@Rosa Rosae
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Le topic des profs ou futurs profs !
- Initiateur de la discussion Julina.
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H
Hécamédé
Guest
@Croquemitaine
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Mais euh quand bien même ils n'auraient pas été malmenés en garde à vue, à quel moment c'est la place d'un enfant de 9 ans ? C'est ça la seule possibilité qu'on nous donne en tant qu'enseignants pour réagir ? Ça me rend malade. Je trouve pas ça mieux que rien honnêtement, je trouve ça pire, contre-productif. On risque de se retrouver avec le dilemme atroce : dois-je ne rien dire et couvrir cet élève tenant des propos inadmissibles ou dois-je envoyer une armée de flics chez lui ?
Et quand bien même ils en seraient convaincus... Evidemment que c'est choquant et qu'il faut en faire quelque chose, mais est-ce que c'est en les envoyant en GAV qu'on va les rendre fidèles aux valeurs de la République ??
Et quand bien même ils en seraient convaincus... Evidemment que c'est choquant et qu'il faut en faire quelque chose, mais est-ce que c'est en les envoyant en GAV qu'on va les rendre fidèles aux valeurs de la République ??
Bonjour les Madz'
Je commence tôt ma journée de grève
. Comment allez-vous après cette semaine folle ? Dans mon établissement, un protocole a finalement été décidé hier
En ce qui concerne les GAV d'élèves de primaire pour apologie du terrorisme, je suis d'accord pour dire qu'elles sont choquantes, potentiellement traumatisantes pour les enfants. L'institution devrait trouver une autre manière d'examiner ces situations.
En fait j'imagine sans mal que l'enseignant-e, la directrice ou le directeur d'école est dans une position délicate. La convocation des parents à l'école serait un bon début. Mais se pose la question de la réaction des parents sur un sujet aussi sensible : nous savons que les parents pour même des soucis bien moins graves sont capables de réactions disproportionnées. Ils peuvent être véhéments, agressifs etc. Et là, c'est après l'assassinat d'un collègue à cause d'une réaction d'un parent ! Les collègues de primaire sont moins nombreux que dans le secondaire, s'ils reçoivent à la sortie de l'école ils sont susceptibles d'être peut-être seuls dans l'école (plus de chance d'avoir un chef ou des collègues à proximité dans le secondaire entre 17h30 et 18h30...). Une crainte de tels rendez-vous est légitime.
Par ailleurs, est-ce qu'un directeur ou une directrice d'école faisant un signalement au rectorat sait que ça se terminera en GAV ? Pas forcément à mon avis aussi. On a tellement l'habitude du "pas de vague" qu'une réaction aussi forte et rapide peut surprendre le collègue qui suivait les consignes tout en ayant en tête le contexte donné plus haut...
Et enfin, est-ce qu'un enfant mesure la gravité de ses propos ? Est-ce qu'il sait ce qu'est le terrorisme ? Son apologie ? Dans mon bahut, la première chose qu'on a faite a été de rappeler les faits et la loi (liberté d'expression s'arrête à l'apologie du terrorisme, à l'incitation à la haine ou la violence envers les individus ou groupes...) et pourtant on a des lycéens !
Je ne l'ai pas lu mais j'ai aperçu un billet de blog de Laurence de Cock sur Médiapart (en accès libre) et il y a un article payant sur les GAV d'écoliers à Grenoble sur le site du journal.
Je commence tôt ma journée de grève
. Comment allez-vous après cette semaine folle ? Dans mon établissement, un protocole a finalement été décidé hier
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En ce qui concerne les GAV d'élèves de primaire pour apologie du terrorisme, je suis d'accord pour dire qu'elles sont choquantes, potentiellement traumatisantes pour les enfants. L'institution devrait trouver une autre manière d'examiner ces situations.
En fait j'imagine sans mal que l'enseignant-e, la directrice ou le directeur d'école est dans une position délicate. La convocation des parents à l'école serait un bon début. Mais se pose la question de la réaction des parents sur un sujet aussi sensible : nous savons que les parents pour même des soucis bien moins graves sont capables de réactions disproportionnées. Ils peuvent être véhéments, agressifs etc. Et là, c'est après l'assassinat d'un collègue à cause d'une réaction d'un parent ! Les collègues de primaire sont moins nombreux que dans le secondaire, s'ils reçoivent à la sortie de l'école ils sont susceptibles d'être peut-être seuls dans l'école (plus de chance d'avoir un chef ou des collègues à proximité dans le secondaire entre 17h30 et 18h30...). Une crainte de tels rendez-vous est légitime.
