@Margot Et Sa Bulle
Ne complexe plus sur ton anglais, c'est la compréhension qui compte, et la maîtrise de la langue cible, comme l'ont relevé mes VDD.
Dans d'autres pays, les traducteurs traduisent dans les deux sens, et ça me paraît une hérésie, car très souvent les petites nuances culturelles passent à la trappe, ou les registres de langues ne sont pas toujours bien appliqués.
Pour la question de la précarité, ça dépend du pays où tu résides, de tes clients, et de ton statut. Perso, je trouve aussi que c'est un vrai stress, car certains clients proposent les projets sur le principe du "premier arrivé, premier servi" et c'est pas tenable. Pour mes projets de sous-titrage, le project manager était basé en Inde, et envoyait donc les projets à 1h du matin. Pour une agence basée aux US, il m'arrivait parfois d'accepter des projets avant même de les vérifier juste parce que c'était la fin du mois et que le prix proposé était une aubaine que je ne pouvais pas me permettre de laisser passer.
J'ai tenté de démarcher des boîtes directement, et les rares fois où j'ai eu des réponses, j'ai passé et réussi les tests, on m'a dit être ok sur mes prix, et j'ai jamais rien reçu. J'ai aussi eu ceux qui ont fait les sourds quand il a été question de me payer les tests comme promis, et qui ne m'avaient envoyé aucun brief alors que je l'avais demandé (et dans le feedback, on m'avait reproché de ne pas m'être référée... au brief...)
Donc j'ai toujours dû bosser avec des agences, et c'est clairement pas le top.
Donc vu les changements dans l'industrie, il ne faut pas hésiter à se pencher sur les métiers de la traduction/localisation, et surtout, à voir côté salariat. Les boîtes réglo, ça existe, et avec la démocratisation du télétravail, il y a des opportunités sympas qui apparaissent!
Ne complexe plus sur ton anglais, c'est la compréhension qui compte, et la maîtrise de la langue cible, comme l'ont relevé mes VDD.
Dans d'autres pays, les traducteurs traduisent dans les deux sens, et ça me paraît une hérésie, car très souvent les petites nuances culturelles passent à la trappe, ou les registres de langues ne sont pas toujours bien appliqués.
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Pour la question de la précarité, ça dépend du pays où tu résides, de tes clients, et de ton statut. Perso, je trouve aussi que c'est un vrai stress, car certains clients proposent les projets sur le principe du "premier arrivé, premier servi" et c'est pas tenable. Pour mes projets de sous-titrage, le project manager était basé en Inde, et envoyait donc les projets à 1h du matin. Pour une agence basée aux US, il m'arrivait parfois d'accepter des projets avant même de les vérifier juste parce que c'était la fin du mois et que le prix proposé était une aubaine que je ne pouvais pas me permettre de laisser passer.
J'ai tenté de démarcher des boîtes directement, et les rares fois où j'ai eu des réponses, j'ai passé et réussi les tests, on m'a dit être ok sur mes prix, et j'ai jamais rien reçu. J'ai aussi eu ceux qui ont fait les sourds quand il a été question de me payer les tests comme promis, et qui ne m'avaient envoyé aucun brief alors que je l'avais demandé (et dans le feedback, on m'avait reproché de ne pas m'être référée... au brief...)
Donc j'ai toujours dû bosser avec des agences, et c'est clairement pas le top.
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