COJ 20:
Non mais sérieusement, COMMENT font-ils pour ne pas trouver ça louche ? On parlait dans l'autre topic du fait que Harry est quand même un narrateur bien naze, ça se vérifie encore : "[...]as they turned into a seventh-floor corridor which was deserted but for a very small girl who had been examining a tapestry of trolls un tutus." C'est pas n'importe quel seventh-floor corridor et c'est pas n'importe quelle taperstry, bougre d'andouille ! En plus ce n'est pas faute de les avoir bien décrit (et empruntés) dans le tome précédent, c'est juste ridicule (pour ne pas dire incohérent) qu'il ne décrive pas l'endroit comme "le couloir de la Salle sur Demande" et "la tapisserie de Barnabas le Follet" !
"And though he sat with Lavender, Harry did not see them exchange a word while they were together" Ben ça, ça change pas trop de d'habitude, hein c'est plutôt l'absence de furieuse embrassade qui est significative
Rien que l'idée de Voldemort donnant cours à Poudlard, ça fout de sacrés frissons...
C'est pas tellement de sa faute, à cette brave Hepzibah Smith (quoi que, jouer l'amoureuse auprès d'un jeune homme qui a 40 ans de moins qu'elle et qui ne s'intéresse clairement qu'à ses trésors, bon, c'est pas très malin), mais j'ai envie de hurler à chaque phrase qu'elle prononce et qui scelle davantage son sort. Je m'étonne quand même qu'autant de gens soient aveuglés à ce point par Voldemort et ne sentent pas le danger qu'il représente (sans savoir qu'il va devenir Voldemort etc, on voit bien dans le souvenir que sa vraie personnalité transparaît bien de temps en temps, il suffirait d'être un tant soit peu attentif... Enfin, elle le voit à un moment, mais c'est déjà trop tard pour elle... )
Les dégâts causés par la lecture croisée (Harry Potter et Agatha Christie en même temps) : quand je lis les conclusions des enquêtes sur les meurtres des Jedusor et de Hepzibah Smith, je ne peux pas m'empêcher de penser "Hercule Poirot ne se serait pas laissé avoir, lui !"
Dumbledore, magistral dans son rôle de vieux professeur un peu borné mais inoffensif tout en faisant clairement passer le message - pour ne pas dire la menace - qu'il adresse à Voldemort... Même si l'argumentaire de celui-ci me sidère : j'ai l'impression qu'il sait déjà tout à fait à quoi s'en tenir au sujet de Dumbledore (le ton glacial de sa voix, le fait que déjà en tant qu'élève il n'essayait pas de le charmer comme les autres profs...), comment peut-il croire que celui-ci va lui donner un poste de prof en évoquant toutes les choses qu'il a apprises et faites - et qu'ils savent tous les deux être déjà plus que sombres - et qu'il voudrait "transmettre" aux plus jeunes ? Il sait très bien que Dumbledore n'accepterait jamais ça... ou alors justement, il ne le savait pas tout à fait, il le voyait encore comme un sorcier puissant, ne partageant pas ses idées et ne se laissant pas séduire, mais qu'il pouvait peut-être rallier à sa cause avec les arguments de grandeur qui lui sont chers (et qui l'ont été aussi à Dumbledore à une époque de sa vie...) ? D'après ce que dit Dumbledore, Voldemort devait déjà savoir qu'il refuserait (surtout que de toute manière, il venait pour autre chose en vrai), mais c'est là que Dumbledore s'oppose véritablement et frontalement à lui pour la première fois, on dirait. C'est en fait sans doute là que se situe la vraie cassure entre eux, là que Voldemort a réalisé que Dumbledore serait son ennemi jusqu'au bout, quoi qu'il fasse.
Cette discussion est tellement ironique : " but nothing I have seen in the world has supported your famous pronouncements that love is more powerful than my kind of magic, Dumbledore." Ben attends encore un peu coco, je t'assure que tu vas pas être déçu.