Par ailleurs, est-ce qu'un directeur ou une directrice d'école faisant un signalement au rectorat sait que ça se terminera en GAV ? Pas forcément à mon avis aussi. On a tellement l'habitude du "pas de vague" qu'une réaction aussi forte et rapide peut surprendre le collègue qui suivait les consignes tout en ayant en tête le contexte donné plus haut...
Et enfin, est-ce qu'un enfant mesure la gravité de ses propos ? Est-ce qu'il sait ce qu'est le terrorisme ? Son apologie ? Dans mon bahut, la première chose qu'on a faite a été de rappeler les faits et la loi (liberté d'expression s'arrête à l'apologie du terrorisme, à l'incitation à la haine ou la violence envers les individus ou groupes...) et pourtant on a des lycéens !
Je ne l'ai pas lu mais j'ai aperçu un billet de blog de Laurence de Cock sur Médiapart (en accès libre) et il y a un article payant sur les GAV d'écoliers à Grenoble sur le site du journal.
@Psychotherapute je ne sais pas comment c'est dans le 2nd degré mais je suppose que c'est comme dans le premier degré (j'attends quand même que quelqu'un du secondaire confirme)
En gros il existe plusieurs types de postes :
- les postes à affectation provisoire : un poste t'est attribué chaque année en fonction des places qui se libèrent et sur lesquelles personne n'a fait de voeux (les postes restant vacants après une première phase d'affectations). Si tu n'as pas les postes que tu as demandé, tu es affecté.e d'office sur un poste que tu n'as pas demandé, mais pour un an, et l'année d'après tu peux à nouveau faire des voeux pour d'autres postes. Tant que tu ne trouves pas un poste à titre définitif chaque année tu es susceptible de bouger.
- les postes à affectation définitive : tu restes chaque année sur le même poste tant que tu ne demande pas à en changer. Et là, sauf mesure de carte scolaire ou demande de ta part (participation au mouvement ou autre), tu ne changes pas de poste.
Par ailleurs, certains postes provisoires sont fractionnés : tu peux être affecté.e sur plusieurs établissements en même temps, et ton temps est réparti sur ces différents supports. De même que les postes de remplaçants (TZR il me semble, qui peuvent être provisoires ou définitifs si c'est comme dans le primaire) peuvent amener à faire plusieurs établissements dans l'année en cas de remplacements courts, ou un établissement chaque année en cas de remplacements longs.
Donc concrètement oui, il est tout à fait possible d'être une année sur un poste collège et l'année suivante sur un poste lycée ailleurs. Ce n'est pas vraiment une mutation : dans l'Education nationale ça s'appelle le "mouvement", c'est simplement un jeu de chaises musicales entre les différents postes, et c'est, même si c'est très relou en début de carrière, tout à fait normal. Chacun.e fait des voeux sur des postes et les postes sont attribués en fonction des points que les personnels ont (dépendant de l'ancienneté, des services particuliers effectués les années précédentes, des spécialisations pour certain.es, des bonifications particulières etc.)
En début de carrière, c'est parfois difficile d'avoir un poste fixe d'une année sur l'autre. Une amie prof d'anglais par exemple tourne tous les ans sur plusieurs établissements différents, une autre prof doc ne fait que des remplacements longs chaque année.
Les mesures de carte scolaire sont les ouvertures/fermetures de postes dû à des changements d'effectifs dans les établissements.
J'espère avoir été claire, c'est vraiment un fonctionnement compliqué à expliquer quand on n'est pas dedans ^^'
Les collègues du secondaire, n'hésitez pas à relever mes conneries si j'en ai dites ^^'
En gros il existe plusieurs types de postes :
- les postes à affectation provisoire : un poste t'est attribué chaque année en fonction des places qui se libèrent et sur lesquelles personne n'a fait de voeux (les postes restant vacants après une première phase d'affectations). Si tu n'as pas les postes que tu as demandé, tu es affecté.e d'office sur un poste que tu n'as pas demandé, mais pour un an, et l'année d'après tu peux à nouveau faire des voeux pour d'autres postes. Tant que tu ne trouves pas un poste à titre définitif chaque année tu es susceptible de bouger.
