Le coeur lourd ? C'est ici.

[Cookie Love]

j'y peux rien si j'ai parfois trop confiance en moi, mais c'est quoi le mieux ? en avoir beaucoup trop ou pas assez ? ou en avoir juste ce qu'il faut, mais le juste milieux existe-t-il vraiment ? j'ai envie de rester celle que je suis, je m'aime comme ça alors tant pis si ça ne plait pas à tout le monde...

 

[Honolulu]

Ça fait un an que je vis chez mon papa à cause des relations tendu entre ma mère et moi. Du coup j'ai eu des nouvelles d'elle via ma petite soeur qui la voit toutes les deux semaines, pendant un an. Hier j'avais "le coeur lourd" parce que c'était la fête des mères. Quand ma petite soeur est rentré le soir, elle m'a donné un livre de la par de ma mère : Que serait-je sans toi, G.Musso. On fait quoi quand c'est comme ça ?


Merci pour ce sujet les madz

 

[Pipistrelle.]

Quand est-ce-que je pourrai dire que oui, je vais bien, sans mentir? Quand est-ce-que je pourrai arrêter de me forcer à être souriante et avenante?

 

[Ineffable]

je bosse, je n'arrète pas, projet - mémoire - mémoire - projet -projet -projet - mémoire, j'ai eu un weekend de 4 jours et ma seule distraction a été d'allez prendre un verre en terrase 3h avec des amis lundi soir. J'essaye de temperer de faire avancer ce qui doit être présenter, de bosser à tour de rôle...
Mais ça ça leur passe tous au dessus de la tête, associer Erasmus et travail pour eux c'est impossible.

Avoir dormi 2h pour avoir des documents à présenter et s'entendre dire sur un ton qui ne laissait pas de doute quand au foutage de gueule
'Bon ben cette semaine tu fais pause, tu te mets à bosser vraiment et tu reprendras ton Erasmus àpres" (comprendre ton tournage de pouce au soleil) c'est trop ...

 

[Pipistrelle.]

Je ne me sens pas bien, ça devient physique...

 

[Ancien membre]

Je suis complètement écœurée par le changement radical de politique de Urban Decay, ça me donne franchement envie de vomir. Comment on a pu en arriver à ce que le fric domine le monde, au delà des valeurs, à ce point?!

 

[Super-Fraise]

J'ai mal. Aussi bien physiquement que moralement je me décompose petit à petit. J'ai toujours eu cette image de nana forte & sûre d'elle, mais putain dans le fond je complètement dévastée. Je suis perdue. Complètement à l'ouest. & ce coeur qui n'en finit plus d'imploser ! C'est donc tout ce que je mérite n'est ce pas ? Parfois je me dis que je serais tellement mieux seule, dans une grotte, à vivre avec les animaux ou je ne sais quoi d'autres. J'ai mal, mal, mal. Je n'en peux plus. Je suis à bout. Je craque.

 

[Aamu.]

Je me sens tellement démunie.

 

[Ancien membre]

J'ai vraiment eu du mal à dormir cette nuit, j'ai revécu la scène, imaginé ce que je n'ai pas eu le courage de regarder, j'ai l'impression qu'il va bien mais qu'en revanche, ça a un peu abîmé ma carapace de WonderMaman

 

[Joi.lie]

Le bac commence mercredi, je stress pas, j'ai quasiment pas réviser, j'ai pourtant l'envie mais pas la force. Je me déteste. ça fait plus de 6 mois que mon père a disparu, je le déteste. J'ai envie de tuer cette fille qui tourne autour de mon copain. J'ai envie de voir mon copain, mais je le verrais pas avant fin juin. Il faut que je dorme. J'ai la flemme de tout, envie de vomir. mon compte en banque tire la gueule, sa me rend folle. Sinon, non je me plains à peine & tout va bien...

 

[Miawou]

J'ai toujours eu la sensation ou l'impression d'être quelqu'un de fort, et aujourd'hui, j'en suis plus sûre du tout.
Aujourd'hui, j'avais rendez-vous chez ma kiné, elle n'était pas là et je savais que ça serait son remplaçant, que je connaissais pas.
Je ne me suis jamais sentie aussi mal à l'aise et aussi faible de toute ma vie. Ce monsieur d'une cinquantaine d'années m'a donc accueillie, la braguette ouverte, premier malaise, mais probablement un oubli de sa part. Evidemment il l'a remarqué peu après (il est possible que ça se soit lu sur mon visage), et l'as refermée après un "oh pardon", je précise qu'il ne s'est nullement éclipsé ou même retourné pour le faire.
J'ai des séances de kiné pour de la rééducation du poignet suite à une fracture, normalement, pendant le déroulement d'une séance, je suis assise sur une chaise, le bras posé sur une table et le ou la kiné, sur une chaise en face, manipule mon poignet et me fait faire divers exercices. Ce monsieur s'est lui même assis sur la table et manipulais mon bras... sur ses genoux.
Et c'est ce moment là qu'il a choisi pour me tutoyer, alors qu'on ne se connaissait absolument pas (je précise que j'ai 23 ans et qu'on ne me tutoie plus depuis un bail)
J'étais crispée, mal à l'aise, j'avais l'impression que chaque geste était une agression, de plus 'avais mal (au poignet), et lorsqu'il m'a mis la main sur l'épaule pour me dire de souffler, de ne pas crisper et de laisser aller, j'ai eu envie de pleurer.
Depuis je ne sais pas quoi faire, si je me suis grave montée la tête toute seule, mais même si je l'ai fait, est ce que je dois continuer à faire des séances avec quelqu'un qui me met si mal à l'aise? Et si je dois annuler, que dire?
Je ne sais pas, je me sens démunie, et humiliée, alors que rien de grave ne s'est passé.

 

[Ginger.]

Difficultés à dormir qui reviennent + bac qui approche + fatigue + impression que mes parents ne s'occupent de rien chez moi = déprime et angoisse qui se réinstallent.

Heureusement qu'il est là,mais j'ai quand même envie de pleurer là...