Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
Par moments j'ai juste envie de mourir de chagrin.
Moi qui ce matin, me sentait bien et sereine, qui me disait "je ne vais pas pleurer aujourd'hui, ça commence à aller mieux", il m'a suffit d'un t-shirt, d'une photo facebook et d'une trousse pour me mettre à pleurer, chaque fois un peu plus fort.
Et je suis sûre que ce soir, j'aurais un message de lui, comme hier, comme avant hier. J'ai envie de lui demander d'arrêter ça, d'arrêter de me parler, mais je n'arriverai pas à avoir la force de me séparer de lui. Me séparer complètement, arrêter tout contact.
Et cet arrêt de contact ne viendra pas de lui.
Je suis coincée. Coincée avec cet amour qui m'étouffe et qui m'écrase, coincée avec cet espoir sourd qu'il ne revienne.
Pourquoi ai-je si mal?
Moi qui ce matin, me sentait bien et sereine, qui me disait "je ne vais pas pleurer aujourd'hui, ça commence à aller mieux", il m'a suffit d'un t-shirt, d'une photo facebook et d'une trousse pour me mettre à pleurer, chaque fois un peu plus fort.
Et je suis sûre que ce soir, j'aurais un message de lui, comme hier, comme avant hier. J'ai envie de lui demander d'arrêter ça, d'arrêter de me parler, mais je n'arriverai pas à avoir la force de me séparer de lui. Me séparer complètement, arrêter tout contact.
Et cet arrêt de contact ne viendra pas de lui.
Je suis coincée. Coincée avec cet amour qui m'étouffe et qui m'écrase, coincée avec cet espoir sourd qu'il ne revienne.
Pourquoi ai-je si mal?
Aujourd'hui, j'ai appris en allant chez ma grand mère que mon frère et moi étions très très mal considérés dans la famille parce que nous ne voyons pas notre père, que notre "comportement" était inacceptable et les frères de ma grand mère lui ont dit (à ma grand mère) qu'à sa place, ils nous auraient obligé à le voir. Qu'est-ce que j'y peux si mon père est parti il y a 7 ans en disant que j'étais une bâtarde et que je n'étais pas sa fille?
J'ai aussi appris que j'étais la honte de la famille en règle générale parce que j'étais toujours au chômage, que j'avais commencé un doctorat pour "faire mes airs" mais tout le monde pense que je vais abandonner parce que je n'en ai pas les capacités. En gros, j'ai toujours voulu péter trop haut en ayant des bonnes notes, mais au final je me retrouve "comme l'assistée sociale de base vivant sur le compte des autres". Voilà. Je suis rentrée chez moi, je me suis enfermée dans les toilettes et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps.
J'ai aussi appris que j'étais la honte de la famille en règle générale parce que j'étais toujours au chômage, que j'avais commencé un doctorat pour "faire mes airs" mais tout le monde pense que je vais abandonner parce que je n'en ai pas les capacités. En gros, j'ai toujours voulu péter trop haut en ayant des bonnes notes, mais au final je me retrouve "comme l'assistée sociale de base vivant sur le compte des autres". Voilà. Je suis rentrée chez moi, je me suis enfermée dans les toilettes et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps.
Choco-Canel : merci d'avoir pris la peine de m'écrire ce message 
Je sais que c'est un comportement honteux de leur part, mais ma famille ne m'a jamais réellement appréciée et profite que je suis en situation de "faiblesse" pour m'enfoncer. D'habitude, je passe outre et je fais mon bout de chemin, mais ici, j'ai vraiment eu du mal. Je suis en pleine période de doute, mon meilleur ami m'a lâché et mon mec commence à avoir la même vision que ma famille sur ma personne. Alors, aujourd'hui, j'ai craqué... Mais comme tu le dis, je dois me relever (déjà pour prouver à ces personnes qu'ils ont tord). Encore merci 
Je sais que c'est un comportement honteux de leur part, mais ma famille ne m'a jamais réellement appréciée et profite que je suis en situation de "faiblesse" pour m'enfoncer. D'habitude, je passe outre et je fais mon bout de chemin, mais ici, j'ai vraiment eu du mal. Je suis en pleine période de doute, mon meilleur ami m'a lâché et mon mec commence à avoir la même vision que ma famille sur ma personne. Alors, aujourd'hui, j'ai craqué... Mais comme tu le dis, je dois me relever (déjà pour prouver à ces personnes qu'ils ont tord). Encore merci 
Je vous assure que préparer un master enseignement c'est pas de tout repos. On vous stresse à mort, jusqu'aux larmes, on vous dégoûte du métier (il faut absolument que je rencontre des profs pour leur demander si c'est si horrible que ça), et pour le concours, il y a Tellement de choses à savoir qu'on se sent rien du tout avec le peu qu'on sait.
Je ne parle même pas de la liste affreuse, énorme, retantissantes de choses urgentes à faire, qui tombe en avalanche et qui nous noie.
A passé le Week end entier à un DM où j'ai pas compris grand chose. Larmes aux yeux et impression de pas avoir avancé. Me sens nulle.
Déprime depuis la rentrée.
Dur quoi!
Je ne parle même pas de la liste affreuse, énorme, retantissantes de choses urgentes à faire, qui tombe en avalanche et qui nous noie.
A passé le Week end entier à un DM où j'ai pas compris grand chose. Larmes aux yeux et impression de pas avoir avancé. Me sens nulle.
Déprime depuis la rentrée.
Dur quoi!