- les postes à affectation définitive : tu restes chaque année sur le même poste tant que tu ne demande pas à en changer. Et là, sauf mesure de carte scolaire ou demande de ta part (participation au mouvement ou autre), tu ne changes pas de poste.
Par ailleurs, certains postes provisoires sont fractionnés : tu peux être affecté.e sur plusieurs établissements en même temps, et ton temps est réparti sur ces différents supports. De même que les postes de remplaçants (TZR il me semble, qui peuvent être provisoires ou définitifs si c'est comme dans le primaire) peuvent amener à faire plusieurs établissements dans l'année en cas de remplacements courts, ou un établissement chaque année en cas de remplacements longs.
Donc concrètement oui, il est tout à fait possible d'être une année sur un poste collège et l'année suivante sur un poste lycée ailleurs. Ce n'est pas vraiment une mutation : dans l'Education nationale ça s'appelle le "mouvement", c'est simplement un jeu de chaises musicales entre les différents postes, et c'est, même si c'est très relou en début de carrière, tout à fait normal. Chacun.e fait des voeux sur des postes et les postes sont attribués en fonction des points que les personnels ont (dépendant de l'ancienneté, des services particuliers effectués les années précédentes, des spécialisations pour certain.es, des bonifications particulières etc.)
En début de carrière, c'est parfois difficile d'avoir un poste fixe d'une année sur l'autre. Une amie prof d'anglais par exemple tourne tous les ans sur plusieurs établissements différents, une autre prof doc ne fait que des remplacements longs chaque année.
Les mesures de carte scolaire sont les ouvertures/fermetures de postes dû à des changements d'effectifs dans les établissements.
J'espère avoir été claire, c'est vraiment un fonctionnement compliqué à expliquer quand on n'est pas dedans ^^'
Les collègues du secondaire, n'hésitez pas à relever mes conneries si j'en ai dites ^^'
@Polynie Tellement d'accord avec ce que tu as mis en crochets dans ton spoiler ! Nous c'était la grande discussion entre collègues. Y en a qui tendent vraiment le bâton pour se faire battre je trouve pour rassurer les parents. J'hallucine parfois de voir des gens faire primer le pédagogique sur la santé de tout le monde.
Et puis franchement, qui peut en 2020 faire confiance à la police pour s'occuper de gamins ?
En théorie je suis d'accord : on n'a pas l'habitude que nos rapports et signalements soient suivis d'effet. Mais vu comme les provocations qui ont eu lieu lors des hommages aux journalistes et dessinateurs de Charlie ont été traitées, j'estime qu'il ne faut pas faire comme si on ne savait pas : on le sait, dans ce pays, on peut traiter des gamins de 10 ans comme des terroristes sur le point de passer à l'acte.
Et puis franchement, qui peut en 2020 faire confiance à la police pour s'occuper de gamins ?
Bon sinon,
Cette semaine, retour à une classe à 25 contre 19 la semaine dernière. La différence est frappante, c'est assez hallucinant. Autant la semaine dernière a été ULTRA détente. Vraiment un bonheur à chaque instant. Cette semaine je sens que ça va être plus compliqué. 5 élèves en plus ça change la donne ^^'
Les restrictions sanitaires pourrissent pas mal les choses. J'avais pris l'habitude de fonctionner pas mal en manipulation, déplacements, responsabilités depuis le début de l'année et que là revenir à un mode plus classique ne me convient pas DU TOUT. ça me rajoute une charge de travail supplémentaire (je faisais faire pas mal de tâches par les élèves dans la journée, comme l'appel, la distribution des cahiers et des fiches, le rangement du matériel etc. et ça tournait super bien). Au niveau des modalités de travail on repasse à beaucoup trop de frontal, j'ai du mal à sortir de ça et du coup je m'amuse moins.
