fait dans cette famille et pour les mensonges qu'il a proféré.
Le descendre de son piédestal a provoqué mon mal-être profond. Le fait de devenir le confident et le conseiller conjugal de mes parents également. Je m'engueule régulièrement avec mon père depuis 2 ans alors qu'avant, je faisais tout pour lui plaire et avoir son estime.
Mon père ne comprend pas mes troubles alimentaires. Il n'est pas content si je ne mange pas mais si je fais une crise, il peut m'engueuler et me dire "tu pourrais penser aux autres au lieu de tout manger". Comme si je le faisais volontairement.
Voilà, je l'aime ma famille mais mes parents ont une relation malsaine qui me pourrit la vie.
Moi, j'ai grandi avec ma famille au sens large du terme (parents, tantes, oncles, famille des tantes et des oncles par alliance,etc), ça fait que je suis toujours assez proche de ma famille, de mes cousins, cousines. En ce moment et depuis quelques temps déjà, je suis dans une région très éloignée de celle de ma famille et donc, ils me manquent.. Constamment !! 
Le plus dur, c'est de ne pas pouvoir partager ma vie et toutes mes histoires avec mes soeurs, alors qu'elles sont très proches. (On a 4 ans de décalage, de plus avec l'ainée et de moins avec la cadette je suis enfant du milieu) Il y aussi que je ne vois pas grandir mon tout petit frère, 8 ans ce week end, qui m'attend toujours pour ses anniversaires, ou encore mes neveux, de 2 et 4 ans.. Je me dis que je serais toujours, la soeur, la cousine, la tatie qui vit loin et qui vient parfois pour les vacances ou fetes mais c'est tout.. Je ne suis impliquée dans la vie de personne et personne dans la mienne alors que j'ai toujours vécu DANS ma famille comme dans une grande communauté..
Aujourd'hui, j'en souffre énormément.. Je ne dis pas que ma famille est parfaite, je suis même contente d'être loin d'eux parfois, ils sont spéciaux mais bon.
Le pire, c'est que je veux élever mes enfants dans la même dynamique dans laquelle j'ai grandi, sauf que je ne sais pas si ce sera possible ..
Je reviendrais peut-être vous parler de mes relations foireuses avec mon frère ainé ou vous dire combien j'aime ma maman et je la respecte surtout quand je me rends compte dans quels conditions elle a dû nous élever : et je suis bien sortie !
Le plus dur, c'est de ne pas pouvoir partager ma vie et toutes mes histoires avec mes soeurs, alors qu'elles sont très proches. (On a 4 ans de décalage, de plus avec l'ainée et de moins avec la cadette je suis enfant du milieu) Il y aussi que je ne vois pas grandir mon tout petit frère, 8 ans ce week end, qui m'attend toujours pour ses anniversaires, ou encore mes neveux, de 2 et 4 ans.. Je me dis que je serais toujours, la soeur, la cousine, la tatie qui vit loin et qui vient parfois pour les vacances ou fetes mais c'est tout.. Je ne suis impliquée dans la vie de personne et personne dans la mienne alors que j'ai toujours vécu DANS ma famille comme dans une grande communauté..
Aujourd'hui, j'en souffre énormément.. Je ne dis pas que ma famille est parfaite, je suis même contente d'être loin d'eux parfois, ils sont spéciaux mais bon.
Le pire, c'est que je veux élever mes enfants dans la même dynamique dans laquelle j'ai grandi, sauf que je ne sais pas si ce sera possible ..
Je reviendrais peut-être vous parler de mes relations foireuses avec mon frère ainé ou vous dire combien j'aime ma maman et je la respecte surtout quand je me rends compte dans quels conditions elle a dû nous élever : et je suis bien sortie !
Ouaaah, ça fait un bien fou de lire vos témoignages 
On se sent moins seule avec la pression familiale qu'on cherche sans arrêt à nous imposer.
Pour ma part c'est assez simple, je pourrai écrire un livre sur les relations que j'ai pu entretenir avec ma famille mais ça tient en une conclusion rapide : je suis profondément indifférente au sort des membres de ma famille. Oui, j'ai plus de compassion pour un petit écureuil ou une petite souris morte que pour eux. Beaucoup trouvent ça triste. Moi ce que je trouve triste c'est que j'ai longtemps culpabilisé à cause de ça. Sous prétexte qu'on a le même sang je suis dans l'obligation de les aimer inconditionnellement ? Ahahah. On a pas les mêmes valeurs, ni la même vision du monde, chaque fois que je passe ne serait-ce que 24h avec eux je reviens en miette.
On se sent moins seule avec la pression familiale qu'on cherche sans arrêt à nous imposer.Pour ma part c'est assez simple, je pourrai écrire un livre sur les relations que j'ai pu entretenir avec ma famille mais ça tient en une conclusion rapide : je suis profondément indifférente au sort des membres de ma famille. Oui, j'ai plus de compassion pour un petit écureuil ou une petite souris morte que pour eux. Beaucoup trouvent ça triste. Moi ce que je trouve triste c'est que j'ai longtemps culpabilisé à cause de ça. Sous prétexte qu'on a le même sang je suis dans l'obligation de les aimer inconditionnellement ? Ahahah. On a pas les mêmes valeurs, ni la même vision du monde, chaque fois que je passe ne serait-ce que 24h avec eux je reviens en miette.
Wouaah. J'ai une famille presque parfaite à côté des vôtres, c'est fou. Mais ça m'empêche pas de venir me plaindre 
Bon, alors commençons par mes grands-parents.
Grand père côté paternel : est mort depuis 5 ans. Il a profité de sa vie, a été un grand père aimant qui a rendu mon enfance magnifique. Il était aimant, drôle, gentil, attentionné. Du genre papi gâteau, qui te donne des friandises alors que t'as pas le droit. Un astre. Il était un père un peu absent, mais il avait une relation très fusionnelle avec mes parents. Quand il est parti, tout s'est un peu effondrer autour de nous. Mais on tient. Enfin, on essaie.
Ma grand mère côté paternel : alors là.. J'ai TOUJOURS eu une relation compliqué avec elle. Vu que mes parents travaillaient la semaine, elle venait nous garder. J'ai pas de souvenirs heureux avec elle. J'ai beau cherché, je vois pas. Elle s'entendait globalement assez bien avec mes parents, mais quand ils sont venus habiter chez eux le temps de construire la maison, elle a été infect avec ma maman. Elle l'accusait de rien foutre, d'être une feignasse alors que quand ma mère voulait faire quelque chose, elle l'engueulait. Et alors, depuis que mon papi, c'est catastrophique. On a déménagé y'à 3 trois ans, et on a du cohabiter pendant 1 année. Mais laisse tomber. Elle a été dégueulasse avec TOUT le monde. Traité mes parents de voleur et autres gentillesses. Elle appelait même ses frères et soeurs (qu'elle a pas vu depuis 20 ans, mais bon) pour se plaindre de ma mère.