Caliçia;2614929 a dit :
Comme je te comprend ! Je viens de terminé (c'est tout ressens sa date de jeudi dernier) ma LICENCE en GESTION et COMPTA. Même si c'est un niveau inférieur à toi, c'est exactement le ressentie que j'ai eu. Une galère ou en plus de ça tu te sens seul et presque incompris. Pour moi c'est fini, il manque les résultats des examens, je te souhaite bonne chance en espérant que ça te réussisse, tiens nous au courant
A
AnonymousUser
Guest
Plus le temps passe, et moins je supporte les questions "comment ça va?" et "qu'est-ce que tu fais dans la vie?"... Je sais bien que ce sont des questions machinales, destinées à entamer une conversation et à créer du lien social. Mais je sais tellement plus quoi répondre d'autre que "Mal..." et "Rien." que je me rends compte qu'inconsciemment, je vais "au devant" du problème en faisant en sorte d'éviter ces questions (ie en fuyant quasiment tout contact humain).
Je sais bien que tous les gens ne jugent pas et ne sont pas des connards malveillants et sans empathie, mais je me suis prise tellement de baffes et de remarques cinglantes dans la gueule que maintenant j'ai la phobie de ces questions et je ne sais plus répondre avec spontanéité et farnchise.
Je sais bien que tous les gens ne jugent pas et ne sont pas des connards malveillants et sans empathie, mais je me suis prise tellement de baffes et de remarques cinglantes dans la gueule que maintenant j'ai la phobie de ces questions et je ne sais plus répondre avec spontanéité et farnchise.
Utomlyonnye solntsem;2615072 a dit :Plus le temps passe, et moins je supporte les questions "comment ça va?" et "qu'est-ce que tu fais dans la vie?"... Je sais bien que ce sont des questions machinales, destinées à entamer une conversation et à créer du lien social. Mais je sais tellement plus quoi répondre d'autre que "Mal..." et "Rien." que je me rends compte qu'inconsciemment, je vais "au devant" du problème en faisant en sorte d'éviter ces questions (ie en fuyant quasiment tout contact humain).
Je sais bien que tous les gens ne jugent pas et ne sont pas des connards malveillants et sans empathie, mais je me suis prise tellement de baffes et de remarques cinglantes dans la gueule que maintenant j'ai la phobie de ces questions et je ne sais plus répondre avec spontanéité et farnchise.
han j'ai exactement le même souci , j?appréhende toujours de rencontrer des gens à cause de ça ... Ah je me sens moins seule pour le coup ... c'est franchement dur à vivre !
aïe! je plains ton coeur perso, qui sait si du coup tu t'es pas attachée?
Je ne te le souhaite surtout pas!
Je veux etre adulte, avoir un coeur de pierre, un physique ingrat, une vie sociale sous-developpée, une télé en francais et 12 chats
Le crush fait comme si je n'existais pas, j'ai (trop) bu pour tenter d'aller lui parler mais j'ai peur d'etre relou alors j'y suis pas allée et à la place j'ai dansé, toute seule, à deux, avec des mecs qui savent faire danser les filles sans arrière pensées, j'ai dansé pour ne pas reflechir, pour ne pas le chercher, pour laisser la musique et l'alcool en mode automatique.
Mais toute cette energie qu'il dépense à ne surtout pas etre ou je suis, à ne surtout pas regarder dans ma direction...
J'ai eu un cavalier de trop, pas aussi chaste que les autres, le premier baiser j'ai cherché le crush, il avait une fille dans les bras, je ne sais même pas qui, le deuxieme j'ai remis le cerveau en mode off.
Je suis stupide, j'aurai pu embrassé n'importe qui dans cette boite mais celui là c'est son meilleur amis, ils ont traversé la moitier du globe pour etre là. Je ne sais même pas si le crush m'a vue...
Je suis peut etre la plus tetue du monde mais je veux lui parler, je veux savoir ce qu'il s'est passé.
(pas citer svp)
Le crush fait comme si je n'existais pas, j'ai (trop) bu pour tenter d'aller lui parler mais j'ai peur d'etre relou alors j'y suis pas allée et à la place j'ai dansé, toute seule, à deux, avec des mecs qui savent faire danser les filles sans arrière pensées, j'ai dansé pour ne pas reflechir, pour ne pas le chercher, pour laisser la musique et l'alcool en mode automatique.
Mais toute cette energie qu'il dépense à ne surtout pas etre ou je suis, à ne surtout pas regarder dans ma direction...
J'ai eu un cavalier de trop, pas aussi chaste que les autres, le premier baiser j'ai cherché le crush, il avait une fille dans les bras, je ne sais même pas qui, le deuxieme j'ai remis le cerveau en mode off.
Je suis stupide, j'aurai pu embrassé n'importe qui dans cette boite mais celui là c'est son meilleur amis, ils ont traversé la moitier du globe pour etre là. Je ne sais même pas si le crush m'a vue...
Je suis peut etre la plus tetue du monde mais je veux lui parler, je veux savoir ce qu'il s'est passé.
(pas citer svp)
J'écris ici pour ne pas squatter excessivement le topic des relations à distance. Il y a deux mois pile, je laissais mon amoureux à la gare à Lyon, pour partir aux Etats Unis. Je ne le revois pas avant le 29 décembre. Et quand je pense qu'on n'a même pas fait la moitié ... J'en peux plus, je me sens terriblement seule ici, je crève d'envie de me jeter dans ses bras le soir quand je rentre des cours, de m'endormir avec lui, d'aller le voir à ses matchs de basket, d'aller au cinéma avec lui, ... Et je crève de trouille qu'il me quitte avant ce 29 décembre. J'ai du mal à surmonter le manque et la tristesse, là.
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