Non mais sérieusement, COMMENT font-ils pour ne pas trouver ça louche ? On parlait dans l'autre topic du fait que Harry est quand même un narrateur bien naze, ça se vérifie encore : "[...]as they turned into a seventh-floor corridor which was deserted but for a very small girl who had been examining a tapestry of trolls un tutus." C'est pas n'importe quel seventh-floor corridor et c'est pas n'importe quelle taperstry, bougre d'andouille ! En plus ce n'est pas faute de les avoir bien décrit (et empruntés) dans le tome précédent, c'est juste ridicule (pour ne pas dire incohérent) qu'il ne décrive pas l'endroit comme "le couloir de la Salle sur Demande" et "la tapisserie de Barnabas le Follet" !
"And though he sat with Lavender, Harry did not see them exchange a word while they were together" Ben ça, ça change pas trop de d'habitude, hein c'est plutôt l'absence de furieuse embrassade qui est significative
Rien que l'idée de Voldemort donnant cours à Poudlard, ça fout de sacrés frissons...
C'est pas tellement de sa faute, à cette brave Hepzibah Smith (quoi que, jouer l'amoureuse auprès d'un jeune homme qui a 40 ans de moins qu'elle et qui ne s'intéresse clairement qu'à ses trésors, bon, c'est pas très malin), mais j'ai envie de hurler à chaque phrase qu'elle prononce et qui scelle davantage son sort. Je m'étonne quand même qu'autant de gens soient aveuglés à ce point par Voldemort et ne sentent pas le danger qu'il représente (sans savoir qu'il va devenir Voldemort etc, on voit bien dans le souvenir que sa vraie personnalité transparaît bien de temps en temps, il suffirait d'être un tant soit peu attentif... Enfin, elle le voit à un moment, mais c'est déjà trop tard pour elle... )
Les dégâts causés par la lecture croisée (Harry Potter et Agatha Christie en même temps) : quand je lis les conclusions des enquêtes sur les meurtres des Jedusor et de Hepzibah Smith, je ne peux pas m'empêcher de penser "Hercule Poirot ne se serait pas laissé avoir, lui !"
Dumbledore, magistral dans son rôle de vieux professeur un peu borné mais inoffensif tout en faisant clairement passer le message - pour ne pas dire la menace - qu'il adresse à Voldemort... Même si l'argumentaire de celui-ci me sidère : j'ai l'impression qu'il sait déjà tout à fait à quoi s'en tenir au sujet de Dumbledore (le ton glacial de sa voix, le fait que déjà en tant qu'élève il n'essayait pas de le charmer comme les autres profs...), comment peut-il croire que celui-ci va lui donner un poste de prof en évoquant toutes les choses qu'il a apprises et faites - et qu'ils savent tous les deux être déjà plus que sombres - et qu'il voudrait "transmettre" aux plus jeunes ? Il sait très bien que Dumbledore n'accepterait jamais ça... ou alors justement, il ne le savait pas tout à fait, il le voyait encore comme un sorcier puissant, ne partageant pas ses idées et ne se laissant pas séduire, mais qu'il pouvait peut-être rallier à sa cause avec les arguments de grandeur qui lui sont chers (et qui l'ont été aussi à Dumbledore à une époque de sa vie...) ? D'après ce que dit Dumbledore, Voldemort devait déjà savoir qu'il refuserait (surtout que de toute manière, il venait pour autre chose en vrai), mais c'est là que Dumbledore s'oppose véritablement et frontalement à lui pour la première fois, on dirait. C'est en fait sans doute là que se situe la vraie cassure entre eux, là que Voldemort a réalisé que Dumbledore serait son ennemi jusqu'au bout, quoi qu'il fasse.
Cette discussion est tellement ironique : " but nothing I have seen in the world has supported your famous pronouncements that love is more powerful than my kind of magic, Dumbledore." Ben attends encore un peu coco, je t'assure que tu vas pas être déçu.