Depuis, elle vit chez elle. Elle vient tous les dimanches (c'était une tradition avec mes grands parents) et elle est devenue dépressive, elle mange rien. Elle est triste, et elle me fait de la peine. Avec le temps, j'ai pardonné ses méchancetés envers moi, mais pas celles qu'elle a proféré contre ma maman. ça, jamais.
Elle empoisonne mon père, elle se plaint tout le temps, elle pleure quand il la ramène chez elle.. ect. Mon père a tellement changé depuis.
Grands parents côté maternel : relation beaucoup moins proches, ils vivent loin. Mon grand-père est quelqu'un d'assez froid, mais de très gentil. Ils nous aiment, ça crève les yeux. Et puis, ma grand-mère. Elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer, et je crois que mon grand-père est fatigué de devoir supporter tout ça. Mais je le comprend.
Mes parents, maintenant. Mon père est quelqu'un de bien, très cultivé. Il grogne tous le temps (pas comme les chiens hein
) et il est trèèès souvent de mauvaise humeur. Il bosse à son compte, et ça marche pas terrible. J'ai une relation pas très proche, mais c'est comme ça. Il est là pour m'aider, me consoler quand j'en ai besoin. Je l'aime très fort, mais sa nature râleuse me pourrit un peu la vie, et à tendance à m'influencer. Je suis plus chiante depuis quelque temps, et je suis certaine que c'est lié. M'enfin, maintenant que j'en ai conscience, je fais avec.
Ma maman est la personne la plus géniale du monde. C'est une maman aimante, proche de ses enfants, rigolote, pleine de vie. On s'engueule rarement, mais quand c'est le cas ça pète vite et c'est terrible. On se ressemble, on intériorise beaucoup. Bref. Je l'aime, et je suis de plus en plus complices avec elle. C'est ma petite maman d'amour
(elle est la première a avoir cru dans mon histoire d'amour, et je lui en serais toujours reconnaissante !)
Mon grand frère qui a trois ans de plus que moi. Alors, quand on était petit, il était toujours à me donner des ordres pour avoir des trucs ou que je puisse avoir le droit de le regarder quand il jouait à la play c'est un geek, qui passe ses journées à jouer sur Lol. Il aide pas, il ne travaille pas pour payer ses études (mes parents paient) et ne bouge jamais son cul de son fauteuil. Depuis qu'il a une copine, il a ouvert les yeux sur la vie et se rend compte que pour partir la voir (elle habite à l'autre bout de la France) il va falloir qu'il se bouge le derch. Alors ça va mieux. Il se confie aussi à moi, et ça m'a fait beaucoup de bien.
Ma petite soeur a 5 ans de moins que moi, et elle a une tête à claque quand elle s'y met. Elle a aucune capacité d'attention, elle est très rêveuse et parfois insolente. Mais j'essaie de la remettre dans le bon chemin. Mais, c'est surtout un petit soleil quand elle veut bien. Elle rigole beaucoup, elle est gentille et adorable quand il faut. Je l'aime énormément, et personne ne lui fera du mal tant que je serais là. (petite anecdote mignonne : je pars l'année prochaine de la maison pour la fac, et elle s'est mise à pleurer un jour parce qu'elle veut pas que je m'en aille.. ça m'a foutu les larmes aux yeux !)
Voilà voilou, courage à vous mes jolies. La famille c'est toujours complexe, mais c'est la notre et on en a qu'une. Pleins de bisous sucrés
Bon, alors commençons par mes grands-parents.
Grand père côté paternel : est mort depuis 5 ans. Il a profité de sa vie, a été un grand père aimant qui a rendu mon enfance magnifique. Il était aimant, drôle, gentil, attentionné. Du genre papi gâteau, qui te donne des friandises alors que t'as pas le droit. Un astre. Il était un père un peu absent, mais il avait une relation très fusionnelle avec mes parents. Quand il est parti, tout s'est un peu effondrer autour de nous. Mais on tient. Enfin, on essaie.
Ma grand mère côté paternel : alors là.. J'ai TOUJOURS eu une relation compliqué avec elle. Vu que mes parents travaillaient la semaine, elle venait nous garder. J'ai pas de souvenirs heureux avec elle. J'ai beau cherché, je vois pas. Elle s'entendait globalement assez bien avec mes parents, mais quand ils sont venus habiter chez eux le temps de construire la maison, elle a été infect avec ma maman. Elle l'accusait de rien foutre, d'être une feignasse alors que quand ma mère voulait faire quelque chose, elle l'engueulait. Et alors, depuis que mon papi, c'est catastrophique. On a déménagé y'à 3 trois ans, et on a du cohabiter pendant 1 année. Mais laisse tomber. Elle a été dégueulasse avec TOUT le monde. Traité mes parents de voleur et autres gentillesses. Elle appelait même ses frères et soeurs (qu'elle a pas vu depuis 20 ans, mais bon) pour se plaindre de ma mère.
Depuis, elle vit chez elle. Elle vient tous les dimanches (c'était une tradition avec mes grands parents) et elle est devenue dépressive, elle mange rien. Elle est triste, et elle me fait de la peine. Avec le temps, j'ai pardonné ses méchancetés envers moi, mais pas celles qu'elle a proféré contre ma maman. ça, jamais.
Elle empoisonne mon père, elle se plaint tout le temps, elle pleure quand il la ramène chez elle.. ect. Mon père a tellement changé depuis.
Grands parents côté maternel : relation beaucoup moins proches, ils vivent loin. Mon grand-père est quelqu'un d'assez froid, mais de très gentil. Ils nous aiment, ça crève les yeux. Et puis, ma grand-mère. Elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer, et je crois que mon grand-père est fatigué de devoir supporter tout ça. Mais je le comprend.
