Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
Non sa copine je ne l'ai vu que 3 fois.doddies;4934912 a dit :
Justement j'ai a perdre, si tout se passe mal j'ai peur de perdre ma meilleure amie (et sa famille dont je suis proche). Même si ils ont un fonctionnement particulier et qu'il sont très a l'aise avec les familles recomposées voilà quoi...
Après il a été clair au tout début "je ne la quitterais pas pour toi" mais dans ces cas là si tu es sûr de ton choix T'AS PAS LE DROIT d'envoyer des messages gentils ou de me toucher les cheveux (c'est quand même un geste qui n'est pas anodin je pense). Du coup je me dis qu'il a clairement le cul entre deux chaises ou qu'il a "pitié" de moi quand je suis en moment de déprime.
Je sais que c'est quelqu'un de bien, je suis sûre qu'il ne m'utilise pas et que c'est pas un jeux pour lui
@Eresia moi j'veux bien être ton amie 
J'ai le coeur lourd de cette douleur qui m'épuise depuis deux ans, de cette solitude, de tous ces gens qui pensent que je ne fais pas assez d'efforts... J'essaye de garder la tête hors de l'eau mais franchement, y a des jours où c'est pas facile.
Un gros câlin à toutes les filles qui passent par ici !!!
J'ai le coeur lourd de cette douleur qui m'épuise depuis deux ans, de cette solitude, de tous ces gens qui pensent que je ne fais pas assez d'efforts... J'essaye de garder la tête hors de l'eau mais franchement, y a des jours où c'est pas facile.
Un gros câlin à toutes les filles qui passent par ici !!!
C'est censé être une belle journée entourée de ma famille et de mes amis mais non.. J'ai l'impression d'avoir un problème pour qu'on ne pense que rarement à moi.
J'ai vécu des tas de choses pas vraiment cool en 3 ans et j'ai tellement besoin de souffler et d'avoir la vie plus douce.. rien qu'un mois ce serait génial..
Habituellement je suis très indépendante mais la solitude me ronge énormément en ce moment.. heureusement que j'ai trouvé du boulot pour ne pas trop y penser en semaine. Je dois à chaque fois batailler pour voir mes amis, trop occupés apparemment.
Je veux changer et être heureuse, je pense vraiment avoir fait des efforts ( pour mon boulot, pour passer aux dessus de mes peurs ) mais ça ne vient pas, j'ai l'impression d'être trop sensible pour vivre dans un monde pareil.
J'ai vécu des tas de choses pas vraiment cool en 3 ans et j'ai tellement besoin de souffler et d'avoir la vie plus douce.. rien qu'un mois ce serait génial..
Habituellement je suis très indépendante mais la solitude me ronge énormément en ce moment.. heureusement que j'ai trouvé du boulot pour ne pas trop y penser en semaine. Je dois à chaque fois batailler pour voir mes amis, trop occupés apparemment.
Je veux changer et être heureuse, je pense vraiment avoir fait des efforts ( pour mon boulot, pour passer aux dessus de mes peurs ) mais ça ne vient pas, j'ai l'impression d'être trop sensible pour vivre dans un monde pareil.
@Sur le fil
Ne t'en fais pas, ça va aller
J'ai 25 ans, et je me reconnais dans ton histoire.
Sauf qu'aujourd'hui : je vais bien.
Plus jeune je l'ai très mal vécu. Pour être comme les autres il aurait fallu que je fasse un coma éthylique. Sauf que non, j'ai pas besoin de ça pour m'amuser.
Mes amis ne comprenaient pas que je puisse apprécier de rester chez moi à bouquiner avec mon chat sur les genoux plutôt que d'aller en boîte. Ou que je vienne aux soirées sans finir torchée.
J'ai été franche avec mes amis, ils ont compris. Ca n'empêchait pas que je prévois des soirées posées chez moi avec un film d'horreur et des pizzas-bières.
Et puis j'ai aussi compris que d'aller à une soirée sans l'envie me faisiat passer une mauvaise soirée. A quoi bon?
Je préfère rester chez moi avec mon chéri et mes chats, je n'ai pas l'impression de rater ma jeunesse. Il n'y a pas qu'une façon de la vivre.
