@Morphyne Comme Niminus je trouve ça pas mal les recettes à IG bas. Je parle pas du régime, mais éviter les pics d'insuline c'est toujours bon à prendre. On y tout.e.s plus ou moins sensibles, moi ça me fait plus de mal que de bien ! Manger IG bas demande pas vraiment de recherches, il suffit :
- d'éviter les aliments sucrés, tout particulièrement seuls (il vaut mieux les accompagner d'un aliment IG bas quand on en mange, genre du chocolat avec du pain complet)
- d'éviter tout ce qui est féculents blancs, qui plus est tout seuls là aussi, pour leur préférer les complets : diminuer baguette blanche, pâtes et riz blanc, pdt, pour leur préférer leurs versions complètes.
De manière générale, faire l'association sucres/légumes réduit beaucoup l'IG du repas. Si certaines ont des choses à rajouter...
@Niminus Je suis vraiment heureuse et touchée si ça t'aide un peu
. Je sais pas pourquoi malgré tout ce qu'on sait, on accorde toujours de l'importance à la balance, ça rend fou. J'imagine que ça prend autant de temps de défaire ce réflexe que de le faire. C'est pour ça que je suis pas trop chaude non plus à l'idée de complètement fuir la balance tant qu'on a pas fait la paix : si on est pas confrontée à ces satanés chiffres, c'est compliqué de les apprivoiser
(enfin, pour moi en tout cas). C'est très bien de manger équilibré, après, il ne faut pas non plus donner trop de pouvoir aux aliments "cheat" : s'ils sont évités pour de mauvaises raisons (=autre que l'absence d'envie d'en manger), leur consommation ne peut qu'entrainer des émotions négatives (honte, culpabilité, stress, etc). En ce moment je mange tous les matins du pain et de la nocciolatta, et seul le plaisir compte. Ca ne m'a pas empêché de perdre du poids, sûrement parce que je ne ressens aucune culpabilité et donc, je vais plus finir le pot à la cuillère pour être débarrassée et plus de "foutu pour foutu".
Bravo pour ce matin ! Et non, ce n'est pas simple de s'écouter : c'est même ce qu'il y a de plus difficile, parce qu'il faut réussir à recevoir ses émotions sans que ça impacte la manière de manger. A l'époque où je faisais des crises, j'avais un mal fou à en sortir parce que ça me poursuivait des jours entiers, comme une spirale infernale. Et finalement, ce qui me sauvait, c'était de ne pas attendre le retour de la faim mais de faire une journée "normale" le lendemain. Sinon, comme les alcooliques, je tenais le matin, mais à force de stress de cette faim qui ne revient pas, je craquais dans l'aprem. Et rebelotte le lendemain ! On a toutes nos trucs, ce qui compte, c'est d'accepter ce qui est. En ce moment, je me suis rendue compte que je grignote avant le repas du soir. Au lieu de me fustiger, je me dis que je suis en plein SPM et que je dois en avoir besoin. Et comme ben, c'est pas grave, ça passe tout seul !
(Bon, je me suis emballée, encore
).