Mes parents, maintenant. Mon père est quelqu'un de bien, très cultivé. Il grogne tous le temps (pas comme les chiens hein
) et il est trèèès souvent de mauvaise humeur. Il bosse à son compte, et ça marche pas terrible. J'ai une relation pas très proche, mais c'est comme ça. Il est là pour m'aider, me consoler quand j'en ai besoin. Je l'aime très fort, mais sa nature râleuse me pourrit un peu la vie, et à tendance à m'influencer. Je suis plus chiante depuis quelque temps, et je suis certaine que c'est lié. M'enfin, maintenant que j'en ai conscience, je fais avec.Ma maman est la personne la plus géniale du monde. C'est une maman aimante, proche de ses enfants, rigolote, pleine de vie. On s'engueule rarement, mais quand c'est le cas ça pète vite et c'est terrible. On se ressemble, on intériorise beaucoup. Bref. Je l'aime, et je suis de plus en plus complices avec elle. C'est ma petite maman d'amour
(elle est la première a avoir cru dans mon histoire d'amour, et je lui en serais toujours reconnaissante !)Mon grand frère qui a trois ans de plus que moi. Alors, quand on était petit, il était toujours à me donner des ordres pour avoir des trucs ou que je puisse avoir le droit de le regarder quand il jouait à la play
c'est un geek, qui passe ses journées à jouer sur Lol. Il aide pas, il ne travaille pas pour payer ses études (mes parents paient) et ne bouge jamais son cul de son fauteuil. Depuis qu'il a une copine, il a ouvert les yeux sur la vie et se rend compte que pour partir la voir (elle habite à l'autre bout de la France) il va falloir qu'il se bouge le derch. Alors ça va mieux. Il se confie aussi à moi, et ça m'a fait beaucoup de bien.Ma petite soeur a 5 ans de moins que moi, et elle a une tête à claque quand elle s'y met. Elle a aucune capacité d'attention, elle est très rêveuse et parfois insolente. Mais j'essaie de la remettre dans le bon chemin. Mais, c'est surtout un petit soleil quand elle veut bien. Elle rigole beaucoup, elle est gentille et adorable quand il faut. Je l'aime énormément, et personne ne lui fera du mal tant que je serais là. (petite anecdote mignonne : je pars l'année prochaine de la maison pour la fac, et elle s'est mise à pleurer un jour parce qu'elle veut pas que je m'en aille.. ça m'a foutu les larmes aux yeux !)
Voilà voilou, courage à vous mes jolies. La famille c'est toujours complexe, mais c'est la notre et on en a qu'une. Pleins de bisous sucrés
Pfiouh je vois que je ne suis pas la seule à avoir une famille bizarre..
Grand-père maternel: Décédé il y a 17 ans. C'était un homme bien, bien que très borné sur ses idées. Un père & un grand-père aimant.
Grand-mère maternelle: Décédée il y a 1 an & demi. Mère & grand-mère aimante bien que trop "faible": elle laissait tout passer à ses petits enfants, notamment aux garçons. Pour l'exemple, alors qu'elle était très malade & ne pouvait presque plus se déplacer, elle ne laissait pasm on petit frère l'aider (petit frère qui ne cherchait pas à le faire) & racontait aux parents que sisi, il aidait... C'était une personne qui était très hypocrite: il faut faire comme tout le monde. Et elle était terrifiée par le qu'en dira-t-on?
Mère: Elle a probablement un problème psychologique. Grande manipulatrice & menteuse, elle sait à qui elle s'adresse & mène tout le monde par le bout du nez. Elle a complètement soumis mon père. Elle me fait subir des violences psychologiques depuis 18 ans maintenant (depuis la naissance du petit frère très exactement). En revanche, avec le frangin, elle le sur-couve à un point inimaginable.
Grand-père paternel: Décédé il y a 16 ans. Il m'a transmis ma passion, la musique. C'était un homme bien, droit & honnête. Il était un mari, un père & un grand-père exceptionnel & aimant. Sa famille comptait plus que tout, il était très posé & calme & savait s'imposer quand il le fallait, il savait quoi dire aux personnes pour les remettre en place ou les encourager selon le cas.
Grand-mère paternelle: Décédée il y a 4 mois. La plus grosse pert de ma vie. Une femme, une mère & une grand-mère exceptionnelle également. Elle était l'amour, selon moi. Chaque personne qu'elle a pu croiser se rappelle d'elle comme une personne incroyable (aux dires de mes amis qui ont eu l'occasion de la rencontrer). Elle respectait énormément les gens, elle était d'une gentillesse sans pareil & elle aimait les gens, elle les aimait tels qu'ils étaient, avec leurs défauts sans jamais rien leur reprocher. Elle était très attentionnée. Malheureusement, elle tenait tellement à ne faire aucune histoire qu'elle préférait se taire plutôt que s'affirmer, je pense que ça a dû la rendre mal... Elle m'a élevée.
Père: Honnête et droit à la base, il est aussi très lâche. Complètement soumis à ma mère, il préfère lui obéir et abonder dans son sens sans chercher à penser afin d'avoir la paix. Il préfère même s'en prendre à moi & la laisser me maltraiter sous ses yeux & la soutenir juste pour qu'elle ne se retourne pas contre lui. Il a préféré sa tranquillité au bien-être de sa fille. Dommage, il y a tellement de bon en lui.
Frère: Il a 6 ans de moins que moi. C'est le portrait craché de ma mère: manipulateur & menteur. De la famille je suis la seule à lui avoir posé des limites lorsqu'il était enfant & à l'heure actuelle je suis la seule personne qu'il respecte. Je crois qu'il y a tout de même du bon en lui mais... On ne le voit pas. Egoïste au possible il passe son temps sur son ordinateur à jouer. Il a tellement été couvé qu'il n'est pas capable, à l'heure actuelle, de prendre une douche de lui-même (oui il a 18 ans). Je reste inquiète pour lui car je me demande vraiment ce qu'il va devenir le jour où sa mère ne sera plus derrière lui.
Quand à moi je suis profondément détruite par ma mère, chaque fois que je passe du temps avec elle, je finis en morceaux. J'essaie de me détacher d'elle mais ce n'est pas simple. Je culpabilise énormément. Ce n'est pas parce qu'ils sont nos parents qu'on doit les aimer, et pourtant... Je n'arrive pas à prendre la distance dont j'aurais besoin pour me reconstruire.
Grand-père maternel: Décédé il y a 17 ans. C'était un homme bien, bien que très borné sur ses idées. Un père & un grand-père aimant.
Grand-mère maternelle: Décédée il y a 1 an & demi. Mère & grand-mère aimante bien que trop "faible": elle laissait tout passer à ses petits enfants, notamment aux garçons. Pour l'exemple, alors qu'elle était très malade & ne pouvait presque plus se déplacer, elle ne laissait pasm on petit frère l'aider (petit frère qui ne cherchait pas à le faire) & racontait aux parents que sisi, il aidait... C'était une personne qui était très hypocrite: il faut faire comme tout le monde. Et elle était terrifiée par le qu'en dira-t-on?
