@Madd (et @Andy_ du coup
)
Je pense qu'il s'agit aussi vraiment d'un positionnement personnel ? De mon côté, je dirais que ça ne me dérangerait pas d'acheter des chaussures en cuir de seconde main, par exemple
C'est un raisonnement qui me parle et qui me semble plutôt logique de mon point de vue. Je comprends aussi totalement qu'on veuille éviter à 100% ces matières, même de seconde main. De toute façon me concernant, j'aimerais par exemple pouvoir dire que j'achète des vêtements de seconde main de façon générale, mais j'en suis infoutu pour l'instant et j'achète du neuf (et, du coup, du vegan autant que possible).
Ton exemple du renard est intéressant car en effet même de seconde main, je n'achèterais pas de la fourrure de renard, ça me dérangerait vraiment d'en porter. Le processus me dérange infiniment plus que celui de la laine, je ne sais pas pourquoi.
Ensuite il y a la notion d'exploitation, là encore je comprends le positionnement d'un rejet total de toute exploitation des animaux, mais ce n'est pas le mien (pour le moment ?), et notamment si j'avais des poules dans mon jardin, je ne considérerais pas comme une exploitation le fait de leur prendre leurs oeufs du moment qu'elles ont une alimentation équilibrée, de bonnes conditions de vie etc. La question de l'origine de la poule et des 50% de poussins mâles, c'est encore autre chose.
En fait, l'idée d'un échange homme-animal ne me choque pas du tout. Le seul souci étant de pouvoir vérifier la volonté de l'animal à se placer dans cet échange, ce qui ne peut se faire que si l'animal a la possibilité de partir à tout moment
)Je pense qu'il s'agit aussi vraiment d'un positionnement personnel ? De mon côté, je dirais que ça ne me dérangerait pas d'acheter des chaussures en cuir de seconde main, par exemple
C'est un raisonnement qui me parle et qui me semble plutôt logique de mon point de vue. Je comprends aussi totalement qu'on veuille éviter à 100% ces matières, même de seconde main. De toute façon me concernant, j'aimerais par exemple pouvoir dire que j'achète des vêtements de seconde main de façon générale, mais j'en suis infoutu pour l'instant et j'achète du neuf (et, du coup, du vegan autant que possible). Ton exemple du renard est intéressant car en effet même de seconde main, je n'achèterais pas de la fourrure de renard, ça me dérangerait vraiment d'en porter. Le processus me dérange infiniment plus que celui de la laine, je ne sais pas pourquoi.
Ensuite il y a la notion d'exploitation, là encore je comprends le positionnement d'un rejet total de toute exploitation des animaux, mais ce n'est pas le mien (pour le moment ?), et notamment si j'avais des poules dans mon jardin, je ne considérerais pas comme une exploitation le fait de leur prendre leurs oeufs du moment qu'elles ont une alimentation équilibrée, de bonnes conditions de vie etc. La question de l'origine de la poule et des 50% de poussins mâles, c'est encore autre chose.
En fait, l'idée d'un échange homme-animal ne me choque pas du tout. Le seul souci étant de pouvoir vérifier la volonté de l'animal à se placer dans cet échange, ce qui ne peut se faire que si l'animal a la possibilité de partir à tout moment



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Pourtant objectivement vu le nombre de vêtements que j'achète par an je me dis que je suis loin d'être celle qui contribue le plus à l'exploitation humaine/la pollution, mais voilà même si je n'achète pas de cuir ni de laine j'achète effectivement la majorité de mes vêtements chez Zara, et ce sont certainement des matières polluantes
Mais je suis tellement difficile pour m'habiller que pour être honnête quand quelque chose me plaît je me pose assez peu la question... Mais bon ça rejoint aussi le problème des matériaux polluants des smartphones/ordinateurs, le fait est que j'aurais beaucoup de mal à me passer de ces deux objets alors que je sais que ça pollue et que des humains sont exploités pour les fabriquer, donc bien sûr que ça me pose un problème de conscience, mais à l'heure actuelle je serais bien incapable de ne pas les utiliser, de boycotter les marques... Et donc les vêtements pareil, j'achète de la "fast-fashion" (même si encore une fois je ne consomme pas la même quantité que beaucoup, loin de là) et pour des questions à la fois financières que de goût, j'aurais bien du mal à faire autrement
) (mais du coup j'ai pas de parka du tout, éthique ou pas