En plus, pas mal d'activités prévues tombent à l'eau : expériences en sciences, séances de pratique musicale, séances de yoga, introduction des ordinateurs tout neufs dans les ateliers, mise en place de ceintures de compétences, jeux en mathématiques... Difficile de se renouveler dans ce contexte je trouve...
J'espère que tout ça sera vite derrière nous... Je l'espère si fort...
Cette semaine, retour à une classe à 25 contre 19 la semaine dernière. La différence est frappante, c'est assez hallucinant. Autant la semaine dernière a été ULTRA détente. Vraiment un bonheur à chaque instant. Cette semaine je sens que ça va être plus compliqué. 5 élèves en plus ça change la donne ^^'
Les restrictions sanitaires pourrissent pas mal les choses. J'avais pris l'habitude de fonctionner pas mal en manipulation, déplacements, responsabilités depuis le début de l'année et que là revenir à un mode plus classique ne me convient pas DU TOUT. ça me rajoute une charge de travail supplémentaire (je faisais faire pas mal de tâches par les élèves dans la journée, comme l'appel, la distribution des cahiers et des fiches, le rangement du matériel etc. et ça tournait super bien). Au niveau des modalités de travail on repasse à beaucoup trop de frontal, j'ai du mal à sortir de ça et du coup je m'amuse moins.
En plus, pas mal d'activités prévues tombent à l'eau : expériences en sciences, séances de pratique musicale, séances de yoga, introduction des ordinateurs tout neufs dans les ateliers, mise en place de ceintures de compétences, jeux en mathématiques... Difficile de se renouveler dans ce contexte je trouve...
J'espère que tout ça sera vite derrière nous... Je l'espère si fort...
@OpossumDesPlaines Beaucoup de courage pour tout changer 
.
Dans mon école, certains ont éclaté leurs ilôts, d'autres les gardent... J'avoue que je n'ai rien changé à ma pratique de classe : ilôts, enfants qui se déplacent pour travailler ailleurs, matériel commun (jeux, puzzles, feuilles...). Nous avons appliqué le protocole version "dans la mesure du possible". Cela a quand même été l'objet d'une discussion informelle avec la directrice, assez à cheval sur les protocoles. Et pour elle, ce qui importe, c'est qu'il n'y ait pas de brassage entre les classes (du coup, les décloisonnements ont été stoppés). Car c'est quand même foutrement illusoire de garder des enfants en classe et de s'assurer qu'ils ne partagent rien (rien que le ballon de récré, le coup de poing de l'un... (mes journées sont souvent mouvementées
)) !!
De même, nos interventions (musique, sport) sont maintenues.
J'avoue que ça me soulage beaucoup ! (Après, je m'empêche tous les jours de bouger les tables pour arriver à un espace plus "flexible", donc je fais aussi ma part ^^).
Edit : d'ailleurs, quand j'y pense, ça n'a pas du tout été l'objet d'une réunion à l'école. On avait déjà anticipé pas mal de choses dès septembre (espaces de récré, cantine...). Mais pas de discussion sur les changements en classe. Pourtant, on est assez "carré" dans notre fonctionnement.
Je n'ai pas trop suivi les signalements. Là, je trouve ça assez choquant. Je pense qu'il y a une bonne part de "provocation" (consciente ou non) et de "discours rapportés et déformés de la maison" chez les élèves. Que ce soit noté, objet d'une discussion ultérieure, d'un rappel à la loi oral (suivant la gravité des propos), oui. Que ce soit signalé directement, sans information/communication/éclaircissement, ça me "choque". Le Ministère veut faire de la com. Et comme @Polynie , je n'ai pas grande confiance en l'appareil répressif pour prendre en charge ce genre de choses (L'épisode de "la classe qui se tient sage" me reste en travers du coeur, personnellement...).