Mère: Elle a probablement un problème psychologique. Grande manipulatrice & menteuse, elle sait à qui elle s'adresse & mène tout le monde par le bout du nez. Elle a complètement soumis mon père. Elle me fait subir des violences psychologiques depuis 18 ans maintenant (depuis la naissance du petit frère très exactement). En revanche, avec le frangin, elle le sur-couve à un point inimaginable.
Grand-père paternel: Décédé il y a 16 ans. Il m'a transmis ma passion, la musique. C'était un homme bien, droit & honnête. Il était un mari, un père & un grand-père exceptionnel & aimant. Sa famille comptait plus que tout, il était très posé & calme & savait s'imposer quand il le fallait, il savait quoi dire aux personnes pour les remettre en place ou les encourager selon le cas.
Grand-mère paternelle: Décédée il y a 4 mois. La plus grosse pert de ma vie. Une femme, une mère & une grand-mère exceptionnelle également. Elle était l'amour, selon moi. Chaque personne qu'elle a pu croiser se rappelle d'elle comme une personne incroyable (aux dires de mes amis qui ont eu l'occasion de la rencontrer). Elle respectait énormément les gens, elle était d'une gentillesse sans pareil & elle aimait les gens, elle les aimait tels qu'ils étaient, avec leurs défauts sans jamais rien leur reprocher. Elle était très attentionnée. Malheureusement, elle tenait tellement à ne faire aucune histoire qu'elle préférait se taire plutôt que s'affirmer, je pense que ça a dû la rendre mal... Elle m'a élevée.
Père: Honnête et droit à la base, il est aussi très lâche. Complètement soumis à ma mère, il préfère lui obéir et abonder dans son sens sans chercher à penser afin d'avoir la paix. Il préfère même s'en prendre à moi & la laisser me maltraiter sous ses yeux & la soutenir juste pour qu'elle ne se retourne pas contre lui. Il a préféré sa tranquillité au bien-être de sa fille. Dommage, il y a tellement de bon en lui.
Frère: Il a 6 ans de moins que moi. C'est le portrait craché de ma mère: manipulateur & menteur. De la famille je suis la seule à lui avoir posé des limites lorsqu'il était enfant & à l'heure actuelle je suis la seule personne qu'il respecte. Je crois qu'il y a tout de même du bon en lui mais... On ne le voit pas. Egoïste au possible il passe son temps sur son ordinateur à jouer. Il a tellement été couvé qu'il n'est pas capable, à l'heure actuelle, de prendre une douche de lui-même (oui il a 18 ans). Je reste inquiète pour lui car je me demande vraiment ce qu'il va devenir le jour où sa mère ne sera plus derrière lui.
Quand à moi je suis profondément détruite par ma mère, chaque fois que je passe du temps avec elle, je finis en morceaux. J'essaie de me détacher d'elle mais ce n'est pas simple. Je culpabilise énormément. Ce n'est pas parce qu'ils sont nos parents qu'on doit les aimer, et pourtant... Je n'arrive pas à prendre la distance dont j'aurais besoin pour me reconstruire.
Quand j'ai vu le sujet de ce topic, je me suis dis "chouette, je vais pouvoir montrer à quel point j'aime ma famille !" et je vous vois toutes dire que vous n'avez pas de bonnes relations avec vos familles.. Si c'est ce que vous souhaitez, alors tant mieux, pour les autres Madz, courage ! 
Moi ma famille n'est pas exceptionnelle mais elle est toute ma vie. Je l'ai dans la peau. J'ai deux tatouages qui leur sont dédiés : le premier représente le signe de l'infini avec le mot "love" dedans, c'est pour l'amour de mes parents. Le deuxième comporte 5 lettres : BGSCG. Leurs initiales. Je suis l'aînée d'une famille de quatre enfants et même si ce n'est pas tous les jours "trop la classe", j'y prends souvent du plaisir je l'avoue.
J'ai été désirée par mes parents même si leurs parents étaient contre. Ils m'ont donné tout ce qu'ils pouvaient quand j'étais petite, alors je n'ai aucun mauvais souvenir de mon enfance.
Ma maman est coiffeuse et est comme ma meilleure amie. Elle a toujours été là pour moi et m'a toujours soutenu. Peu importe le sujet. J'aimerai être journaliste sportif dans le foot, elle est à fond derrière moi, publie mes articles de partout et pourtant, elle n'aime pas le sport. Quand j'ai sombré en dépression, malgré son inquiétude, elle m'a épaulé. Maintenant que je vais mieux, on est encore plus soudées.
Mon papa et moi, on s'entend plutôt bien tous les deux. On rigole, on se moque, on parle de sport. Même s'il ne le montre pas, je sais qu'il est fier de moi car il parle souvent de moi à ses amis en leur racontant ce que je fais. Même des choses inutiles comme par exemple avoir la moyenne à un partiel alors que je pensais l'avoir loupé. Il a monté son entreprise il y a peu de temps alors il me demande souvent des conseils au niveau internet pour se faire connaître, c'est marrant !
Ma première sœur a 5 ans de moins que moi. Tout pile (nous sommes nées ne même jour
). Entre nous, c'est ou tout bon, ou tout mauvais. Elle est coquette, adore se maquiller, se mettre du vernis, alors que moi je déteste ça. Il y a des moments où on va bien s'entendre sur une chose mais 5 minutes après on va s'engueuler.
Ma deuxième sœur est dans son monde. Elle est hyperactive et a un problème neurologique. Elle va s'en aller en septembre en sport étude équitation à 12ans.. Je ne sais pas si elle va vraiment me manquer mais je sais qu'on va tous ressentir son absence.
(Attention, moment culcul la praline)
J'ai un petit frère aussi. C'est mon bébé, mon amour, et tout ce que vous voulez. Tous les deux c'est fusionnel. On s'entend vraiment bien malgré nos 10 ans d'écart. J'ai été comme sa deuxième maman (comme pour mes sœurs en fait) et ça, j'ai aimé. Je ne voulais pas de mon petit frère avant. Quand ma maman a annoncé qu'elle était enceinte, j'ai hurlé et dis que j'allais le renier
. D'ailleurs, signe du destin, quand je suis allée voir à quoi il ressemblait à la maternité, il m'a fait un doigt. Je l'avais mérité après toutes les horreurs que j'avais dis. Maintenant, je l'emmène de partout où je vais. Il adore aller au stade avec moi et (je l'espère) quand je vais le voir jouer au foot. Je pourrais lui offrir le monde entier s'il le voulait..
