Les violences médicales, c'est lol : Une VDM sur la (presque) pose d'implant
ECM féministe
- Initiateur de la discussion _Bidule
- Date de début
- Statut
http://www.lemonde.fr/election-pres...de-a-coude_5111191_4854003.html?xtor=RSS-3208
Putain,ne me dites pas que le choix du second tour impliquera de choisir entre Le Pen et un autre!
C'est pas un choix ça!
Putain,ne me dites pas que le choix du second tour impliquera de choisir entre Le Pen et un autre!
C'est pas un choix ça!
@LovelyLexy Juste pour revenir sur les collègues avec qui ça se passe "mieux" il faut bien garder à l'esprit qu'on a tous un seuil de tolérance différent, qui varie en fonction de beaucoup de paramètres. Si on évalue le bruit sur une échelle de 1 à 10 par exemple et qu'on pouvait le mesurer de façon objective, peut-être que moi à un niveau de bruit de 5/10 je trouverais ça juste insupportable mais un/une autre collègue peut être à 8/10 avec la même classe et trouver que ça va parce que son seuil de tolérance est différent. Alors si en plus on parle de la même classe dans la tête des élèves ça va être "untel il nous laisse parler et pas machin, donc machin est un con donc..." (et là en fonction de la classe ça peut aller très loin dans le fait de faire payer). Et si tu rajoutes la fatigue peut-être qu'à 4 je vais m'énerver, en fin de journée ça sera à 3...
De plus il faut relativiser (sans pour autant se faire violence !) le bruit. L'autre jour je faisais un travail de groupe (un jeudi en dernière heure, je suis stupide moi aussi parfois, je pensais que ça allait se faire dans le calme ?). Un surveillant est venu apporté un truc et il m'a dit que lorsqu'il avait entendu le bruit dans le couloir il avait eu peur qu'on lui ai demandé de venir parce qu'il y avait un problème (non non juste un travail de groupe un jeudi en dernière heure). Je l'ai rassuré, mais c'est bien une marque qu'on ne peut pas présupposer de ce qui se passe dans la classe juste au bruit.
On a tous des habitudes différentes. Mes élèves (des collégiens) savent où sont rangé les brouillons et quand ils ont pas leur cahier ils me demandent pas et vont chercher une feuille. Idem pour la poubelle, les feuilles A3 quand on fait des affiches, les brouillons pendant un exercices... Les élèves ont le droit de dessiner sur des feuilles à côté de leur cahier pendant le cours (pour certain élèves je sais que c'est impossible de rester à "juste" écouter, il faut qu'ils bougent, s'occupent les mains). Une personne extérieure pourrait parfois se dire que c'est le bazar si cette personne veut absolument que les élèves soient assis en silence. Après je tombe pas non plus dans les extrêmes et il faut des moments de silence, d'écoute, dans les groupes je veux qu'on chuchote (mais pas en dernière heure je sais que c'est mort...). Et parfois, pour les élèves comme pour moi, on cherche encore nos marques (je suis en train de changer ma façon de travailler pour arriver à un truc qui me plait).
Il faut vraiment relativiser dans notre métier. Apprendre à se tromper, évoluer à notre rythme... J'ai eu une année très dure et pendant longtemps j'ai pas compris pourquoi. Puis j'ai fais un stage sur les méthodes d'apprentissages avec des formatrices très bienveillantes. Et je me suis rendue compte qu'en fait je faisais beaucoup de "bonnes" choses avec/pour mes élèves mais que forcément tout mes changements de faire ne pouvait pas se faire en heurt (et que tous n'étaient pas aboutis encore et mes réflexions étaient encore en route). (Alors qu'avec certains collègues ils avaient plutôt un discourt culpabilisant parce que ma façon de faire ils y étaient parvenus très vite sans soucis, ou parce que eux ne veulent bosser que dans le silence, ou encore plein d'autres raisons... Que je ne pouvais pas contrer car je ne m'étais pas rendue compte que mes difficultés venaient du fait que j'étais en train d'évoluer, de changer (en bien ou en mal on verra avec le temps) et que je n'avais pas encore terminé).
