Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
Est-ce que çe t'aiderait de pleurer un bon coup? Ecoute une musique à laquelle tu es sensible, lis un passage de ton livre préféré ou regarde un film qui fait pleurer.... parfois à travers ces différentes formes d'art, on fait vibrer notre corde sensible intérieure et ça permet de vider ces fucking glandes lacrimales....
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dernière édition :
Je plussoie à 100%
Je suis bénévole pour une association de protection animale et famille d'accueil pour matou, et c'est le même constat... La dernière minette que j'ai récupéré à un an et demi, elle a été mise à la rue à ses 4 mois, première portée à 6 mois et depuis elle a fais que ça. Enfermée dans un garage parfois 15 jours sans nourriture et sans eau.... putain de propriétaire !
Je commence à peine à réaliser ce qui aurait pu se passer... J'ai déjà reussi à me rendormir en paix sans craindre ce qui pourrait advenir la nuit. Mon papa va mieux, il est là avec moi et je peux prendre soin de lui. Je suis à la fois soulagée et horifiée
Je répond ô-et Un peu tard mais je te comprend Tout á fait, j'ai deux cochons d'Inde et ce sont les bébés !!!! Alors je compathie !
@Mitchie Je venais pour épancher mon mal-être de ces derniers temps et puis j'ai remonté le fil de la discussion et je suis tombée sur ton message où tu parles d'être un rond parmi un monde carré. Tu résumes les choses parfaitement, c'est exactement ce que je ressens et qui me rend (très) malheureuse en ce moment. L'idée que quoique je puisse faire, je n'y arriverais jamais parce que ça me dépasse presque.
Bonjour à toutes,
Cette dernière année a été plus que difficile pour moi. Je me suis faite agressée dans la rue par un fou, j'ai perdu mon grand père (j'étais très proche de lui), j'ai été harcelée lors de mon stage de fin d'études par un boss qui ressemble en tout à un pervers narcissique, au point de devoir me mettre en arrêt et de prendre des tranquillisants. J'ai déménagé dans une vile où je ne connais personne en septembre pour travailler, à 800km de mes proches. J'avais rencontré quelqu'un pour partager ma vie, je pensais que c'était vraiment l'homme de ma vie et j'ai baissé ma garde. Il y a 10 jours il m'a plus ou moins quitté, il dit qu'il a besoin de réfléchir car il n'arrive pas à se projeter dans notre relation en ce moment. Ca a été très soudain, la veille de nos retrouvailles (et oui nous n'habitons pas dans la même ville) et la veille de ma première semaine de vacances depuis plus d'un an. Je m'efforce de faire comme si tout allait bien, je me suis forcée à faire des choses absolument tout le temps durant mes vacances, je suis retournée travailler mais je suis au bord des larmes à chaque minute.
Je n'ai véritablement envie de voir personne, je me force à faire tout ce qu'on a coutume de dire et de faire pour aller mieux mais ça ne m'intéresse pas du tout. Ce que j'aimais faire ne m'intéresse plus vraiment. La seule chose que j'aimerais faire c'est dormir, ne plus me réveiller. C'est trop de souffrance pour moi et je n'arrive plus à encaisser, beaucoup trop de douleurs accumulées.
J'aime toujours la personne qui m'a mise en stand by, mais j'ai cessé de communiquer avec lui, car la situation n'a pas changé, il n'est toujours pas en état de prendre une quelconque décision. Je l'aime de tout mon coeur, et je ne crois pas que j'aurais le courage et la force de passer à autre chose. Avec le temps, vous allez me dire... Mais ce n'est pas une question de temps mis de courage. Je ne suis pas courageuse.
Merci à celles qui me liront, encore plus à celles qui me répondront et reconnaissance infinie à celles qui ont des pouvoirs de gourous et qui me rendront ce mec.