J'ai aussi deux petites cousines dont l'une qui est ma filleule. Elle a 3ans et est très capricieuse mais quand elle est avec moi c'est un amour. C'est une vraie petite fille qui adore se déguiser avec des robes de princesses, jouer à la dinette, à la marchande, à la maman, à la maîtresse et moi, je me prête au jeu alors que je ne l'ai jamais fait avec mes sœurs.
Ma deuxième cousine n'a qu'un an donc je n'ai pas grand chose à dire.. Je m'entends très bien avec leur maman (qui est donc ma tante). C'est comme une grande soeur pour moi. On parle de tout et de rien et malgré ses 28 ans, je suis obligée de la mettre "à la page" au niveau Twitter, aha ! Mon oncle est journaliste sportif, alors autant dire qu'en lui et moi ça colle très bien !
Niveau grands-parents, je ne m'entends pas avec ma grand-mère maternelle et ma marraine pour plusieurs raisons. Le père de ma mère n'est, pour moi, pas mon grand-père. Je n'ai de bonnes relations qu'avec mes grands-parents paternels. Je vais chez mon papy en Bretagne tous les ans et je vois souvent ma grand-mère qui habite elle aussi à Lyon (comme moi).
Voili voilou pour moi.
Moi ma famille n'est pas exceptionnelle mais elle est toute ma vie. Je l'ai dans la peau. J'ai deux tatouages qui leur sont dédiés : le premier représente le signe de l'infini avec le mot "love" dedans, c'est pour l'amour de mes parents. Le deuxième comporte 5 lettres : BGSCG. Leurs initiales. Je suis l'aînée d'une famille de quatre enfants et même si ce n'est pas tous les jours "trop la classe", j'y prends souvent du plaisir je l'avoue.
J'ai été désirée par mes parents même si leurs parents étaient contre. Ils m'ont donné tout ce qu'ils pouvaient quand j'étais petite, alors je n'ai aucun mauvais souvenir de mon enfance.
Ma maman est coiffeuse et est comme ma meilleure amie. Elle a toujours été là pour moi et m'a toujours soutenu. Peu importe le sujet. J'aimerai être journaliste sportif dans le foot, elle est à fond derrière moi, publie mes articles de partout et pourtant, elle n'aime pas le sport. Quand j'ai sombré en dépression, malgré son inquiétude, elle m'a épaulé. Maintenant que je vais mieux, on est encore plus soudées.
Mon papa et moi, on s'entend plutôt bien tous les deux. On rigole, on se moque, on parle de sport. Même s'il ne le montre pas, je sais qu'il est fier de moi car il parle souvent de moi à ses amis en leur racontant ce que je fais. Même des choses inutiles comme par exemple avoir la moyenne à un partiel alors que je pensais l'avoir loupé. Il a monté son entreprise il y a peu de temps alors il me demande souvent des conseils au niveau internet pour se faire connaître, c'est marrant !
Ma première sœur a 5 ans de moins que moi. Tout pile (nous sommes nées ne même jour
). Entre nous, c'est ou tout bon, ou tout mauvais. Elle est coquette, adore se maquiller, se mettre du vernis, alors que moi je déteste ça. Il y a des moments où on va bien s'entendre sur une chose mais 5 minutes après on va s'engueuler.Ma deuxième sœur est dans son monde. Elle est hyperactive et a un problème neurologique. Elle va s'en aller en septembre en sport étude équitation à 12ans.. Je ne sais pas si elle va vraiment me manquer mais je sais qu'on va tous ressentir son absence.
(Attention, moment culcul la praline)
J'ai un petit frère aussi. C'est mon bébé, mon amour, et tout ce que vous voulez. Tous les deux c'est fusionnel. On s'entend vraiment bien malgré nos 10 ans d'écart. J'ai été comme sa deuxième maman (comme pour mes sœurs en fait) et ça, j'ai aimé. Je ne voulais pas de mon petit frère avant. Quand ma maman a annoncé qu'elle était enceinte, j'ai hurlé et dis que j'allais le renier
. D'ailleurs, signe du destin, quand je suis allée voir à quoi il ressemblait à la maternité, il m'a fait un doigt. Je l'avais mérité après toutes les horreurs que j'avais dis. Maintenant, je l'emmène de partout où je vais. Il adore aller au stade avec moi et (je l'espère) quand je vais le voir jouer au foot. Je pourrais lui offrir le monde entier s'il le voulait..J'ai aussi deux petites cousines dont l'une qui est ma filleule. Elle a 3ans et est très capricieuse mais quand elle est avec moi c'est un amour. C'est une vraie petite fille qui adore se déguiser avec des robes de princesses, jouer à la dinette, à la marchande, à la maman, à la maîtresse et moi, je me prête au jeu alors que je ne l'ai jamais fait avec mes sœurs.
Ma deuxième cousine n'a qu'un an donc je n'ai pas grand chose à dire.. Je m'entends très bien avec leur maman (qui est donc ma tante). C'est comme une grande soeur pour moi. On parle de tout et de rien et malgré ses 28 ans, je suis obligée de la mettre "à la page" au niveau Twitter, aha ! Mon oncle est journaliste sportif, alors autant dire qu'en lui et moi ça colle très bien !
Niveau grands-parents, je ne m'entends pas avec ma grand-mère maternelle et ma marraine pour plusieurs raisons. Le père de ma mère n'est, pour moi, pas mon grand-père. Je n'ai de bonnes relations qu'avec mes grands-parents paternels. Je vais chez mon papy en Bretagne tous les ans et je vois souvent ma grand-mère qui habite elle aussi à Lyon (comme moi).
Voili voilou pour moi.
Bonjooour ^^
Desolée, mais j'vais pas trop remonter le moral avec les histoires de ma famille :s Mais bon, comme tout le monde ici, on a tous un peu besoin d'en parler, pour extérioriser la chose.
Bon, pour pas partir sur du trop trop triste, je vais parler de mes grads parent paternels en premier.
Mon grand père avait 11 frères et sœurs, et est mort quand j'avais 1 an, je suis donc la seule a ne pas l'avoir connu dans ma famille proche, car étant la plus petite.
Ma grand mère, elle, est une enfant de la DDAS, une enfant qui a été adoptée quand elle avait 2 ans. Son pere adoptif voulait un garçon, mais c'est sa mère a adoptive qui est venue la chercher, et ça mon grand-papou adoptif ne l'a pas accepté, et a appelé ma grand mère pierre jusqu’à son adolescence, tout en l'aimant.