De plus il faut relativiser (sans pour autant se faire violence !) le bruit. L'autre jour je faisais un travail de groupe (un jeudi en dernière heure, je suis stupide moi aussi parfois, je pensais que ça allait se faire dans le calme ?). Un surveillant est venu apporté un truc et il m'a dit que lorsqu'il avait entendu le bruit dans le couloir il avait eu peur qu'on lui ai demandé de venir parce qu'il y avait un problème (non non juste un travail de groupe un jeudi en dernière heure). Je l'ai rassuré, mais c'est bien une marque qu'on ne peut pas présupposer de ce qui se passe dans la classe juste au bruit.
On a tous des habitudes différentes. Mes élèves (des collégiens) savent où sont rangé les brouillons et quand ils ont pas leur cahier ils me demandent pas et vont chercher une feuille. Idem pour la poubelle, les feuilles A3 quand on fait des affiches, les brouillons pendant un exercices... Les élèves ont le droit de dessiner sur des feuilles à côté de leur cahier pendant le cours (pour certain élèves je sais que c'est impossible de rester à "juste" écouter, il faut qu'ils bougent, s'occupent les mains). Une personne extérieure pourrait parfois se dire que c'est le bazar si cette personne veut absolument que les élèves soient assis en silence. Après je tombe pas non plus dans les extrêmes et il faut des moments de silence, d'écoute, dans les groupes je veux qu'on chuchote (mais pas en dernière heure je sais que c'est mort...). Et parfois, pour les élèves comme pour moi, on cherche encore nos marques (je suis en train de changer ma façon de travailler pour arriver à un truc qui me plait).
Il faut vraiment relativiser dans notre métier. Apprendre à se tromper, évoluer à notre rythme... J'ai eu une année très dure et pendant longtemps j'ai pas compris pourquoi. Puis j'ai fais un stage sur les méthodes d'apprentissages avec des formatrices très bienveillantes. Et je me suis rendue compte qu'en fait je faisais beaucoup de "bonnes" choses avec/pour mes élèves mais que forcément tout mes changements de faire ne pouvait pas se faire en heurt (et que tous n'étaient pas aboutis encore et mes réflexions étaient encore en route). (Alors qu'avec certains collègues ils avaient plutôt un discourt culpabilisant parce que ma façon de faire ils y étaient parvenus très vite sans soucis, ou parce que eux ne veulent bosser que dans le silence, ou encore plein d'autres raisons... Que je ne pouvais pas contrer car je ne m'étais pas rendue compte que mes difficultés venaient du fait que j'étais en train d'évoluer, de changer (en bien ou en mal on verra avec le temps) et que je n'avais pas encore terminé).
Je relève juste cette phrase. Juste MERCI. Si j'avais eu des profs qui avaient compris ça ça m'aurait tellement rendu la vie plus facile. Car oui je faisais partie de ces élèves qui ont BESOIN de s'occuper les mains pour se concentrer. Mon cerveau n'était mobilisé qu'à cette condition et le nombre de profs qui m'ont fait des remarques ou coller des avertissements parce que je dessinais en classe au lieu d'apprendre ( j'avais une moyenne de 17 mais j'apprenais pas hein....) bref.
sur toi.
@Miss Rayven Mais je leur dis bien qu'ils ont le droit de le faire avec moi mais pas avec les autres profs sauf si les autres leur dissent que c'est ok ^^
@Manhole J'imagine oui, tes collègues pourraient t'en vouloir si tu disais aux élèves que c'est ok partout 
Mais quand même je trouve que c'est une donnée que peu de profs prennent en compte.
Mais quand même je trouve que c'est une donnée que peu de profs prennent en compte.
Où est le smiley où on se tire les cheveux??? Je suis en train de discuter avec un type sur le FB de madz à propos de l'article dont j'ai parlé plus haut. D'abord,il me soutient que s'il n'y a pas de contraception masculine,c'est que c'est plus compliqué. Je lui réponds en deux points,d'abord que la ligature des trompes est plus complexe que la vasectomie et que c'est pourtant plus courant et ensuite qu'il n'y a pas vraiment de marché pour une contraception masculine (je vous rassure,j'ai conscience d'avoir fait des raccourcis là). Il commence d'abord par me demander ce qui me fait dire que la ligature des trompes est plus complexe,je lui donne deux liens pour qu'il se fasse une idée par lui même,plus un autre lien pour évoquer la raison pour laquelle en général la ligature des trompes est préférée. Il me répond,mettant en doute le lien sur la vasectomie. Je lui en donne deux autres,il me dit que c'est mieux (ouf
)mais il dit que c'est normal que ce soit rare parce que ce sont des méthodes définitives 
Vous avez dit dialogue de sourds?????
