@Angel. Pour ma part, j'emprunte pas mal de livres en médiathèque, depuis petite. Les problèmes comme d'autres l'ont noté, c'est d'abord le choix assez restreint (très peu d'auteurs étrangers, sauf USA, par rapport aux nombre de livres d'histoire, ces rayonnages prennent au moins 2/5 de l'espace adulte hors BD/mangas) et le fait d'avoir un rapport "intime" avec les livres ou certains en particulier. J'avais emprunté le premier tome du Deuxième sexe de Simone de Beauvoir mais l'avait rendu sans le lire parce je sentais quelque chose de fort pour ce livre, pouvoir écrire dessus, etc.
Pour les CDs et DVD j'avoue que déjà j'ai mis du temps à tilter qu'il y avait une pièce pour ça dans ma médiathèque (hum
) et une fois l'information intégrée j'ai mis du temps à oser entrer (phobie sociale mon amour).
Maintenant n'emprunte très souvent des DVD mais il y a vraiment très peu de stock en fait (mais très diversifié paradoxalement: il y a beaucoup de films étrangers, films d'auteurs, récents, classiques,...)
Je crois s'en fait les médiathèques ne sont pas forcément tout à fait intégrées à la ville (ou dans certaines villes?) A partir du moment où mon école primaire ne nous y a plus emmener, j'ai plus ou moins oublié qu'elle existait en fait et n'y suis plus retournée pendant plusieurs années
Sinon par rapport à votre discussion sur les livres scolaires, je me souviens qu'au collège j'étais dans des classes réputées "difficiles" (tu sais, la classe où il n'y a que 16-17 élèves mais dans certains cours t'as l'impression qu'il y en a 40 tellement c'est bruyant
) et la prof de français "testait" des livres avec ses classes calmes * et en gros c'est eux qui nous choisissait nos lectures, du coup.
Pareil que vous, presque que des auteurs, seulement une femme André Chedid avec le message. On a lu presque aucun classique à part Molière et juste Les fourberies de Scapin et La Vénus d'Ille de Mérimée mais il y avait tellement de bruit cette année là et on l'a lu tellement lentement ( mais POURQUOI couper autant la lecture
) que j'ai rien pigé à l'histoire.
Mais du coup les lectures c'est peut être plus au lycée, je sais pas, j'ai pas l'impression qu'on nous ai fait beaucoup lire au collège
*oui la personne qui s'est occupé de la répartition des classes tenait une sacrée couche