Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
[Ils] me font à longueur de temps des remarques désobligeantes à chaque fois que je leur raconte quelque chose. Systématiquement, il faut qu'ils viennent me reprocher ci ou ça, ils ne sont jamais jamais satisfaits de quoique ce soit. A force, j'en dis le moins possible, quand ils me posent une question je réponds très bref parce que sinon je sais que je vais me faire reprendre. Et maintenant, ils me reprochent de ne rien leur dire, de les ignorer etc. Ils se foutent de ma gueule comme ça, parce que je dis rien, parce qu'ils me trouvent ridicule etc. Je pleure, et plus je pleure, plus ils rient de moi en me disant que je suis une gamine qui pleure tout le temps.
Je n'en peux plus.
(ne pas citer)
Je n'en peux plus.
(ne pas citer)
C'est si égoïste que ça de demander à ma mere de la voir sans son mec pour mon dernier soir ici?
Serieusement on se voit que pendant les vacances, je leur casse pas les couilles tout le deux jours. A chaque je me tape les repas à table, je me sent de trop sur le canapé quand il s'embrasse et tout. Oui c'est son mec, mais c'est pas mon beau pere. Ok c'est trop mechant, il est très cool avec moi mais bon.
Ca m'souuule.
Serieusement on se voit que pendant les vacances, je leur casse pas les couilles tout le deux jours. A chaque je me tape les repas à table, je me sent de trop sur le canapé quand il s'embrasse et tout. Oui c'est son mec, mais c'est pas mon beau pere. Ok c'est trop mechant, il est très cool avec moi mais bon.
Ca m'souuule.
J'ai passé mon aprem en ville, à dépenser de l'argent que je n'ai pas, pour tenter d'oublier ma tristesse et mon inquiétude, au lieu de bosser sur ma fiche de lecture que je dois rendre dans quelques heures.
Mes analyses de sang m'ont inquiétée, m'inquiètent toujours, j'ai voulu chercher du soutien du côté de mon père: mauvais idée il n'était pas lui même. J'aurai tellement pu pouvoir compter sur lui au moins cette fois. J'ai éclaté en sanglots en ville, et décidé de prendre l'air pour me changer les idées.
Résultats des courses: j'ai dépensé de l'argent, j'ai pas bossé, je suis toujours aussi inquiète et triste. Le seul moyen pour arrêter de penser était d'acheter, et d'acheter encore. Ou au moins d'essayer: le temps que je suis occupée par mon image dans le miroir je ne pense pas au reste. Je me hais être comme ça.
(Pas citer merci)
Mes analyses de sang m'ont inquiétée, m'inquiètent toujours, j'ai voulu chercher du soutien du côté de mon père: mauvais idée il n'était pas lui même. J'aurai tellement pu pouvoir compter sur lui au moins cette fois. J'ai éclaté en sanglots en ville, et décidé de prendre l'air pour me changer les idées.
Résultats des courses: j'ai dépensé de l'argent, j'ai pas bossé, je suis toujours aussi inquiète et triste. Le seul moyen pour arrêter de penser était d'acheter, et d'acheter encore. Ou au moins d'essayer: le temps que je suis occupée par mon image dans le miroir je ne pense pas au reste. Je me hais être comme ça.
(Pas citer merci)
J'ai vraiment un problème avec la solitude, et le temps qu'il fait.
Quand il fait beau, ça ne me dérange pas d'être seule, je mets la musique à fond et je chante et je danse et tout va bien.
Quand il fait moche comme maintenant, j'ai juste envie de pleurer. Je me sens triste et déprimée. J'ai ouvert mes rideaux le plus possible, et rien à faire, pas de lumière.
Quand je mange avec mes colocs, je fais tout pour que le repas dure le plus longtemps possible, parce que quand on a fini, tout le monde retourne dans sa chambre. Ces derniers jours, j'ai passé mes soirées avec l'un de mes colocs, ça m'a vraiment fait un bien fou. Quand je finis les cours plus tôt que lui, je tourne en rond. Je retarde le plus possible le moment où je vais rentrer, parce que je sais que je vais être seule.