Elle a donc passé une enfance assez tranquille, jusqu’au jour ou tout est partit en vrille, mon grand papou maternel était infidèle et ma grand mamou l'a apprise de la bouche de son amante, ce qui l'a rendu folle, littéralement.
Grand papou est parti, et c'est leur fille naturelle qui a fini d'élever ma grand mère, jusqu’à ce qu'elle parte travailler das des fermes, puis se marie avec son voisin d'enfance, avant de partir de la région.
Elle a décidé dee chercher qui était ses parents biologiques vers ces 70 ans. Elle a trouvé la trace de sa mère, mais en allant la contactant, ses deux vrais frères lui ont répondu qu'elle était décédé un an plus tôt.
Un de ses freres était plus grand, l'autre plus petit. Et ils n'ont jamais entendu parler de ma mamou avant qu'elle ne les contacte.
Aucun ne connaissent leurs père. On ne sait même pas s'ils ont le même. On supposerait que Mes arrière arrière grands parents n'auraient pas accepté que leur fille leur ramène un autre enfant venu de nulle part, alors qu'ils élevaient déjà l'ainé, et que le troisième est venu assez tard pour qu'elle soit indépendante et puisse le garder.
Elle a gardé contact avec ses frères, et sa sœur adoptive, mais ne les vois plus souvent, car sa santé ne lui permet pas (elle a 88 ans).
Ils ont eu 3 enfants, ma tante en premier, mon oncle, puis mon père, très tard, ma mamou avait 42 ans (ma tante et mon père ont 12 ans d'écart, et 8 avec mon oncle)
Ma famille maternelle, c'est beaucoup plus compliqué, malheureusement.
Mon grand père était un exilé italien, assez froid mais trés aimant, parait il, a mère a toujours été son trésor, bien qu'il ait élevé ma tante comme sa fille (alors qu'elle n'était pas de lui). Il est mort d'une maladie cardiaque, ma mère avait 28 ans, ma sœur 6 mois.
Il s'est marié avec la génitrice de ma mère car elle était tombé enceinte, ce qu'elle avait fait sciemment pour avoir des bras de plus pour travailler a la ferme. Elle avait déjà 5 fils, et une fille. Elle n'a pour ainsi dire, jamais aimé ma mère, l'a ignoré plus qu’autre chose.
Mes parents sont des gens biens, qui ont tout fait pour nous élever du mieux possible. Je ne m'entend pas très bien avec mon père, car il se persuade que je suis dans ma crise d’adolescence, puisque je n'en ai pas eu, ayant été forcée à devenir mature très tôt car ayant été martyrisé par mes camarades au primaire et au collège. et n'arrive pas a comprendre que me comparer avec ma sœur tout le temps depuis ma plus tendre enfance, n'a jamais été sain pour m'élever.
J'ai seulement des cousins pour ce qui est de la famille proche (frère et sœur de mon père).
L'un, le plus agé, est un anarchiste vivant dans un squat aménagé, c'est un type génial, très gentil avec plein d'humour, qui a choisi d'être heureux en dehors de la société.
Le second, est mort a 28 ans des suites d'une erreur médicale. Mon oncle ne l'a pas vraiment élevé, car étant séparé avec sa mère Il était gay, ce que mon oncle a eu du mal a accepter, contrairement au reste de la famille. Ca fait 3 ans qu'il est décédé, et mon oncle s'en veut horriblement.
Ça fait 10 ans qu'il est remarié, ma tante avait déjà un enfant d'un précédent mariage, qui est pour moi mon cousin de cœur, a défaut de l’être de sang, le connaissant depuis que je suis bébé. Il a l'age de ma sœur.
j'ai deux nouveaux grands cousins plus âgés que moi, que ma famille connais depuis seulement 2 an. Mais la, c'est une autre histoire.
Ma sœur a 5 ans et demi de plus que moi, je l'aime plus que tout, elle a été mon idole pendant de longues années.
Cependant, nous ne somme pas proche, et je ne la connais quasiment pas. Elle est parti en internat au lycée, je n'avais que 9 ans, et est partie en étude a 700 km lorsque j'en avais 12. ne revenant a la maison que 2/3 semaines par ans.
C'est pour ça que pour elle, j'ai toujours 12 ans. Alors que je suis aujourd'hui majeure, et universitaire. J'ai su qu'elle avait un copain après leurs 1 an de relation révolus, pour vous donner un exemple, et je ne sais même pas a quoi ressemble la ou elle habite actuellement.
j’espère que maintenant que je prend aussi mon indépendance, nous en profiterons pour se rapprocher l'une de l'autre.
J'ai plus rien a dire je crois.
Desolée, mais j'vais pas trop remonter le moral avec les histoires de ma famille :s Mais bon, comme tout le monde ici, on a tous un peu besoin d'en parler, pour extérioriser la chose.
Bon, pour pas partir sur du trop trop triste, je vais parler de mes grads parent paternels en premier.
Mon grand père avait 11 frères et sœurs, et est mort quand j'avais 1 an, je suis donc la seule a ne pas l'avoir connu dans ma famille proche, car étant la plus petite.
Ma grand mère, elle, est une enfant de la DDAS, une enfant qui a été adoptée quand elle avait 2 ans. Son pere adoptif voulait un garçon, mais c'est sa mère a adoptive qui est venue la chercher, et ça mon grand-papou adoptif ne l'a pas accepté, et a appelé ma grand mère pierre jusqu’à son adolescence, tout en l'aimant.
Elle a donc passé une enfance assez tranquille, jusqu’au jour ou tout est partit en vrille, mon grand papou maternel était infidèle et ma grand mamou l'a apprise de la bouche de son amante, ce qui l'a rendu folle, littéralement.
Grand papou est parti, et c'est leur fille naturelle qui a fini d'élever ma grand mère, jusqu’à ce qu'elle parte travailler das des fermes, puis se marie avec son voisin d'enfance, avant de partir de la région.
Elle a décidé dee chercher qui était ses parents biologiques vers ces 70 ans. Elle a trouvé la trace de sa mère, mais en allant la contactant, ses deux vrais frères lui ont répondu qu'elle était décédé un an plus tôt.
Un de ses freres était plus grand, l'autre plus petit. Et ils n'ont jamais entendu parler de ma mamou avant qu'elle ne les contacte.
Aucun ne connaissent leurs père. On ne sait même pas s'ils ont le même. On supposerait que Mes arrière arrière grands parents n'auraient pas accepté que leur fille leur ramène un autre enfant venu de nulle part, alors qu'ils élevaient déjà l'ainé, et que le troisième est venu assez tard pour qu'elle soit indépendante et puisse le garder.