Nous avons juste d'autres activités en plus de sortir ^^
Ne t'en fais pas, ça va aller
J'ai 25 ans, et je me reconnais dans ton histoire.
Sauf qu'aujourd'hui : je vais bien.
Plus jeune je l'ai très mal vécu. Pour être comme les autres il aurait fallu que je fasse un coma éthylique. Sauf que non, j'ai pas besoin de ça pour m'amuser.
Mes amis ne comprenaient pas que je puisse apprécier de rester chez moi à bouquiner avec mon chat sur les genoux plutôt que d'aller en boîte. Ou que je vienne aux soirées sans finir torchée.
J'ai été franche avec mes amis, ils ont compris. Ca n'empêchait pas que je prévois des soirées posées chez moi avec un film d'horreur et des pizzas-bières.
Et puis j'ai aussi compris que d'aller à une soirée sans l'envie me faisiat passer une mauvaise soirée. A quoi bon?
Je préfère rester chez moi avec mon chéri et mes chats, je n'ai pas l'impression de rater ma jeunesse. Il n'y a pas qu'une façon de la vivre.
Nous avons juste d'autres activités en plus de sortir ^^
C
corpse
Guest
J'ai mal... Je n'ai plus envie de rien... J'ai pas l'impression que mes anti-dépresseurs font quelque chose au contraire... Je me hais quand je mange, mais je n'arrête pas de m que' empiffrer... J'ai juste envie d'aller me coucher et de ne pas me réveiller. j'en ai marre de devoir m'excuser tout le temps, dz devoir me justifier à chaque choix que je fais ( qui sont toujours pourris). J'ose plus sortir, je ne veux plus voir personne. Mais j'aimerai avoir quelqu'un à qui parler, une amie sur laquelle compter... Je ne connais personne, j'ai l'impression de toujours passer en dernier, je n'arrive pas à aller vers les gens. J'en peux vraiment plus...
Parfois je pense à ma mère. Et je me dis que c'est quand même bien dommage.
EDIT : Je ne sais pas pourquoi j'ai écrit tout ça. Vu les litres de larmes versés je suppose que ça m'a fait du bien. Au moins c'est sorti...[/spoiler]
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EDIT : Je ne sais pas pourquoi j'ai écrit tout ça. Vu les litres de larmes versés je suppose que ça m'a fait du bien. Au moins c'est sorti...[/spoiler]
Dernière édition :
Bonjour... comme vous vous en doutez, en ce moment ça ne va pas fort (d'où mon message dans ce topic).
Je vais y aller directement : ces temps-ci, je me sens mal en soirée, ou plutôt, aux soirées avec les amis/la famille de mon copain. Je suis plutôt en bons termes avec eux, je les apprécie mais malgré tout... j'ai la sensation de ne pas y avoir ma place.
J'ai eu l'habitude de faire des soirées avec des gens de qui j'étais vraiment très proches, qui étaient toujours là pour moi et avec lesquels je n'avais absolument aucun tabou. Si je me sentais mal à un moment parce qu'un sale truc remontait à la surface, il y en avait toujours un pour le remarquer et me prendre à part pour que je vide mon sac un bon coup avant de repartir m'éclater. Ca a toujours été comme ça depuis que j'ai commencé à faire des soirées et là... ben je me retrouve au milieux de gens qui se connaissent tous depuis le collège minimum et moi la petite dernière fraîchement arrivée. Je n'ai pourtant jamais eu de problèmes pour me faire des potes ou pour sympathiser avec tout le monde en soirée mais là... je sais pas, je bloque. J'y arrive pas.
Et la dernière fois ma belle-soeur m'a dit (après une longue conversation qui suivait une bouteille de whisky) que "j'abordais des sujets qui pouvaient mettre les gens mal à l'aise".
Sur le coup j'ai eu du mal à comprendre : je lui avais juste parlé de ma vie. Ouais j'ai pas eu une vie joyeuse (père merdique, amies en carton, viols, déceptions en tout genres, dépressions, addictions...) mais pour moi ça fait partie du passé, et encore plus quand je suis bourrée, ce qui veut dire que j'en parle avec un naturel qui peut (je le conçoit) mettre les gens pas bien.
