Ca fait un peu plus d'un mois et demi qu'on se connait, et on se fait déjà autant de mal qu'un couple de longue date. J'ai beaucoup plus souffert de tas de choses depuis que je te fréquentes, que vécu de moments de bonheur. J'ai l'impression qu'on cherche quelque chose, qu'on cherche à s'emprisonner, à se faire mal, ou alors qu'on se cherche simplement. Si c'est ça l'amour, je préfère ne pas m'aventurer là dedans, mais de ce qu'on m'en a dit, je ne crois pas qu'il s'agisse de ça. Dans mes souvenirs, c'était quelque chose de bien plus sain que ce que l'on se donne actuellement. Ça fait mal un peu plus, chaque jour. De ne rien comprendre à toi, à moi, à nous, de ne rien comprendre tout court. Mais je ne conçois pas encore l'idée de t'abandonner, malgré ça & malgré tout..
Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
Reykjavík;2754053 a dit :
Tout pareil que toi... Alors on se sert les coudes, on se laisse porter par tout les petits bonheurs, on se dit que rien n'est grave.
Et si tu veux parler, ma boite messages est là pour ça, et celle de beaucoup de Madz aussi j'en suis certaine !
Courage tout plein !
A
AnonymousUser
Guest
Mon copain bosse tout le temps en ce moment, c'est un peu ridicule parce qu'alors même qu'il habite à 7000 km, qu'on se voit tous les trois mois et qu'on ne va pas habiter ensemble avant des mois, il n'a pas de temps pour moi, pour me parler au téléphone. C'est lui qui choisit de travailler autant, je sais qu'il le fait pour mettre de l'argent de côté dans l'optique de venir vivre près de moi, mais en attendant moi je suis là, je l'attends et j'ai l'impression qu'on s'éloigne de plus en plus. On a parlé 30 minutes depuis dimanche dernier, et c'est tout. Alors parfois je me demande en quoi on peut encore dire qu'on est un couple si on ne parle plus de rien, si on ne se parle même plus.
Et puis mes colocs me soulent. Mes profs me soulent. Mes potes de master me soulent. Les gens me soulent. Je suis épuisée et je n'ai le temps de rien. En plus, il pleut.
Et puis mes colocs me soulent. Mes profs me soulent. Mes potes de master me soulent. Les gens me soulent. Je suis épuisée et je n'ai le temps de rien. En plus, il pleut.
J'ai enfin compris pourquoi j'en voulais autant à celle qui pendant plus d'un an a été mon "amie la plus proche et la plus présente". Parce qu'elle se mettait dans ce rôle là, mais qu'elle ne l'était tout simplement pas.
Personne n'avait jamais fait autant preuve de mépris à mon égard quand je disais, faisais quelque chose de maladroit, ou même pas forcément en fait, parce qu'elle interprétait tout comme ça lui chante.
(Exemple: Une fois par sms, je lui envoies que la semaine suivante, je n'ai rien de spécial de prévu, et que du coup, on pourra se voir autant qu'elle le veut.
La réponse: Non, on ne se verra pas, parce qu'elle ne veut pas voir des personnes qui veulent d'elles juste parce qu'ils n'ont rien d'autres à faire. Et par la même occasion: « Charlotte, tu devrais faire attention à ce que tu dis, parce que tu risques de blesser énormément de monde en agissant ainsi, enfin, je dis ça pour toi, hein. »)
Pourtant, je faisais de mon mieux, je la dépannais quand elle avait des problèmes d'argents, j'allais chez elle dès qu'elle exprimait le besoin ou l'envie de me voir (durant un moment, elle ne pouvait pas dormir si je n'étais pas là), je l'accompagnais au quotidien, et sans que ça ne me pèse, je trouvais ça normal. Je me disais qu'elle avait besoin d'aide. Mais rien ne lui suffisait jamais assez. Je ne suis pas du genre à parler beaucoup de moi en général [dit-elle en écrivant ceci. ^^], et elle ne supportait pas le fait qu'elle me dise tout, et que je ne lui dises pas grand chose. Et quand je le faisais, ce n'était pas les sujets qu'elle voulait aborder, alors elle passait à autre chose.
On ne se parle plus maintenant, j'ai fini par craquer, elle ne s'en prenait plus seulement à moi, mais à mon couple, et donc à Lui. Et en fait, non, même pas, je voulais simplement reprendre mes esprits pour pouvoir revenir vers elle et qu'on soit plus fortes, mais elle n'a pas acceptée le fait que je puisse la laisser. « Tu savais que c'était mon pire cauchemar que tu me laisses. Tu m'as manquée de respect, c'est terminé. ». Tout ça en réussissant à me dire que c'est pour moi qu'elle le fait. Bien sûr.
Et là, plus je prends du recul, plus je me rends compte qu'elle a vraiment été des plus infectes avec moi, tout ça au nom de l'amitié. Et pire, que je ne suis pas la première, mais que j'ai été la plus longue à la détente, et donc celle avec qui elle a été le plus loin. Je ne sais même pas si elle s'en rendra réellement compte un jour, mais elle m'a tout simplement "pourri".