Elle a gardé contact avec ses frères, et sa sœur adoptive, mais ne les vois plus souvent, car sa santé ne lui permet pas (elle a 88 ans).
Ils ont eu 3 enfants, ma tante en premier, mon oncle, puis mon père, très tard, ma mamou avait 42 ans (ma tante et mon père ont 12 ans d'écart, et 8 avec mon oncle)
Ma famille maternelle, c'est beaucoup plus compliqué, malheureusement.
Mon grand père était un exilé italien, assez froid mais trés aimant, parait il, a mère a toujours été son trésor, bien qu'il ait élevé ma tante comme sa fille (alors qu'elle n'était pas de lui). Il est mort d'une maladie cardiaque, ma mère avait 28 ans, ma sœur 6 mois.
Il s'est marié avec la génitrice de ma mère car elle était tombé enceinte, ce qu'elle avait fait sciemment pour avoir des bras de plus pour travailler a la ferme. Elle avait déjà 5 fils, et une fille. Elle n'a pour ainsi dire, jamais aimé ma mère, l'a ignoré plus qu’autre chose.
Mes parents sont des gens biens, qui ont tout fait pour nous élever du mieux possible. Je ne m'entend pas très bien avec mon père, car il se persuade que je suis dans ma crise d’adolescence, puisque je n'en ai pas eu, ayant été forcée à devenir mature très tôt car ayant été martyrisé par mes camarades au primaire et au collège. et n'arrive pas a comprendre que me comparer avec ma sœur tout le temps depuis ma plus tendre enfance, n'a jamais été sain pour m'élever.
J'ai seulement des cousins pour ce qui est de la famille proche (frère et sœur de mon père).
L'un, le plus agé, est un anarchiste vivant dans un squat aménagé, c'est un type génial, très gentil avec plein d'humour, qui a choisi d'être heureux en dehors de la société.
Le second, est mort a 28 ans des suites d'une erreur médicale. Mon oncle ne l'a pas vraiment élevé, car étant séparé avec sa mère Il était gay, ce que mon oncle a eu du mal a accepter, contrairement au reste de la famille. Ca fait 3 ans qu'il est décédé, et mon oncle s'en veut horriblement.
Ça fait 10 ans qu'il est remarié, ma tante avait déjà un enfant d'un précédent mariage, qui est pour moi mon cousin de cœur, a défaut de l’être de sang, le connaissant depuis que je suis bébé. Il a l'age de ma sœur.
j'ai deux nouveaux grands cousins plus âgés que moi, que ma famille connais depuis seulement 2 an. Mais la, c'est une autre histoire.
Ma sœur a 5 ans et demi de plus que moi, je l'aime plus que tout, elle a été mon idole pendant de longues années.
Cependant, nous ne somme pas proche, et je ne la connais quasiment pas. Elle est parti en internat au lycée, je n'avais que 9 ans, et est partie en étude a 700 km lorsque j'en avais 12. ne revenant a la maison que 2/3 semaines par ans.
C'est pour ça que pour elle, j'ai toujours 12 ans. Alors que je suis aujourd'hui majeure, et universitaire. J'ai su qu'elle avait un copain après leurs 1 an de relation révolus, pour vous donner un exemple, et je ne sais même pas a quoi ressemble la ou elle habite actuellement.
j’espère que maintenant que je prend aussi mon indépendance, nous en profiterons pour se rapprocher l'une de l'autre.
J'ai plus rien a dire je crois.
Dernière édition :
Bon alors ma famille c'est TRES compliqué, il me suffira pas d'un post pour en parler. Mais je vais commencer par ma mère, parce que bien qu'on soit très complices toutes les deux, il y a certains éléments de notre relation qui ne me paraissent pas très normaux, vous allez me dire ce que vous en pensez si vous voulez bien...
Ma mère a quitté mon père il y a 16 ans, et s'est retrouvée mère célibataire de deux petites filles : moi qui avais 7 ans et demi, et ma soeur B. qui en avait 3. (Ma soeur étant handicapée)
Elle s'st donc retrouvée à nous élever tout en reprenant ses études pour pouvoir trouver un travail, et se reposait beaucoup sur moi en tant qu'ainée pour l'aider avec ma soeur. En particulier quand je suis devenue adolescente.
Je me souviens par exemple de soirs où ma soeur faisait des caprices dans sa chambre, et c'était à tour de role qu'on allait lui dire de se calmer...
Mais surtout je suis devenue sa confidente en matière d'histoires d'amour. Un peu trop, d'ailleurs, quand j'y repense. Je me souviens d'avoir taté le terrain pour elle quand un homme avec qui elle faisait du théatre lui plaisait - et qu'elle m'a dit explicitement pourquoi il n'avait pas voulu d'une histoire avec elle.
Je me souviens aussi de son histoire la plus récente (avant son histoire actuelle), elle était "en couple" avec un homme qui habitait loin de chez nous et qu'elle ne voyait presque jamais. Un jour où elle était allée le rejoindre, la biologie a fait que c'était au mauvais moment du mois. C'est à moi qu'elle s'est plainte d'avoir payé l'hotel, et de la façon dont ça s'était déroulé, en disant "j'ai payé pour tailler des pipes, il a pas cherché à me donner de plaisir" - j'avais 15-16 ans, je savais ce qu'était une pipe, et je ne tenais pas à avoir les détails des aventures sexuelles de ma mère.
Quand j'avais 17 ans, elle a rencontré mon beau-père et c'est allé très vite entre eux. J'étais sur Paris pour mes études et je revenais pour les vacances ; j'étais là quand ils se sont mis en couple, aux vacances de Paques, et à mon retour pour les vacances d'été ils s'installaient ensemble. Mon beau-père T. a un fils, A., aucun de nous n'avait jamais passé plus d'une journée ensemble, à part bien sur T. et ma mère. Mais ils ne se posaient pas la question de savoir si la cohabitation se passerait bien, on nous l'imposait. Et ça a été houleux, surtout au début.
Le jour de mon arrivée, j'ai été mise devant le fait accompli, alors qu'elle aurait pu me prévenir par téléphone. Ma mère ne m'avait pas revue depuis quatre mois, savait que j'arrivais avec son cadeau de fete des mères dans mon ordinateur... mais cinq minutes après mon retour à la maison, elle partait à l'étage avec T. en gloussant sous le prétexte de "faire du repassage". On a vite entendu que ce n'était pas du repassage qu'ils faisaient... Mon ressenti sur le moment (et quand j'y repense) : combo de "prends-moi pour une c*nne", de "je t'ai vachement manqué" et de "dis-le si je l'ai fait pour rien ton cadeau" (parce que j'étais en train de le sortir quand elle est montée).