Cécile
Cette dernière année a été plus que difficile pour moi. Je me suis faite agressée dans la rue par un fou, j'ai perdu mon grand père (j'étais très proche de lui), j'ai été harcelée lors de mon stage de fin d'études par un boss qui ressemble en tout à un pervers narcissique, au point de devoir me mettre en arrêt et de prendre des tranquillisants. J'ai déménagé dans une vile où je ne connais personne en septembre pour travailler, à 800km de mes proches. J'avais rencontré quelqu'un pour partager ma vie, je pensais que c'était vraiment l'homme de ma vie et j'ai baissé ma garde. Il y a 10 jours il m'a plus ou moins quitté, il dit qu'il a besoin de réfléchir car il n'arrive pas à se projeter dans notre relation en ce moment. Ca a été très soudain, la veille de nos retrouvailles (et oui nous n'habitons pas dans la même ville) et la veille de ma première semaine de vacances depuis plus d'un an. Je m'efforce de faire comme si tout allait bien, je me suis forcée à faire des choses absolument tout le temps durant mes vacances, je suis retournée travailler mais je suis au bord des larmes à chaque minute.
Je n'ai véritablement envie de voir personne, je me force à faire tout ce qu'on a coutume de dire et de faire pour aller mieux mais ça ne m'intéresse pas du tout. Ce que j'aimais faire ne m'intéresse plus vraiment. La seule chose que j'aimerais faire c'est dormir, ne plus me réveiller. C'est trop de souffrance pour moi et je n'arrive plus à encaisser, beaucoup trop de douleurs accumulées.
J'aime toujours la personne qui m'a mise en stand by, mais j'ai cessé de communiquer avec lui, car la situation n'a pas changé, il n'est toujours pas en état de prendre une quelconque décision. Je l'aime de tout mon coeur, et je ne crois pas que j'aurais le courage et la force de passer à autre chose. Avec le temps, vous allez me dire... Mais ce n'est pas une question de temps mis de courage. Je ne suis pas courageuse.
Merci à celles qui me liront, encore plus à celles qui me répondront et reconnaissance infinie à celles qui ont des pouvoirs de gourous et qui me rendront ce mec.
Cécile
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Voilà encore une fois, je pensais que c'était fini.. que j'étais passé à autre chose. Je t'avais dis au revoir et t'avais éviter le temps d'une soirée pendant un mois j'avais vagué à mes occupations. Je m'en étais félicité.
Mais voilà, toi là... tu deviens amis avec mes amis pourquoi? Je ne sais pas. Comment je n'en sais rien? D'un seul coup comme ça tu discutes avec là. Mes copines viennent tout heureuse en me disant "oh regarde, il ne m'a pas parlé pendant 3 ans et le voilà curieux de savoir comment je vais". Tu sais qu'elle est ma confidente. Et bien sûre tu veux devenir amis avec eux mais pas avec moi...
J'essaye de me détacher de tout ça de ne pas garder de lien. Vraiment. J'essaye n'empêche que tu es toujours au coin de ma tête allumant une lumière est si. Pourtant tous les lumineux sont éteints quand tu ne veux pas de quelqu'un tu ne t'amuses pas à lui faire du chaud froid.
Mais toi ça ne t'arrête pas. Plus je te mets des frontières en te disant, je ne veux plus te parler ni discuter. Tu insistes et pour me le faire payer. Tu m'ignore et tu dis bonjour à tout le monde sauf à moi.
Je me souviens de ta phrase j'adorerai sortir avec toi mais je ne cherche pas une relation sérieuse pour le moment 'une relation sérieuse avec moi.
Alors quoi, je n'ai pas le droit d'aller aux mêmes endroits en sachant qu'il y a une probabilité grande que toi soit là.
Et pourquoi lorsque tu es là, tu fais tout pour que je me sente mal à l'aise, tes regards noirs, tes esquives. Je ne cours pourtant pas après toi.
J'ai le coeur lourd car encore ce soir là, nous étions tout les deux au même endroit et nous nous évitions. Moi esquivant tes regards, toi esquivant tout conversation. Sauf que je crois que je vais te prendre entre les 4 yeux et t'éclater la tête contre le mur (façon de parler).
Je ne comprends pourquoi lorsque nous sommes sur le départ et que je demande à l'un de tes potes (je n'étais pas supposé savoir que nous allions dans la même voiture) de me ramener. Lorsqu'il me demande mon adresse. Tu réponds machinalement mon adresse.
