@Alonso J'ai vu passer un article sur ce livre : http://www.editions-globe.com/libre-comme-un-homme/
Je ne l'ai pas lu mais ça peut t'intéresser
Sinon, je peux t'apporter mon petit témoignage perso... J'ai commencé à prendre la pilule à 18 ans, j'ai arrêté à 22 après une rupture, puis je l'ai reprise un mois ou deux à 24 ans avant de laisser définitivement tomber. Pourquoi ? Parce que les hormones avaient trop d'influence sur moi, mon humeur, ma libido. L'idée d'avaler des hormones chaque jour me déplaît profondément. J'ai conscience de l'histoire de ce mode de contraception, je suis évidemment pro-pilule à fond ! Pro- tout moyen de contraception sauf qu'aucun ne me convient à part la capote et... le retrait. Ma gynéco ne veut pas me poser de stérilet (sans hormone) parce que je ne suis pas en couple stable et qu'elle craint un risque d'infection et que de toute façon je ne suis pas non plus à l'aise avec l'idée d'avoir en permanence un corps étranger en moi. Elle m'a proposé l'implant mais là encore... hormones donc j'hésite encore.
Je me sens un peu coupable de détester à ce point la pilule parce que je sais que ça a été une révolution mais je trouve ça dommage qu'on ne parle que d'elle et pas assez des autres techniques et surtout, surtout, surtout, je me demande pourquoi la pilule pour les hommes n'est toujours pas sur le marché. Même si concrètement... je ne ferais jamais confiance à un mec sur ce sujet. C'est mon corps et je ne pourrais pas en laisser la responsabilité à un tiers.
Honnêtement, comme j'ai déjà un enfant, j'hésite presque à me faire ligaturer les trompes !
_____
Bon, sinon, à propos d'enfant... J'EN AI MARRE !
J'ai une infection pulmonaire qui m'a envoyé à l'hôpital hier. Je ne pouvais donc pas récupérer ma fille auprès de son père qui l'a gardée une nuit de plus que prévu. C'est vrai que j'enchaîne un peu parce qu'après une agression (un mec qui m'a attaquée parce que je ne voulais pas lui parler) j'ai du laisser ma fille à mes parents deux semaines et que là je recommence. Parce que son père ne peut pas s'en occuper toute une semaine - mais il réclame une garde alternée, laissez moi rigoler. Et ça n'a pas loupé, monsieur m'a appelée, scandalisé, parce que j'"abandonne" ma fille une fois de plus. Sachant que lui est parti deux fois durant un mois à l'autre bout du monde sans nous, dont une fois juste pour le plaisir, qu'il la voit beaucoup moins que moi puisque j'ai la garde pour le moment et que ça ne lui effleure pas l'esprit que je pourrais m'amuser à le faire culpabiliser aussi. Mais non, je suis la mère donc c'est forcément moi qui ait la responsabilité totale de tout ce qui se passe concernant notre enfant.
Je trouve une solution pour nous deux et je me fais engueuler comme du poisson pourri. Alors que si lui ne peut pas s'occuper d'elle pour X raison, il ne se pose même pas la question de savoir si je peux ou non prendre le relai, il me dit qu'il ne vient pas et point barre. J'aurais très bien pu lui dire "Je peux pas, fais le" mais non, je me démerde autrement (surtout parce que je ne veux rien lui devoir tellement il me fait payer cher le moindre service rendu). Et dire que c'est ce mec qui m'a fait découvrir le féminisme.... alors que c'est le type le plus hypocrite que je connaisse sur ce plan (et les autres. C'est un enfoiré de toute façon).
Je ne l'ai pas lu mais ça peut t'intéresser
Sinon, je peux t'apporter mon petit témoignage perso... J'ai commencé à prendre la pilule à 18 ans, j'ai arrêté à 22 après une rupture, puis je l'ai reprise un mois ou deux à 24 ans avant de laisser définitivement tomber. Pourquoi ? Parce que les hormones avaient trop d'influence sur moi, mon humeur, ma libido. L'idée d'avaler des hormones chaque jour me déplaît profondément. J'ai conscience de l'histoire de ce mode de contraception, je suis évidemment pro-pilule à fond ! Pro- tout moyen de contraception sauf qu'aucun ne me convient à part la capote et... le retrait. Ma gynéco ne veut pas me poser de stérilet (sans hormone) parce que je ne suis pas en couple stable et qu'elle craint un risque d'infection et que de toute façon je ne suis pas non plus à l'aise avec l'idée d'avoir en permanence un corps étranger en moi. Elle m'a proposé l'implant mais là encore... hormones donc j'hésite encore.
Je me sens un peu coupable de détester à ce point la pilule parce que je sais que ça a été une révolution mais je trouve ça dommage qu'on ne parle que d'elle et pas assez des autres techniques et surtout, surtout, surtout, je me demande pourquoi la pilule pour les hommes n'est toujours pas sur le marché. Même si concrètement... je ne ferais jamais confiance à un mec sur ce sujet. C'est mon corps et je ne pourrais pas en laisser la responsabilité à un tiers.
Honnêtement, comme j'ai déjà un enfant, j'hésite presque à me faire ligaturer les trompes !
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Bon, sinon, à propos d'enfant... J'EN AI MARRE !
J'ai une infection pulmonaire qui m'a envoyé à l'hôpital hier. Je ne pouvais donc pas récupérer ma fille auprès de son père qui l'a gardée une nuit de plus que prévu. C'est vrai que j'enchaîne un peu parce qu'après une agression (un mec qui m'a attaquée parce que je ne voulais pas lui parler) j'ai du laisser ma fille à mes parents deux semaines et que là je recommence. Parce que son père ne peut pas s'en occuper toute une semaine - mais il réclame une garde alternée, laissez moi rigoler. Et ça n'a pas loupé, monsieur m'a appelée, scandalisé, parce que j'"abandonne" ma fille une fois de plus. Sachant que lui est parti deux fois durant un mois à l'autre bout du monde sans nous, dont une fois juste pour le plaisir, qu'il la voit beaucoup moins que moi puisque j'ai la garde pour le moment et que ça ne lui effleure pas l'esprit que je pourrais m'amuser à le faire culpabiliser aussi. Mais non, je suis la mère donc c'est forcément moi qui ait la responsabilité totale de tout ce qui se passe concernant notre enfant.
Je trouve une solution pour nous deux et je me fais engueuler comme du poisson pourri. Alors que si lui ne peut pas s'occuper d'elle pour X raison, il ne se pose même pas la question de savoir si je peux ou non prendre le relai, il me dit qu'il ne vient pas et point barre. J'aurais très bien pu lui dire "Je peux pas, fais le" mais non, je me démerde autrement (surtout parce que je ne veux rien lui devoir tellement il me fait payer cher le moindre service rendu). Et dire que c'est ce mec qui m'a fait découvrir le féminisme.... alors que c'est le type le plus hypocrite que je connaisse sur ce plan (et les autres. C'est un enfoiré de toute façon).