@Saint-Lucq De toute façon tout ce qui ne ressemble pas à un mec blanc d'une quarantaine d'années minimum ( allez soyons sympa a partir de 37 ans c'est acceptable) se prendra de toute façon des remarques absurdes dés que cette personnes cherche à être réal'. Bah oui tu comprends c'est un boulot de bonhomme et faut bien que t'ai roulé ta bosse en tant qu'assistant.e réal' avant d'avoir l'audace d'être réal toi même... Bah oui, c'est les autres qui te donnent les clés de la maison pas toi qui choisit quand tu les prends... Comment ça t'as déjà des projets? Et bah ça attendra, tu crois quoi? Au final les nouveaux studios et les financement participatif font bien bouger les choses à ce niveau là, mais j'ai l'impression qu'en France on a vraiment une idée arriérée de la hiérarchie et de la façon dont il est acceptable de gravir les échelons... C'est assez pathétique en fait...
De manière générale les réal jeune , parce qu'il y en a un certains nombre en fait, se retrouve toujours avec des réfections profondément stupides sur leurs films. On leur reproche d'avoir un style pas encore "mature" (je cherche encore la date officiel de passage à l'âge adulte chez les réalisateur.ices, apparemment personne n'est d'accord sur le sujet), de pas avoir la bonne culture ( le bon vieux combo jeune et inculte et du coup forcément un peu stupides) ou au contraire d'avoir trop de culture et d'être trop jeune pour s'en détacher ( marrant comme le problème des références mal réappropriée m'ont jamais eu l'air d'être un problème d'âge et de CV des réal' ), de pas être assez expérimentés pour tenir leur film correctement/d'être brouillon/de pas savoir structurer leur scénario (bah oui mais ça c'est une erreur carrément courante que tu trouves dans 1 film sur 3 environ, encore une fois rien à voir) etc...
La liste est longue mais quand on y regarde de prés c'est que des reproches qu'on pourrait faire à n'importe quel film et ça à rarement à voir avec la jeunesse des réal' vu que même les plus vieux et plus rodés les font ces erreurs... C'est juste un façon de dire: bon ça va maintenant arrête ton char et retourne apprendre auprès d'un "vrai" réal', ou alors contente toi des pub ou de court métrages ça devrait être de ton niveau... Le snobisme à la française, tu m'étonnes que le système soit sclérosé ensuite ( bon y pas que ça qui est en cause mais ça en fait partit)...
Pour Gravity, honnêtement il ne valait pas la hype a laquelle il a eu droit et ça aurait du être un moyen métrage en fait. La première demie heure est géniale est après ça devient répétitif et limite t'as l’impression d'être dans un jeux vidéo à passé de plateforme en plateforme et de check point à check point, (et le scénario tourne méchamment en rond). Mais je regrette pas d'être aller le voir en salle: les images sont magnifiques et le travaille de l'ambiance sonore et très intéressant et efficace. En fait faut le couper au bout d'une demie heure et le considérer comme une expérience sensitive ( le boulot sur les plans et le son est excellent). D'un point de vue purement techniques il est très intéressant aussi ( la technologie développée pour recréer l’absence de gravité est assez fascinante), mais le scénario tient sur un timbre poste et passé la première demie heure tu te refait globalement les même séquence en boucle. Y avait de l’intérêt à le voir en salle pour profiter pleinement du design sonore ( en espérant que la salle soit calme) et du grand écran pour vraiment se prendre l’immensité de l'espace dans la face mais ça valait clairement pas les louanges auquel il à eu droit.
De manière générale les réal jeune , parce qu'il y en a un certains nombre en fait, se retrouve toujours avec des réfections profondément stupides sur leurs films. On leur reproche d'avoir un style pas encore "mature" (je cherche encore la date officiel de passage à l'âge adulte chez les réalisateur.ices, apparemment personne n'est d'accord sur le sujet), de pas avoir la bonne culture ( le bon vieux combo jeune et inculte et du coup forcément un peu stupides) ou au contraire d'avoir trop de culture et d'être trop jeune pour s'en détacher ( marrant comme le problème des références mal réappropriée m'ont jamais eu l'air d'être un problème d'âge et de CV des réal' ), de pas être assez expérimentés pour tenir leur film correctement/d'être brouillon/de pas savoir structurer leur scénario (bah oui mais ça c'est une erreur carrément courante que tu trouves dans 1 film sur 3 environ, encore une fois rien à voir) etc...
La liste est longue mais quand on y regarde de prés c'est que des reproches qu'on pourrait faire à n'importe quel film et ça à rarement à voir avec la jeunesse des réal' vu que même les plus vieux et plus rodés les font ces erreurs... C'est juste un façon de dire: bon ça va maintenant arrête ton char et retourne apprendre auprès d'un "vrai" réal', ou alors contente toi des pub ou de court métrages ça devrait être de ton niveau... Le snobisme à la française, tu m'étonnes que le système soit sclérosé ensuite ( bon y pas que ça qui est en cause mais ça en fait partit)...
Pour Gravity, honnêtement il ne valait pas la hype a laquelle il a eu droit et ça aurait du être un moyen métrage en fait. La première demie heure est géniale est après ça devient répétitif et limite t'as l’impression d'être dans un jeux vidéo à passé de plateforme en plateforme et de check point à check point, (et le scénario tourne méchamment en rond). Mais je regrette pas d'être aller le voir en salle: les images sont magnifiques et le travaille de l'ambiance sonore et très intéressant et efficace. En fait faut le couper au bout d'une demie heure et le considérer comme une expérience sensitive ( le boulot sur les plans et le son est excellent). D'un point de vue purement techniques il est très intéressant aussi ( la technologie développée pour recréer l’absence de gravité est assez fascinante), mais le scénario tient sur un timbre poste et passé la première demie heure tu te refait globalement les même séquence en boucle. Y avait de l’intérêt à le voir en salle pour profiter pleinement du design sonore ( en espérant que la salle soit calme) et du grand écran pour vraiment se prendre l’immensité de l'espace dans la face mais ça valait clairement pas les louanges auquel il à eu droit.
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