édit:s'arrache les cheveux,c'est mieux
)mais il dit que c'est normal que ce soit rare parce que ce sont des méthodes définitives Vous avez dit dialogue de sourds?????édit:s'arrache les cheveux,c'est mieux
Dernière édition :
D'ailleurs il me semble avoir lu que maintenant ils gèrent tellement bien la vasectomie qu'ils sont de plus en plus souvent capable de la rendre réversible, non ? Ça retourne son argument en ta faveur
@Cirrannai ,il serait capable de me dire que ça n'aurait aucun intérêt de le faire, si c'est pas définitif 
Ca se passe comme ça dans l'établissement où je bosse et j'avoue ne pas trop voir l'intérêt. Ca ne renforce pas l'autorité des profs et les élèves n'y prêtent aucune intention et le font machinalement.Moi par exemple, le coup de faire attendre les élèves debout avant le cours, ben ça marchait pas, en plus je perdais 10 minutes de cours, alors qu'on m'avait présenté ça comme une méthode infaillible
En plus,l'idée de faire lever les élèves quand un adulte entre en classe parce que c'est une marque de respect me dérange. Je n'ai jamais aimé la mentalité "respecte tes ainé-e-s" ou "les ados doivent respecter les adultes". Le respect,c'est pas à sens unique. Quand je vois ce que certain-e-s profs se permettent de dire à des élèves,ce serait bon de le rappeler.
Oui l'argument principal est qu'il serait plus difficile de stopper des millions de spermatozoides qu'un ovocyte.
Après, j'y connais pas grand chose mais je sais que dans les deux cas (vasectomie et ligature), il faut surveiller car il y a un risque que ça foire (reperméabilisation des trompes / reconnection des canaux déférents).
Pär contre en effet, la ligature des trompes est plus complexe et plus lourde que la vasectomie, ça c'est un fait.
Et le problème principal est que de toute façon effectivement les labos considèrent qu'il n'y a pas assez d'argent à faire sur la contraception masculine. Par contre, les nouvelles générations seraient plutôt du style à accepter, par rapport aux anciennes, à ce que j'ai cru lire dans plusieurs enquêtes.
EDIT : j'ai retrouvé cet article que j'avais lu, écrit par Martin Winckler apparemment...
http://leplus.nouvelobs.com/contrib...s-par-la-physiologie-et-par-les-medecins.html
Du coup, je ne sais pas quoi trop penser... il dit notamment que créer une contraception masculine est extrêmement compliqué, et vu que c'est une référence en la matière que suivent beaucoup d'entre nous...
Les taux d'irréversibilité sont encore beaucoup trop grands. Plein de sites disent tout un tas de chiffres mais ça varie entre 50% et 80% d'irréversibilité. Même à 50%, c'est normal qu'on considère que c'est une méthode définitive, ou en tout cas pas une contraception comme les autres. Moi on me dit que la ligature des trompes est réversible à 50% (imaginons), je vais plutôt éviter de me priver d'une possibilité d'avoir un enfant plus tard ('dans l'hypothèse où j'en ai envie).
D'ailleurs à ce propos, j'ai fait une petite découverte : en fait les hommes ne peuvent pas congeler librement leur sperme en France, contrairement à ce que je croyais; ils doivent faire ça ailleurs (en belgique, en espagne...). Pourquoi? Car la congélation doit être faite sur ordonnance, ordonnance qu'un médecin ne donnera que s'il est question de faire une vasectomie, et comme quasiment tous les médecins français refusent d'en faire....
Après, c'est aussi un pari sur l'avenir dans le cas de la congélation : rien ne dit que les gamètes auront résisté à la décongélation... (même question se posant chez nous pour les ovocytes d'ailleurs, qui soit dit en passant résiste beaucoup moins bien à la décongélation en l'état actuel de la science, d'après ce que j'ai pu lire).
En tout cas, tant que les labos (et les hommes) se bougent pas pour qu'il y ait autre chose...
Mais bon, si on croit la presse, plusieurs nouvelles contraceptions arriveront pour ces messieurs d'ici 2020, donc attendons de voir...
En effet.
Après, prof c'est un métier difficile aussi; c'est pas pour rien... (surtout en France, avec le manque de considération...).
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