Je ne pense pas que j'étais une fille parfaite avant de la rencontrer, mais j'avais une envie de vivre, une envie de croquer la vie à pleines dents, d'aimer le monde entier, d'essayer d'accepter les défauts de tout le monde. Elle me disait qu'elle voulait devenir comme moi, et en fait, c'est moi qui suis devenue comme elle : Une loque incapable de profiter de ce qu'elle a.
Et ça me révolte de voir, de lire, d'entendre dans tous ses discours quelque chose qui ressemble à (sans réelle caricature) : « Je suis une fille bien, je ne suis qu'amour et fidélité, j'aimerais rendre tout le monde heureux. Mais le destin est vraiment ignoble avec moi, il s'acharne sur moi, pauvre petite chose que je suis. J'ai toujours eu le don de tomber sur les mauvaises personnes [J'en fais partie maintenant.], mais tant pis, de toute façon, je finirai par trouver la bonne personne, celle qui m'acceptera entièrement comme je suis et qui ne me trahira pas. Mais de toute façon, comme je suis quand même une fille ultra forte, et ultra cool, et bien, quoiqu'il arrive, je garde le smile ! Alors PLAIGNEZ-MOI, VÉNÉREZ-MOI ! »
(Bon, la fin est un peu caricaturale quand même.)
Et de me voir, moi, en face, qui me rend compte que ma plus grande erreur dans toute cette histoire est d'avoir été trop gentille et de m'être laissée bouffer jusqu'au trognon ; parce que c'est ce que je suis devenue, un trognon, et qui essaie avec plus de difficultés que de facilités, alors même que je suis entourée, de me relever suite à tout ce qu'elle a pu me dire. Je sais que je ne suis pas parfaite, vraiment loin de là. J'ai des torts dans l'histoire aussi, et je l'ai en quelque sorte laissée faire ce qu'elle voulait de moi. Je pensais réellement qu'elle disait tout ça pour m'aider. Mais en fait, elle m'a juste écrasée. Mais c'est tout de même elle la victime. Et quand je l'entends dire ça, je n'ai plus qu'une envie...
LUI METTRE UN COUP DE PELLE (ou de poêle) DANS LA TRONCHE.
Je suis désolée pour ce pavé, mais il fallait que tout cela sorte. Maintenant, c'est fait. J'essaie de devenir juste indifférente à son égard, de passer à autre chose, mais ça risque d'être long...
Personne n'avait jamais fait autant preuve de mépris à mon égard quand je disais, faisais quelque chose de maladroit, ou même pas forcément en fait, parce qu'elle interprétait tout comme ça lui chante.
(Exemple: Une fois par sms, je lui envoies que la semaine suivante, je n'ai rien de spécial de prévu, et que du coup, on pourra se voir autant qu'elle le veut.
La réponse: Non, on ne se verra pas, parce qu'elle ne veut pas voir des personnes qui veulent d'elles juste parce qu'ils n'ont rien d'autres à faire. Et par la même occasion: « Charlotte, tu devrais faire attention à ce que tu dis, parce que tu risques de blesser énormément de monde en agissant ainsi, enfin, je dis ça pour toi, hein. »)
Pourtant, je faisais de mon mieux, je la dépannais quand elle avait des problèmes d'argents, j'allais chez elle dès qu'elle exprimait le besoin ou l'envie de me voir (durant un moment, elle ne pouvait pas dormir si je n'étais pas là), je l'accompagnais au quotidien, et sans que ça ne me pèse, je trouvais ça normal. Je me disais qu'elle avait besoin d'aide. Mais rien ne lui suffisait jamais assez. Je ne suis pas du genre à parler beaucoup de moi en général [dit-elle en écrivant ceci. ^^], et elle ne supportait pas le fait qu'elle me dise tout, et que je ne lui dises pas grand chose. Et quand je le faisais, ce n'était pas les sujets qu'elle voulait aborder, alors elle passait à autre chose.
On ne se parle plus maintenant, j'ai fini par craquer, elle ne s'en prenait plus seulement à moi, mais à mon couple, et donc à Lui. Et en fait, non, même pas, je voulais simplement reprendre mes esprits pour pouvoir revenir vers elle et qu'on soit plus fortes, mais elle n'a pas acceptée le fait que je puisse la laisser. « Tu savais que c'était mon pire cauchemar que tu me laisses. Tu m'as manquée de respect, c'est terminé. ». Tout ça en réussissant à me dire que c'est pour moi qu'elle le fait. Bien sûr.
Et là, plus je prends du recul, plus je me rends compte qu'elle a vraiment été des plus infectes avec moi, tout ça au nom de l'amitié. Et pire, que je ne suis pas la première, mais que j'ai été la plus longue à la détente, et donc celle avec qui elle a été le plus loin. Je ne sais même pas si elle s'en rendra réellement compte un jour, mais elle m'a tout simplement "pourri".
Je ne pense pas que j'étais une fille parfaite avant de la rencontrer, mais j'avais une envie de vivre, une envie de croquer la vie à pleines dents, d'aimer le monde entier, d'essayer d'accepter les défauts de tout le monde. Elle me disait qu'elle voulait devenir comme moi, et en fait, c'est moi qui suis devenue comme elle : Une loque incapable de profiter de ce qu'elle a.