Il n'y a pas eu que ça. Soudain je n'avais plus mon mot à dire sur les problèmes de ma mère, ce n'était plus mes affaires (d'un coup, comme ça, après des années à lui servir de confidente. le choc). Et quand je me plaignais du fait que la nuit, on l'entendait crier et que je tenais pas à avoir la bande son de sa vie intime, elle me répondait sèchement qu'elle refusait de penser à ses enfants dans ces moments-là. Je précise que meme les voisins, séparés de la scène par un mur, ma chambre, et le mur mitoyen entre nos maisons, l'entendaient et s'en plaignaient.
Je n'avais plus non plus mon mot à dire avec ma soeur, après des années à servir de co-parent. Un jour qu'elle venait une fois de plus fouiller mes affaires sans permission, je lui retire une de ses figurines de chat. Pour m'entendre dire que ce n'est pas à moi de décider ça. Encore une fois, changement inattendu, mise devant le fait accompli, etc.
Maintenant j'ai 23 ans, bientot 24, mais quand ma mère a des problèmes avec T., je suis la première vers qui elle se tourne. Il y a quelques semaines je m'offre une virée au Mcdo et à mon retour, je vois sur facebook un message de ma mère "coucou ma chérie, je ne vais pas bien du tout ce soir..."
Je me retrouve donc à l'appeler pour qu'elle me dise qu'il y a eu un problème entre T. et B.
ça m'inquiète, parce que je ne trouve pas ça sain que sa fille soit sa confidente, celle vers qui elle se tourne en priorité en cas de problème. Mais je ne sais pas si c'esst juste moi, et si j'ai raison, comment lui faire comprendre sans la vexer ?
Je reviendrai plus tard pour parler du reste de la famille parce que c'est un sacré folklore !
Ma mère a quitté mon père il y a 16 ans, et s'est retrouvée mère célibataire de deux petites filles : moi qui avais 7 ans et demi, et ma soeur B. qui en avait 3. (Ma soeur étant handicapée)
Elle s'st donc retrouvée à nous élever tout en reprenant ses études pour pouvoir trouver un travail, et se reposait beaucoup sur moi en tant qu'ainée pour l'aider avec ma soeur. En particulier quand je suis devenue adolescente.
Je me souviens par exemple de soirs où ma soeur faisait des caprices dans sa chambre, et c'était à tour de role qu'on allait lui dire de se calmer...
Mais surtout je suis devenue sa confidente en matière d'histoires d'amour. Un peu trop, d'ailleurs, quand j'y repense. Je me souviens d'avoir taté le terrain pour elle quand un homme avec qui elle faisait du théatre lui plaisait - et qu'elle m'a dit explicitement pourquoi il n'avait pas voulu d'une histoire avec elle.
Je me souviens aussi de son histoire la plus récente (avant son histoire actuelle), elle était "en couple" avec un homme qui habitait loin de chez nous et qu'elle ne voyait presque jamais. Un jour où elle était allée le rejoindre, la biologie a fait que c'était au mauvais moment du mois. C'est à moi qu'elle s'est plainte d'avoir payé l'hotel, et de la façon dont ça s'était déroulé, en disant "j'ai payé pour tailler des pipes, il a pas cherché à me donner de plaisir" - j'avais 15-16 ans, je savais ce qu'était une pipe, et je ne tenais pas à avoir les détails des aventures sexuelles de ma mère.
Quand j'avais 17 ans, elle a rencontré mon beau-père et c'est allé très vite entre eux. J'étais sur Paris pour mes études et je revenais pour les vacances ; j'étais là quand ils se sont mis en couple, aux vacances de Paques, et à mon retour pour les vacances d'été ils s'installaient ensemble. Mon beau-père T. a un fils, A., aucun de nous n'avait jamais passé plus d'une journée ensemble, à part bien sur T. et ma mère. Mais ils ne se posaient pas la question de savoir si la cohabitation se passerait bien, on nous l'imposait. Et ça a été houleux, surtout au début.
Le jour de mon arrivée, j'ai été mise devant le fait accompli, alors qu'elle aurait pu me prévenir par téléphone. Ma mère ne m'avait pas revue depuis quatre mois, savait que j'arrivais avec son cadeau de fete des mères dans mon ordinateur... mais cinq minutes après mon retour à la maison, elle partait à l'étage avec T. en gloussant sous le prétexte de "faire du repassage". On a vite entendu que ce n'était pas du repassage qu'ils faisaient... Mon ressenti sur le moment (et quand j'y repense) : combo de "prends-moi pour une c*nne", de "je t'ai vachement manqué" et de "dis-le si je l'ai fait pour rien ton cadeau" (parce que j'étais en train de le sortir quand elle est montée).
Il n'y a pas eu que ça. Soudain je n'avais plus mon mot à dire sur les problèmes de ma mère, ce n'était plus mes affaires (d'un coup, comme ça, après des années à lui servir de confidente. le choc). Et quand je me plaignais du fait que la nuit, on l'entendait crier et que je tenais pas à avoir la bande son de sa vie intime, elle me répondait sèchement qu'elle refusait de penser à ses enfants dans ces moments-là. Je précise que meme les voisins, séparés de la scène par un mur, ma chambre, et le mur mitoyen entre nos maisons, l'entendaient et s'en plaignaient.
Je n'avais plus non plus mon mot à dire avec ma soeur, après des années à servir de co-parent. Un jour qu'elle venait une fois de plus fouiller mes affaires sans permission, je lui retire une de ses figurines de chat. Pour m'entendre dire que ce n'est pas à moi de décider ça. Encore une fois, changement inattendu, mise devant le fait accompli, etc.
Maintenant j'ai 23 ans, bientot 24, mais quand ma mère a des problèmes avec T., je suis la première vers qui elle se tourne. Il y a quelques semaines je m'offre une virée au Mcdo et à mon retour, je vois sur facebook un message de ma mère "coucou ma chérie, je ne vais pas bien du tout ce soir..."
Je me retrouve donc à l'appeler pour qu'elle me dise qu'il y a eu un problème entre T. et B.
ça m'inquiète, parce que je ne trouve pas ça sain que sa fille soit sa confidente, celle vers qui elle se tourne en priorité en cas de problème. Mais je ne sais pas si c'esst juste moi, et si j'ai raison, comment lui faire comprendre sans la vexer ?
Je reviendrai plus tard pour parler du reste de la famille parce que c'est un sacré folklore !