Tu as pitié de moi car tu crois que je ne sais pas formulé une phrase en anglais sur mon adresse. Tu as juste encore une fois envie de mon montré que tu existes vraiment. Je ne te suis pas du tout.
Je fume dans la voiture. finalement, je n'ai pas envie de rentrer avec vous. là encore tu indiques la direction.
Sous le conseil d'une amie, elle me dit qu'il faut que je communique encore une fois avec toi. Ce que je fais en laissant mon orgueil de côté. tu me réponds "on verra" pour un rendez-vous pour discuter. Je te dis d'une certaine façon que je veux devenir ami et que c'est con ce qui arrive entre nous. Tu ne veux pas. Tu m'énerves.
Et je suis triste car je ne comprends pas pourquoi tout ça pour rien... il n'y a rien d'intéressant dans tout ça.. vraiment.
Mais voilà, toi là... tu deviens amis avec mes amis pourquoi? Je ne sais pas. Comment je n'en sais rien? D'un seul coup comme ça tu discutes avec là. Mes copines viennent tout heureuse en me disant "oh regarde, il ne m'a pas parlé pendant 3 ans et le voilà curieux de savoir comment je vais". Tu sais qu'elle est ma confidente. Et bien sûre tu veux devenir amis avec eux mais pas avec moi...
J'essaye de me détacher de tout ça de ne pas garder de lien. Vraiment. J'essaye n'empêche que tu es toujours au coin de ma tête allumant une lumière est si. Pourtant tous les lumineux sont éteints quand tu ne veux pas de quelqu'un tu ne t'amuses pas à lui faire du chaud froid.
Mais toi ça ne t'arrête pas. Plus je te mets des frontières en te disant, je ne veux plus te parler ni discuter. Tu insistes et pour me le faire payer. Tu m'ignore et tu dis bonjour à tout le monde sauf à moi.
Je me souviens de ta phrase j'adorerai sortir avec toi mais je ne cherche pas une relation sérieuse pour le moment 'une relation sérieuse avec moi.
Alors quoi, je n'ai pas le droit d'aller aux mêmes endroits en sachant qu'il y a une probabilité grande que toi soit là.
Et pourquoi lorsque tu es là, tu fais tout pour que je me sente mal à l'aise, tes regards noirs, tes esquives. Je ne cours pourtant pas après toi.
J'ai le coeur lourd car encore ce soir là, nous étions tout les deux au même endroit et nous nous évitions. Moi esquivant tes regards, toi esquivant tout conversation. Sauf que je crois que je vais te prendre entre les 4 yeux et t'éclater la tête contre le mur (façon de parler).
Je ne comprends pourquoi lorsque nous sommes sur le départ et que je demande à l'un de tes potes (je n'étais pas supposé savoir que nous allions dans la même voiture) de me ramener. Lorsqu'il me demande mon adresse. Tu réponds machinalement mon adresse.
Tu as pitié de moi car tu crois que je ne sais pas formulé une phrase en anglais sur mon adresse. Tu as juste encore une fois envie de mon montré que tu existes vraiment. Je ne te suis pas du tout.
Je fume dans la voiture. finalement, je n'ai pas envie de rentrer avec vous. là encore tu indiques la direction.
Sous le conseil d'une amie, elle me dit qu'il faut que je communique encore une fois avec toi. Ce que je fais en laissant mon orgueil de côté. tu me réponds "on verra" pour un rendez-vous pour discuter. Je te dis d'une certaine façon que je veux devenir ami et que c'est con ce qui arrive entre nous. Tu ne veux pas. Tu m'énerves.
Et je suis triste car je ne comprends pas pourquoi tout ça pour rien... il n'y a rien d'intéressant dans tout ça.. vraiment.
J'ai le coeur lourd car je suis en couple depuis bientôt 6 ans avec un homme merveilleux mais je ne peux m'empêcher de penser à un autre qui me hante depuis aussi 6 ans. Je ne veux pas gâcher une relation géniale mais je ne peux m'empêcher de penser à ma vie avec cet autre homme. Que faire? Dois-je me lancer et peut-être abandonner une relation merveilleuse? Ou rester dans mon quotidien confortable ou passant peut-être à côté de quelque chose? Je ne sais pas quoi faire!
Discussions similaires