Et ça me révolte de voir, de lire, d'entendre dans tous ses discours quelque chose qui ressemble à (sans réelle caricature) : « Je suis une fille bien, je ne suis qu'amour et fidélité, j'aimerais rendre tout le monde heureux. Mais le destin est vraiment ignoble avec moi, il s'acharne sur moi, pauvre petite chose que je suis. J'ai toujours eu le don de tomber sur les mauvaises personnes [J'en fais partie maintenant.], mais tant pis, de toute façon, je finirai par trouver la bonne personne, celle qui m'acceptera entièrement comme je suis et qui ne me trahira pas. Mais de toute façon, comme je suis quand même une fille ultra forte, et ultra cool, et bien, quoiqu'il arrive, je garde le smile ! Alors PLAIGNEZ-MOI, VÉNÉREZ-MOI ! »
(Bon, la fin est un peu caricaturale quand même.)
Et de me voir, moi, en face, qui me rend compte que ma plus grande erreur dans toute cette histoire est d'avoir été trop gentille et de m'être laissée bouffer jusqu'au trognon ; parce que c'est ce que je suis devenue, un trognon, et qui essaie avec plus de difficultés que de facilités, alors même que je suis entourée, de me relever suite à tout ce qu'elle a pu me dire. Je sais que je ne suis pas parfaite, vraiment loin de là. J'ai des torts dans l'histoire aussi, et je l'ai en quelque sorte laissée faire ce qu'elle voulait de moi. Je pensais réellement qu'elle disait tout ça pour m'aider. Mais en fait, elle m'a juste écrasée. Mais c'est tout de même elle la victime. Et quand je l'entends dire ça, je n'ai plus qu'une envie...
LUI METTRE UN COUP DE PELLE (ou de poêle) DANS LA TRONCHE.
Je suis désolée pour ce pavé, mais il fallait que tout cela sorte. Maintenant, c'est fait. J'essaie de devenir juste indifférente à son égard, de passer à autre chose, mais ça risque d'être long...
J'aimerais savoir si il m'a pardonné ou pas ... Je ne le saurais jamais ...
Faut que j'aille de l'avant et que je l'oublie, mais c'est dur ...
Faut que j'aille de l'avant et que je l'oublie, mais c'est dur ...
Ça me fait un peu mal à la gueule de savoir que mon père me prend pour une connasse prétentieuse et élitiste juste parce qu'il a une sorte de complexe d'infériorité.
Enfin, c'est mon PAPA quoi.
J'aimerais bien que les choses soient aussi simples que quand il jouait à la dînette avec moi, et qu'on s'entendait bien. Maintenant, on s'engueule à longueur de temps ou alors je me prends des petites remarques comme ça, qui sortent de nulle part. Juste gratuitement dans ma gueule.
Enfin, c'est mon PAPA quoi.
J'aimerais bien que les choses soient aussi simples que quand il jouait à la dînette avec moi, et qu'on s'entendait bien. Maintenant, on s'engueule à longueur de temps ou alors je me prends des petites remarques comme ça, qui sortent de nulle part. Juste gratuitement dans ma gueule.
Je viens de me faire larguer la veille de noël et en plus après les vacances j'ai mes partiels.
A
Ancien membre
Guest
Aujourd'hui c'est le genre de jour, ou un peu petit truc te fais prendre conscience que rien ne va.
Ma mère qui me prends la tête de bon matin, balance des trucs qui blessent, énervent et tout remonte à la surface. Je suis seule. Ca faisait 2 ans et c'est finis. De H c'est silence radio, dieu sait, il lui ai peut-être arrivé quelque'chose mais comment savoir.
Et puis voilà, c'est les fêtes de fin d'année, j'aimerai m'en réjouir, être heureuse, mais c'est pas le cas, vraiment pas le cas. Rien ne va.
Mince ! Ca fait du bien de se plaindre et de s'appitoyer sur son sort parfois
Ma mère qui me prends la tête de bon matin, balance des trucs qui blessent, énervent et tout remonte à la surface. Je suis seule. Ca faisait 2 ans et c'est finis. De H c'est silence radio, dieu sait, il lui ai peut-être arrivé quelque'chose mais comment savoir.
Et puis voilà, c'est les fêtes de fin d'année, j'aimerai m'en réjouir, être heureuse, mais c'est pas le cas, vraiment pas le cas. Rien ne va.
Mince ! Ca fait du bien de se plaindre et de s'appitoyer sur son sort parfois
Anytime;2763006 a dit :C'est Noël et mon père me réveille pour que j'aille faire des photos du fils de sa maîtresse et d'elle même devant l'église pour la communion du môme, maîtresse que ma mère a du amener à l'église alors qu'il lui a acheté la même voiture que celle de ma maman, et là il me repproche de lui répondre sur un ton sec, mais moi JE L'ENMMERDE!! Je lui dirai un jour : " papa je t"enmmerde"
Parles-en avec ta mère avant de la détester juste un peu... Et dis toi toujours que malgré tout la fumé vient après le feu...
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