Sauf que... ben quand j'ai bu je parle. Et j'aime bien parler de tout. Du coup je sais pas, quand elle m'a dit ça j'ai eu une grosse remise en question ("Mais quand j'ai dit ça à telle personne, est-ce qu'elle a pu mal le prendre ? Est-ce que ça l'a mise pas bien ? J'ai peut être niquées des soirées entières à des gens à cause de ma grande gueule, putain c'est quoi mon problème ?")
Du coup je ne sais plus quoi faire. Arrêter de boire ? Si y'a bien un truc que je ne supporte pas, c'est d'être sobre et entourée de gens torchés.
Boire moins ? Même problème, j'ai le "défaut" de tenir beaucoup à l'alcool, donc boire peu c'est la même chose que rester sobre pour moi... comme si je passais direct de sobre à ivre un peu.
Ne plus aller aux soirées ? Pour l'instant c'est l'idée que je considère comme la meilleure parmi toutes celles que j'ai eues, mais... ben j'ai pas envie de finir par me renfermer à cause de ça.
Mon copain me dit que c'est pas grave, et c'est bien la première fois qu'une personne me fait cette remarque mais allez savoir pourquoi ça me travaille et maintenant j'ai honte... Je ne sais plus vraiment quoi faire.
Je vais y aller directement : ces temps-ci, je me sens mal en soirée, ou plutôt, aux soirées avec les amis/la famille de mon copain. Je suis plutôt en bons termes avec eux, je les apprécie mais malgré tout... j'ai la sensation de ne pas y avoir ma place.
J'ai eu l'habitude de faire des soirées avec des gens de qui j'étais vraiment très proches, qui étaient toujours là pour moi et avec lesquels je n'avais absolument aucun tabou. Si je me sentais mal à un moment parce qu'un sale truc remontait à la surface, il y en avait toujours un pour le remarquer et me prendre à part pour que je vide mon sac un bon coup avant de repartir m'éclater. Ca a toujours été comme ça depuis que j'ai commencé à faire des soirées et là... ben je me retrouve au milieux de gens qui se connaissent tous depuis le collège minimum et moi la petite dernière fraîchement arrivée. Je n'ai pourtant jamais eu de problèmes pour me faire des potes ou pour sympathiser avec tout le monde en soirée mais là... je sais pas, je bloque. J'y arrive pas.
Et la dernière fois ma belle-soeur m'a dit (après une longue conversation qui suivait une bouteille de whisky) que "j'abordais des sujets qui pouvaient mettre les gens mal à l'aise".
Sur le coup j'ai eu du mal à comprendre : je lui avais juste parlé de ma vie. Ouais j'ai pas eu une vie joyeuse (père merdique, amies en carton, viols, déceptions en tout genres, dépressions, addictions...) mais pour moi ça fait partie du passé, et encore plus quand je suis bourrée, ce qui veut dire que j'en parle avec un naturel qui peut (je le conçoit) mettre les gens pas bien.
Sauf que... ben quand j'ai bu je parle. Et j'aime bien parler de tout. Du coup je sais pas, quand elle m'a dit ça j'ai eu une grosse remise en question ("Mais quand j'ai dit ça à telle personne, est-ce qu'elle a pu mal le prendre ? Est-ce que ça l'a mise pas bien ? J'ai peut être niquées des soirées entières à des gens à cause de ma grande gueule, putain c'est quoi mon problème ?")
Du coup je ne sais plus quoi faire. Arrêter de boire ? Si y'a bien un truc que je ne supporte pas, c'est d'être sobre et entourée de gens torchés.
Boire moins ? Même problème, j'ai le "défaut" de tenir beaucoup à l'alcool, donc boire peu c'est la même chose que rester sobre pour moi... comme si je passais direct de sobre à ivre un peu.
Ne plus aller aux soirées ? Pour l'instant c'est l'idée que je considère comme la meilleure parmi toutes celles que j'ai eues, mais... ben j'ai pas envie de finir par me renfermer à cause de ça.
Mon copain me dit que c'est pas grave, et c'est bien la première fois qu'une personne me fait cette remarque mais allez savoir pourquoi ça me travaille et maintenant j'ai honte... Je ne sais plus vraiment quoi faire.
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