Le week-end, mes 6 colocs rentrent tous chez eux, mais moi j'habite plus loin, alors je ne le fais pas. Je suis toute seule au milieu de 6 chambres vides. Je leur ai dit il y a quelques semaines que j'avais du mal quand c'était comme ça, alors le week-end dernier, 2 d'entre eux ont été adorables et sont restés pour la première fois, et j'étais vraiment, mais alors vraiment heureuse.
Et là, on est jeudi, et si on est jeudi c'est que c'est bientôt vendredi, et je suis angoissée. J'appréhende vraiment le week-end, j'ai les larmes aux yeux rien qu'en y pensant. En plus, mon copain (qui habite à 10h en train de chez moi) n'est plus dispo pour discuter maintenant, parce qu'il passe tous ces week-end au ski.
Voilà, je suis en larmes parce que j'ai peur du week-end.
J'ai vraiment un problème.
Quand il fait beau, ça ne me dérange pas d'être seule, je mets la musique à fond et je chante et je danse et tout va bien.
Quand il fait moche comme maintenant, j'ai juste envie de pleurer. Je me sens triste et déprimée. J'ai ouvert mes rideaux le plus possible, et rien à faire, pas de lumière.
Quand je mange avec mes colocs, je fais tout pour que le repas dure le plus longtemps possible, parce que quand on a fini, tout le monde retourne dans sa chambre. Ces derniers jours, j'ai passé mes soirées avec l'un de mes colocs, ça m'a vraiment fait un bien fou. Quand je finis les cours plus tôt que lui, je tourne en rond. Je retarde le plus possible le moment où je vais rentrer, parce que je sais que je vais être seule.
Le week-end, mes 6 colocs rentrent tous chez eux, mais moi j'habite plus loin, alors je ne le fais pas. Je suis toute seule au milieu de 6 chambres vides. Je leur ai dit il y a quelques semaines que j'avais du mal quand c'était comme ça, alors le week-end dernier, 2 d'entre eux ont été adorables et sont restés pour la première fois, et j'étais vraiment, mais alors vraiment heureuse.
Et là, on est jeudi, et si on est jeudi c'est que c'est bientôt vendredi, et je suis angoissée. J'appréhende vraiment le week-end, j'ai les larmes aux yeux rien qu'en y pensant. En plus, mon copain (qui habite à 10h en train de chez moi) n'est plus dispo pour discuter maintenant, parce qu'il passe tous ces week-end au ski.
Voilà, je suis en larmes parce que j'ai peur du week-end.
J'ai vraiment un problème.
Voila, j'ai fait l'idiote! Ma paranoïa, ma peur et mon manque de confiance en moi ont aboutis aau texto de la mort qui tue : le SMS de l'ultimatum.
Pourquoi j'ai fait ça? Un vendredi soir, veille de week-end, alors qu'il doit être avec ses potes! Vendredi 13 en plus! Je suis trop naze!
Maintenant, je pleures sur mon clavier qwerty, en survêt, seule sous ma couette en fixant mon téléphone qui ne sonne pas!
Le plus triste est que si je l'appelle, j'ai l'air encore plus pitoyable!
Pourquoi j'ai fait ça? Un vendredi soir, veille de week-end, alors qu'il doit être avec ses potes! Vendredi 13 en plus! Je suis trop naze!
Maintenant, je pleures sur mon clavier qwerty, en survêt, seule sous ma couette en fixant mon téléphone qui ne sonne pas!
Le plus triste est que si je l'appelle, j'ai l'air encore plus pitoyable!
Je ne suis définitivement pas faite pour me contenter d'embrasser un mec en soirée sans rien ensuite... surtout quand ça fait 5 soirées... mais ça fait tellement du bien au moral de se sentir désirée...
J'ai besoin de quelque chose d'un peu serieux ,il faut que j'arrete de faire ça...
(pasciter)
J'ai besoin de quelque chose d'un peu serieux ,il faut que j'arrete de faire ça...
(pasciter)
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