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Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
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@Jaiza. je te conseille si ça continue comme ça de porter plainte ou faire une main courante, avant que ça dérape. Avant d'en arriver là tu peux écrire un courrier lui disant que son attitude te fais sentir en insécurité et que si il n'arrête tu devrais faire appel à la police.
Et ce n'est pas ta faute, je pense qu'il profite que tu vives seule et son attitude est assez limite.Tu as essayé de lui en parler de vive voix?
Et ce n'est pas ta faute, je pense qu'il profite que tu vives seule et son attitude est assez limite.Tu as essayé de lui en parler de vive voix?
@Jaiza. Tu m'étonnes... Là on a dépassé le stade d'être "un peu accro". C'est normal que tu paniques et que tu te sentes en danger je réagirais comme toi. Parles-en autour de toi, ne reste pas seule avec ce type dans le coin. N'hésite pas à en parler à la police surtout. 
"La vie, ce n'est pas attendre que l'orage passe, c'est apprendre à danser sous la pluie".
Pour toi Mimi, je vais apprendre à danser sous la pluie. Aujourd'hui, demain.
Pardonne moi, ou ne me pardonne pas... je suis désolée, mille milliards de fois. Si je pouvais tout changer, je le ferai.
Alors aujourd'hui, je erre et je me traîne, et il faut continuer tu sais. Tout arrêter ne te fera pas revenir, et j'ai cette certitude profonde que tu m'aimais, je le sais même, par tous ces trucs que tu ne fais plus. Danse sous la pluie avec moi, je t'en prie.
Je voudrais rester travailler ici, et tu me hantes, t'es pas là pour venir m'embêter, t'es pas là pour venir mendier des câlins, et je voudrais tellement travailler et que tu viennes te coucher sur mon bouquin. Alors je vais retourner travailler à la BU je crois, même si c'est nul et même si c'est injuste, mais je t'entends rire, je t'entends penser: "pars, tu ne sers plus à rien, je ne suis plus là, tu peux y aller, je ne t'en voudrais pas". Et t'as bien raison: c'est trop tard. Je t'ai laissée toi, mais je ne peux pas laisser ton fantôme. Alors si vers midi je pars, quand la BU se vide et que les places sont libres, viens avec moi. Dansons sous la pluie ensemble.
Je ne sais pas si je dois rester travailler ici, ou repartir à la bu, continuer, reprendre cette routine que je n'aurais jamais du avoir. Aide-moi, fais un signe, prends cette décision à ma place, je te suivrai.
Je t'aime, je t'aimerai toujours, je t'oublierai jamais.
Pour toi Mimi, je vais apprendre à danser sous la pluie. Aujourd'hui, demain.
Pardonne moi, ou ne me pardonne pas... je suis désolée, mille milliards de fois. Si je pouvais tout changer, je le ferai.
Alors aujourd'hui, je erre et je me traîne, et il faut continuer tu sais. Tout arrêter ne te fera pas revenir, et j'ai cette certitude profonde que tu m'aimais, je le sais même, par tous ces trucs que tu ne fais plus. Danse sous la pluie avec moi, je t'en prie.
Je voudrais rester travailler ici, et tu me hantes, t'es pas là pour venir m'embêter, t'es pas là pour venir mendier des câlins, et je voudrais tellement travailler et que tu viennes te coucher sur mon bouquin. Alors je vais retourner travailler à la BU je crois, même si c'est nul et même si c'est injuste, mais je t'entends rire, je t'entends penser: "pars, tu ne sers plus à rien, je ne suis plus là, tu peux y aller, je ne t'en voudrais pas". Et t'as bien raison: c'est trop tard. Je t'ai laissée toi, mais je ne peux pas laisser ton fantôme. Alors si vers midi je pars, quand la BU se vide et que les places sont libres, viens avec moi. Dansons sous la pluie ensemble.
Je ne sais pas si je dois rester travailler ici, ou repartir à la bu, continuer, reprendre cette routine que je n'aurais jamais du avoir. Aide-moi, fais un signe, prends cette décision à ma place, je te suivrai.
Je t'aime, je t'aimerai toujours, je t'oublierai jamais.