(Certains de mes CM2 "riaient" lorsqu'on en a parlé. C'était carrément nerveux)
(Lors des attentats contre Charlie Hebdo, j'étais pionne en collège. Et pas mal de gamins avaient un discours limite. Après discussion, il s'avère qu'ils "testaient" ce qu'ils avaient entendu/compris à la maison
.Dans mon école, certains ont éclaté leurs ilôts, d'autres les gardent... J'avoue que je n'ai rien changé à ma pratique de classe : ilôts, enfants qui se déplacent pour travailler ailleurs, matériel commun (jeux, puzzles, feuilles...). Nous avons appliqué le protocole version "dans la mesure du possible". Cela a quand même été l'objet d'une discussion informelle avec la directrice, assez à cheval sur les protocoles. Et pour elle, ce qui importe, c'est qu'il n'y ait pas de brassage entre les classes (du coup, les décloisonnements ont été stoppés). Car c'est quand même foutrement illusoire de garder des enfants en classe et de s'assurer qu'ils ne partagent rien (rien que le ballon de récré, le coup de poing de l'un... (mes journées sont souvent mouvementées
)) !!De même, nos interventions (musique, sport) sont maintenues.
J'avoue que ça me soulage beaucoup ! (Après, je m'empêche tous les jours de bouger les tables pour arriver à un espace plus "flexible", donc je fais aussi ma part ^^).
Edit : d'ailleurs, quand j'y pense, ça n'a pas du tout été l'objet d'une réunion à l'école. On avait déjà anticipé pas mal de choses dès septembre (espaces de récré, cantine...). Mais pas de discussion sur les changements en classe. Pourtant, on est assez "carré" dans notre fonctionnement.
Je n'ai pas trop suivi les signalements. Là, je trouve ça assez choquant. Je pense qu'il y a une bonne part de "provocation" (consciente ou non) et de "discours rapportés et déformés de la maison" chez les élèves. Que ce soit noté, objet d'une discussion ultérieure, d'un rappel à la loi oral (suivant la gravité des propos), oui. Que ce soit signalé directement, sans information/communication/éclaircissement, ça me "choque". Le Ministère veut faire de la com. Et comme @Polynie , je n'ai pas grande confiance en l'appareil répressif pour prendre en charge ce genre de choses (L'épisode de "la classe qui se tient sage" me reste en travers du coeur, personnellement...).
(Certains de mes CM2 "riaient" lorsqu'on en a parlé. C'était carrément nerveux)
(Lors des attentats contre Charlie Hebdo, j'étais pionne en collège. Et pas mal de gamins avaient un discours limite. Après discussion, il s'avère qu'ils "testaient" ce qu'ils avaient entendu/compris à la maison
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Les paperasses, les trucs qu'on est censés faire en administratif ça m'insupporte. Signaler ceci, cela, remplir tel ou tel dossier, c'est vraiment un truc que je déteste. Autant pour certains j'en comprends l'intérêt, autant pour d'autres... Sérieux dans le premier degré on croule vraiment sous les trucs administratifs plus ou moins utiles, comme si on n'avait pas autre chose à gérer...
@OpossumDesPlaines
Dans le second degré on a énormément de paperasse aussi. Je pense que c'est le but de l'EN de nous assigner de plus en plus de missions annexes pour engager moins de personnels... on se retrouve à être prof/éducateur/psychologue scolaire/orthophoniste et j'en passe... tout ça parce qu'il n'y a pratiquement pus de médecine scolaire et de psychologues scolaires, ben oui, ils suppriment tout...
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Dans le second degré on a énormément de paperasse aussi. Je pense que c'est le but de l'EN de nous assigner de plus en plus de missions annexes pour engager moins de personnels... on se retrouve à être prof/éducateur/psychologue scolaire/orthophoniste et j'en passe... tout ça parce qu'il n'y a pratiquement pus de médecine scolaire et de psychologues scolaires, ben oui, ils suppriment tout...
@earlymorn je suis titulaire mais ce n’est que la 3e année que j’ai ma classe. En fait c’est ma 5e rentrée si je compte mon année de stage, et je me considère encore comme débutante ^^’
et pour cette histoire de rythme t’inquiète je suis totalement dans le même cas... Prép torchées a 23h et la fin a 6h30 le matin au réveil dans le yolo le plus total... Là c’est complexe, et en plus venant de moi y’a clairement du laisser-aller...
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et pour cette histoire de rythme t’inquiète je suis totalement dans le même cas... Prép torchées a 23h et la fin a 6h30 le matin au réveil dans le yolo le plus total... Là c’est complexe, et en plus venant de moi y’a clairement du laisser-aller...
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