ECM féministe

[Miss Rayven]

@lafeemandarine : Et les LaFâme qui comme moi se baignent en short de surf ?? Ah pardon, j'oublais, les shorts de surf c'est pour les Zhôm, on est pas des LaFâme
(et le point sur le monokini… )

Et aller encore une preuve que je suis pas une LaFâme moi aussi je me baigne en short de surf

 

[Shinigamylle]

@Miss Rayven : Ba ouais… Je sais pas vous mais moi les maillots de bain (à part les shortys que j'aime pas parce que ça me rentre dans le boule), ba je finis toujours par avoir un bout de lèvre qui fait coucou au monde. Et euh merci mais quand je me baigne j'aimerai ne pas avoir à réfléchir aux mouvements que je fais

(Sinon je suis vexée, je vous ait mit une photo de chat rigolo et personne rigole )

 

[Miss Rayven]

@Shinigamylle bah oui le bas de maillot qui te rentre dans la raie (des fesses pas manta ) c'est ultra relou. Le short c'est la vie point

Et ce burrito au chat est chou ( difficile à enchaîner à voix haute )

 

[Choconoisette]

@Shinigamylle il est trop choupi ton chat-bourrito

 

[La Dame Grise]

Les résultats sont tombés. J'ai raté mon master avec une moyenne de 9,8. Voilà.

 

[Kwoptyx]

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[MorganeGirly]

alors que James Bond c'est juste un gros connard qui se tape plein de meufs

C'est ça les vrais bonhommes tu sais Et tu as oublié de mentionner son gros pistolet

Je suis en train de lire Le deuxième sexe de Simone de Beauvoir, et il y a un nombre qui m'a marqué : elle dit qu'il y a autant d'avortements que de naissances en France ! Le livre ayant été publié en 1949 et les moyens de contraception étant nettement moins développée et répandus, et en plus encore illégaux, ça s'explique. Du coup, vu qu'il n'y a plus qu'un avortement pour 4 naissances en France, ça a quand même grandement diminué. Il faudrait rappeler ça aux imbéciles anti avortement.

Sur le nombre d'avortements qui "diminuent" et ce serai positif, j'ai trouvé la réflexion de cet article super intéressante :

http://www.acontrario.fr/2016/09/30/baisse-nombre-ivg/
Et on peut dégainer tous les articles et reportages autour de l’avortement et de la contraception en France, tous courants de pensées confondus parmi les pro-IVG, on retrouve systématiquement les mêmes constats, tacites ou clairement formulés : avorter est le résultat d’un échec contraceptif, qui s’explique par (au choix ou cumulativement) : un manque d’information, le « tout-pilule », les lacunes en matière d’éducation sexuelle en milieu scolaire, le refus de laisser les femmes choisir librement leur contraception, bref on a un tas d’explications à cette espèce de drame qui ne dit pas son nom, j’ai nommé la tragique constance du nombre d’avortements en France, « malgré » [insérer ici toutes les mesures mises en place pour faire baisser ce nombre]. (...)

L’IVG vue comme un échec de la contraception est certes un grand classique, mais dire que l’IVG est un échec de la contraception, c’est oublier un fait essentiel : quand la contraception échoue, la conséquence de cet échec, ce n’est pas l’IVG, mais la grossesse. Les mots sont importants, ils ont un sens. L’IVG n’est un échec de rien du tout. L’IVG est la solution à la grossesse non désirée, qui est elle-même un échec de contraception. La contraception, parfois, ça échoue. L’IVG, beaucoup plus rarement. Avorter n’est donc pas un échec mais bien une solution. Qu’il est légitime d’utiliser.

Si je continue à dérouler le raisonnement, l’expression « échec contraceptif » m’amène à la notion de prévention : il semble apparemment capital d’agir en vue de « prévenir » les IVG. Là encore, je suis perplexe : la prévention, ça consiste à empêcher qu’une chose négative ou nocive se produise. Cela sous-entendrait que l’IVG est quelque chose de mal, de négatif, de nocif, alors que c’est plutôt la grossesse non désirée qui est un événement négatif.

Concrètement, l’IVG est une solution, et on ne prévient pas les solutions : on les utilise. L’IVG n’est pas un problème, mais la solution à un problème. (...)

Dans cette inquiétude liée au nombre constant d’IVG en France, il y a également la question récurrente de la banalisation de l’avortement. Or, que signifie le mot « banal » ? « Banal » signifie « ordinaire », « commun », « courant » : concrètement, l’avortement est déjà un acte banal. C’est également, selon les termes employés par le Docteur Sophie Gaudu lors du congrès de l’ANCIC en 2013 « un des actes gynécologiques les plus fréquents et les plus sûrs ». Elle ajoutait également qu’une femme sur trois a recours à une IVG dans sa vie. Les véritables questions sont : pourquoi refusons-nous d’admettre cette banalité ? En quoi cette banalité nous semble-t-elle dangereuse ? Et pourquoi souhaitons-nous lui donner un caractère infamant, insultant, délictuel, dramatique ?

 

[Maurivie]

@La Dame Grise Rhoo je comprend ta situation

 

[PousseMoussue]

Avec mon copain on a vu Dofus hier.
On a juste pas arrêté de facepalmer tout le long à cause de ce connard de Iop qui nous a sincèrement niqué tout le film. Du coup au final on a détesté tout les deux et j'ai juste trop la flemme d'écrire ce qui nous a dérangé tellement y'avait trop de trucs

 

[La Dame Grise]

Je reviendrai en parler quand je serai sur mon pc parce que j'ai tellement les boules pour plein de trucs là
9,8 sérieux

 

[Meligood]

@La Dame Grise

 

[Maud Kennedy]

@La Dame Grise ,tu n'as pas de possibilité de faire appel ou un truc du même genre???