@La femme de Frank Ta question a-t-elle un but?
Pragmatiquement parlant, je ne crois pas que l'écriture inclusive va atteindre une popularité telle qu'elle renouvellera la langue, se poser la question sur le but final, c'est un peu faire des plans sur un fantasme. Actuellement, la l'écriture inclusive me sert à genrer correctement mon entourage (qui est majoritairement composé de gens non-bis, en fait).
Pour te donner une réponse sérieuse, non, je ne pense pas que réviser l'histoire et le passé (y compris la littérature) soit une bonne entreprise; oui, je pense que l'utiliser de façon plus systématique, dans les journaux, les offres culturelles, et la "polir" avec l'usage pour qu'elle soit moins visuellement "néologique", que des usages créent des habitudes (je suis sûre qu'il y a un processus linguistique avec un nom savant pour décrire ça, mais bref on voit de quoi je parle), et la voir être adoptée dans la littérature - mais en fait, ce n'est pas tant la langue que je veux voir changée, c'est surtout l'acceptation des gens non-binaires, et une réflexion plus large sur la place de la femme dans la société. Mon but n'est pas de l'imposer telle une dictatrice à la société. (Mais force est de constater que c'est déjà un bon moyen de découvrir vite qui va être relou ou pas sur la non-binarité.)
(Mon message est assez défensif sur son ton, je m'en excuse. Ce sujet n'aide pas à rester apaisé-e sur la question.)
Pragmatiquement parlant, je ne crois pas que l'écriture inclusive va atteindre une popularité telle qu'elle renouvellera la langue, se poser la question sur le but final, c'est un peu faire des plans sur un fantasme. Actuellement, la l'écriture inclusive me sert à genrer correctement mon entourage (qui est majoritairement composé de gens non-bis, en fait).
Pour te donner une réponse sérieuse, non, je ne pense pas que réviser l'histoire et le passé (y compris la littérature) soit une bonne entreprise; oui, je pense que l'utiliser de façon plus systématique, dans les journaux, les offres culturelles, et la "polir" avec l'usage pour qu'elle soit moins visuellement "néologique", que des usages créent des habitudes (je suis sûre qu'il y a un processus linguistique avec un nom savant pour décrire ça, mais bref on voit de quoi je parle), et la voir être adoptée dans la littérature - mais en fait, ce n'est pas tant la langue que je veux voir changée, c'est surtout l'acceptation des gens non-binaires, et une réflexion plus large sur la place de la femme dans la société. Mon but n'est pas de l'imposer telle une dictatrice à la société. (Mais force est de constater que c'est déjà un bon moyen de découvrir vite qui va être relou ou pas sur la non-binarité.)
(Mon message est assez défensif sur son ton, je m'en excuse. Ce sujet n'aide pas à rester apaisé-e sur la question.)