@Tératogène oui je pense que là la critique s'adresse particulièrement au milieu universitaire états-uniens dont parle l'article: mettre en place un vrai service de santé mentale au sein des campus, plutôt que de voir dans les TW "la" solution.
Mais le fait que les trigger warnings puissent au final créer de l'angoisse ça mérite réflexion sur leurs usages.
Au delà de la question de la "guérison" je pense que ça pose aussi la question de l'utopie des "safe space"
Je suis en train de lire un livre où il y a (un peu) la question du syndrome de stress post-traumatique (guerre du Vietnam) et ça parle justement du fait d'essayer de se confronter aux situations quotidiennes angoissantes (mais en étant accompagné).
Mais dans ce contexte précis c'est plutôt la question de l'auto-censure des profs vis à vis des contenus choisis à étudier qui est posée j'ai l'impression ("si c'est triggerant ça doit être écarté" par exemple).
Mais le fait que les trigger warnings puissent au final créer de l'angoisse ça mérite réflexion sur leurs usages.
Au delà de la question de la "guérison" je pense que ça pose aussi la question de l'utopie des "safe space"
Je suis en train de lire un livre où il y a (un peu) la question du syndrome de stress post-traumatique (guerre du Vietnam) et ça parle justement du fait d'essayer de se confronter aux situations quotidiennes angoissantes (mais en étant accompagné).
Mais dans ce contexte précis c'est plutôt la question de l'auto-censure des profs vis à vis des contenus choisis à étudier qui est posée j'ai l'impression ("si c'est triggerant ça doit être écarté" par exemple).