Ne reste pas là à pleurer devant ma tombe je n’y suis pas, je n’y dors pas…
Je suis le vent qui souffle dans les arbres
Je suis le scintillement du diamant sur la neige
Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr
Je suis la douce pluie d’automne quand tu t’éveilles dans le calme du matin
Je suis l’envol de ces oiseaux silencieux Qui tournoient dans le ciel.
Alors ne reste pas là à te lamenter devant ma tombe, je n’y suis pas, je ne suis pas mort !
Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement parce que je suis hors de ta vue ?
La mort tu sais, ce n’est rien du tout.
Je suis juste passé de l’autre côté.
Je suis moi et tu es toi. Quelque soit ce que nous étions l’un pour l’autre avant, Nous le resterons toujours.
Pour parler de moi, utilise le prénom avec lequel tu m’as toujours appelé. Parle de moi simplement comme tu l’as toujours fait.
Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste.
Ris comme avant aux blagues qu’ensemble nous apprécions tant.
Joue, souris, pense à moi, vis pour moi et avec moi.
Laisse mon prénom être le chant réconfortant qu’il a toujours été. Prononce-le avec simplicité et naturel, Sans aucune marque de regret.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié.
Tout est toujours pareil, elle continue, le fil n’est pas rompu.
Qu’est-ce que la mort sinon un passage ?
Relativise et laisse couler toutes les agressions de la vie, pense et parle toujours de moi autour de toi et tu verras,
Tout ira bien.
Tu sais, je t’entends, je ne suis pas loin, Je suis là, juste de l’autre coté..
Je suis le vent qui souffle dans les arbres
Je suis le scintillement du diamant sur la neige
Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr
Je suis la douce pluie d’automne quand tu t’éveilles dans le calme du matin
Je suis l’envol de ces oiseaux silencieux Qui tournoient dans le ciel.
Alors ne reste pas là à te lamenter devant ma tombe, je n’y suis pas, je ne suis pas mort !
Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement parce que je suis hors de ta vue ?
La mort tu sais, ce n’est rien du tout.
Je suis juste passé de l’autre côté.
Je suis moi et tu es toi. Quelque soit ce que nous étions l’un pour l’autre avant, Nous le resterons toujours.
Pour parler de moi, utilise le prénom avec lequel tu m’as toujours appelé. Parle de moi simplement comme tu l’as toujours fait.
Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste.
Ris comme avant aux blagues qu’ensemble nous apprécions tant.
Joue, souris, pense à moi, vis pour moi et avec moi.
Laisse mon prénom être le chant réconfortant qu’il a toujours été. Prononce-le avec simplicité et naturel, Sans aucune marque de regret.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié.
Tout est toujours pareil, elle continue, le fil n’est pas rompu.
Qu’est-ce que la mort sinon un passage ?
Relativise et laisse couler toutes les agressions de la vie, pense et parle toujours de moi autour de toi et tu verras,
Tout ira bien.
Tu sais, je t’entends, je ne suis pas loin, Je suis là, juste de l’autre coté..
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Ma lamentation : Je suis en master 2 après m’être réorientée et je vis une recherche de stage vraiment difficile. Je ne reçois que des refus ou des demi-réponse qui sous-entendent un refus, je n’arrive pas à me réjouir pour mes amis qui ont des stages. Je me dis que quelque chose cloche gravement chez moi et que personne ne veut travailler avec moi. Le temps presse et toutes les portes se ferment.
Je suis vraiment arrivée à bout et plus rien ne me redonne le moral, je sais que je serais la pauvre nulle qui devra recourir aux profs pour qu’ils lui trouvent un stage. Je me rends bien compte que je ne vaux rien et que je mérite ce qui m’arrive.
Bref, je trouve la vie vraiment dure. Si personne ne veut de moi en stage personne ne voudra non plus de moi pour un travail et ainsi de suite.
Je suis vraiment arrivée à bout et plus rien ne me redonne le moral, je sais que je serais la pauvre nulle qui devra recourir aux profs pour qu’ils lui trouvent un stage. Je me rends bien compte que je ne vaux rien et que je mérite ce qui m’arrive.
Bref, je trouve la vie vraiment dure. Si personne ne veut de moi en stage personne ne voudra non plus de moi pour un travail et ainsi de suite.
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