@Mama Sara merci pour ces idées de lecture et d'ecoute (mais j'écoute jamais les podcasts, je suis vieille, c'est trop techologique pour moi, je fais un blocage idiot je crois! 
).
J'aime beaucoup la rélfexion de Titou Lecoq sur la simplification des emotions chez les petits garcons. Mon fils est encore petit, mais je note et lis précieusement les infos sur l'education des garcons; je veux vraiment qu'on s'interroge sur notre manière de l'eduquer et pas seulement qu'on reproduise des comportements standards.
D'ailleurs, rien a voir mais un peu quand meme, on se faisait la réflexion suivante avec mon mari: c'est dingue a quel point on a du mal a s'exprimer avec des phrases positives. Je m'explique: on essaie de ne pas utiliser de négation quand on s'adresse à lui; par exemple on ne lui dit pas "ne mange pas le cable d'alimentation du pc" mais "lache le cable". Et en fait ca nous demande un vrai effort de ne pas employer de tournures de phrases négatives. Je trouve ca symptomatique de notre relation à l'education: fondamentalement nos apprentissages reposent sur des interdits, sur des choses à ne pas faire; bref on se concentre sur le négatif au lieu du positif.
Est ce que j'extrapole complètement à votre avis et suis completement à coté de la plaque?
			
			J'aime beaucoup la rélfexion de Titou Lecoq sur la simplification des emotions chez les petits garcons. Mon fils est encore petit, mais je note et lis précieusement les infos sur l'education des garcons; je veux vraiment qu'on s'interroge sur notre manière de l'eduquer et pas seulement qu'on reproduise des comportements standards.
D'ailleurs, rien a voir mais un peu quand meme, on se faisait la réflexion suivante avec mon mari: c'est dingue a quel point on a du mal a s'exprimer avec des phrases positives. Je m'explique: on essaie de ne pas utiliser de négation quand on s'adresse à lui; par exemple on ne lui dit pas "ne mange pas le cable d'alimentation du pc" mais "lache le cable". Et en fait ca nous demande un vrai effort de ne pas employer de tournures de phrases négatives. Je trouve ca symptomatique de notre relation à l'education: fondamentalement nos apprentissages reposent sur des interdits, sur des choses à ne pas faire; bref on se concentre sur le négatif au lieu du positif.
Est ce que j'extrapole complètement à votre avis et suis completement à coté de la plaque?
				
		
			
 Non, c'est interdit, non ne fait pas ça, non c'est dangereux 
. Idem également on a remarqué avec mon mari que lorsqu'un bébé pleure on a tendance à venir lui parler en disant: "oh ba noon, pourquoi tu pleures?". Encore une fois le premier mot qui nous vient c'est "non" alors qu'on est tous les deux conscients que c'est positif d'exprimer ses émotions, même lorsqu'elles sont négatives. On est pas sortis du sable quoi 
" 
. Bref, lorsqu'il comprend de quoi il s'agit Fab lui demande si ils ont dû attendre longtemps cette grossesse et Cédric répond: "oui ça a pris six mois, pendant tout ce temps elle a cru qu'elle était trop vieille et qu'elle ne tomberait jamais enceinte".
 Je n'ai pas beaucoup à apporter sur le sujet de l'hyper contrôle (je suis d'accord avec ce qui est dit précédemment).
