COJ 36:
Ahlala, ce petit éclair de triomphe que Harry croit avoir décelé dans les yeux de Dumbledore quand il parle de Voldemort ayant pris son sang... Je m'y suis raccrochée pendant tous les tomes suivants en me disant "ça va forcément servir à un moment ou un autre, il y a quelque chose derrière!"
Pauvre Harry... On sent vraiment dans ce chapitre toute sa fatigue, non seulement physique mais aussi mentale; à ce moment, c'est vraiment un adolescent de 14 ans qui a vécu des choses trop difficiles pour lui.
Cette scène avec Cornelius Fudge... Je crois que c'est avec ce personnage que j'ai compris que des gens profondément incompétents pouvaient représenter un vrai danger - au-delà de l'énervement que leur nullité suscite. Avant je me disais "il est un peu nul, mais il y a des gens autour qui l'aident, ça va", mais là on réalise vraiment qu'il ne comprend RIEN à ce qui se passe, ou en tout cas refuse de comprendre à cause de tout ce que ça impliquerait.
C'est ton boulot de prendre des responsabilités et d'affronter les menaces que tous les évènements de la soirée esquissent, coco. Si le job impliquait uniquement un logement de fonction et un chapeau melon vert, ça se saurait.
Bon, faut pas que je m'énerve trop là-dessus maintenant, je dois garder un peu de mes forces à ce sujet pour l'intégralité du tome 5. 
Dumbledore m'impressionne vraiment dans ce chapitre. D'abord parce qu'il a le courage d'expliquer à Fudge ce qu'il ne veut pas entendre, de lui dire quoi faire alors qu'il a très vite compris qu'il ne voudrait pas y croire. Mais il lui dit jusqu'au bout ce qu'il convient de faire, pour avoir vraiment tenté au maximum de faire les choses correctement, même si ça signifie pour lui perdre l'appui du Ministère. Et ensuite, la manière qu'il a de tout de suite prendre en main la situation, pour mettre les bonnes personnes au courant, prendre tout de suite les mesures qui s'imposent, tout en s'occupant de ceux qui en ont besoin - Winky, Harry, les Diggory...
"He had no memory of ever being hugged like this, as though by a mother."

Ahlala, ce petit éclair de triomphe que Harry croit avoir décelé dans les yeux de Dumbledore quand il parle de Voldemort ayant pris son sang... Je m'y suis raccrochée pendant tous les tomes suivants en me disant "ça va forcément servir à un moment ou un autre, il y a quelque chose derrière!"
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Pauvre Harry... On sent vraiment dans ce chapitre toute sa fatigue, non seulement physique mais aussi mentale; à ce moment, c'est vraiment un adolescent de 14 ans qui a vécu des choses trop difficiles pour lui.

Cette scène avec Cornelius Fudge... Je crois que c'est avec ce personnage que j'ai compris que des gens profondément incompétents pouvaient représenter un vrai danger - au-delà de l'énervement que leur nullité suscite. Avant je me disais "il est un peu nul, mais il y a des gens autour qui l'aident, ça va", mais là on réalise vraiment qu'il ne comprend RIEN à ce qui se passe, ou en tout cas refuse de comprendre à cause de tout ce que ça impliquerait.

C'est ton boulot de prendre des responsabilités et d'affronter les menaces que tous les évènements de la soirée esquissent, coco. Si le job impliquait uniquement un logement de fonction et un chapeau melon vert, ça se saurait.
Bon, faut pas que je m'énerve trop là-dessus maintenant, je dois garder un peu de mes forces à ce sujet pour l'intégralité du tome 5. 
Dumbledore m'impressionne vraiment dans ce chapitre. D'abord parce qu'il a le courage d'expliquer à Fudge ce qu'il ne veut pas entendre, de lui dire quoi faire alors qu'il a très vite compris qu'il ne voudrait pas y croire. Mais il lui dit jusqu'au bout ce qu'il convient de faire, pour avoir vraiment tenté au maximum de faire les choses correctement, même si ça signifie pour lui perdre l'appui du Ministère. Et ensuite, la manière qu'il a de tout de suite prendre en main la situation, pour mettre les bonnes personnes au courant, prendre tout de suite les mesures qui s'imposent, tout en s'occupant de ceux qui en ont besoin - Winky, Harry, les Diggory...
"He had no memory of ever being hugged like this, as though by a mother."


Dernière édition :

C'est le meilleur usage qu'il ait pu en faire. "We could all do with a few laughs. I have a feeling we're going to need them more than usual before long."
)






Bravo, vous passez au niveau supérieur de la débilité profonde !
Sans parler de Dudley supposé prendre le thé. Sérieusement. Du thé. Dudley. À 20h. Dudley. Du thé. La seule réaction normale à cette suite de mots est "Kamoulox!", pas "il est tellement populaire gnihihihihihihihi". 

Et puis quoi encore, vous allez peut-être nous dire que les Polkiss sont des fabricants de baguettes magiques et que Perry la perruche est en fait un phoenix en mission spéciale ? QUEL EST LE FUCK??? 








(ça se sent vraiment beaucoup que je déteste cordialement ce personnage ?
Mais justement contrairement à Rusard, je trouve qu'elle a beau être une Cracmol, elle renvoie une certaine image de maîtrise de la situation même si elle implique de la magie qu'elle ne peut pas combattre - elle secoue Harry, lui dit bien de garder sa baguette parce qu'ils pourraient revenir, envisage les ennuis qui vont arriver ensuite... Et engueule Mondingus comme du poisson pourri 
) Rowling ne s'y est pas trompé, c'est un beau courrier administratif dans toute sa splendeur : "Cher Mr Potter, nous avons le déplaisir de vous annoncer que nous allons foutre en l'air votre vie en vous interdisant tout accès à ce qui vous permet de rester sain d'esprit. Veuillez vous présenter au tribunal pour que nous en rajoutions une couche. Cordialement,". 
Moi je m'en fiche, ça ne me gêne pas du tout, mais apparemment certaines personnes qui suivent le marathon lisent les livres pour la première fois ou veulent les redécouvrir comme tel, du coup on essaye de mettre en spoiler tout ce qui a trait aux passages suivant ceux qu'on commente. 
)