Rebienvenue
@Aleyme tu penses que tu pourras augmenter le temps de course au fur et à mesure ? Ou il n'en a pas encore été question ?
La semaine passée, je me suis encore fait mal au dos - bah bravo - mais PROMIS cette fois ci c'était "pas ma faute" (accident au boulot). J'ai tout de suite soigné les dégâts chez mon ostéo habituel (qui commence à avoir l'habitude de me réparer le dos) et me suis abstenue de courir du w.e, assommée d'antidouleurs en préventif.
Ca a fonctionné, non seulement j'ai pu revenir au travail tranquillou le lundi mais en plus, frustrée d'avoir zappé un w.e que je pensais dédier à la course, je me suis rattrapée ce matin. (yyyyouuuupiiiiii couriiiiiir !)
En ce moment, avec le confinement, je me remets au dénivelé de bourrin sur des distances courtes. Bon le boulot et le manque de pratique m'abîment un peu. Je cherche donc les sensations "légèrement au-delà des limites", ce sentiment d'avoir réellement fourni un effort et non pas fait une sortie-plaisir et rentrer fraîche comme une rose.
Vers 8km ce matin après le plus gros de la grimpette, j'ai commencé à sentir mon pied moins sûr, mais j'ai poussé malgré tout plus loin pour dépasser les 10km au lieu de prendre le chemin qui ramenait chez moi tout de suite.
Au 11è, je me suis dit que c'était encore jouable de continuer un petit peu sur une pente légère pour "terminer sagement" en prolongeant l'itinéraire, puis au 14è je me suis dit "allez, j'en rajoute un en faisant le tour du stade et je suis bien, j'atteins l'objectif max qui me faisait de l'oeil". Le dernier kilomètre a bien piqué et je suis actuellement en purée-compote comme les bonnes vieilles sorties d'autrefois qui me laissaient sur les genoux pour le reste de la journée.
C'était pas non plus la vitesse de la folie, mais franchement vu le boulot que je me paye la semaine en ce moment, c'est quand même bien honorable, je pardonne volontiers à mon organisme p'tit gabarit :3